28 décembre 2006

JOYEUX NOEL A TOUTES ET A TOUS
ET PAR LA MEME OCCASION, UNE BONNE EST HEUREUSE ANNEE !!!

15 octobre 2006


Le vibromasseur


La langue montait, descendait le long de ma vulve. Deux mains me trituraient les seins à mourir. Mon bassin ondulait au rythme de mon plaisir.

Je tenais dans mes mains, sous les draps, la tête qui furetait entre mes cuisses.

C’était bon, délicieusement bon.

Je sentis la tête remonter le long de mon ventre, glisser entre mes seins lâchant au passage un peu de salive. La tête allait émerger de dessous les draps et…. Je me réveillais.

Ho mer.. ce n’était qu’un pu…. de rêve.

J’étais dans mon lit, les pores ruisselant de transpiration, le tee-shirt remonté sur mes hanches, les jambes écartées, les seins bandants. Je haletais encore sous l’emprise de mon rêve érotique. Mon corps réclamait encore son dû.

Je glissais alors ma main sur mon sexe gluant.

J’étais en train de me masturber quand une idée germa dans ma tête. Je pourrais m’assister de mon vibromasseur. Cette idée me plut.

J’ouvrais alors le tiroir de ma table de nuit et sortais l’objet désiré.

Je tournais la molette et … rien.

Mer.. qu’est ce qui se passe. Comme pour une lampe torche, je frappais l’objet dans le creux de ma main et toujours rien. Les piles étaient mortes. Le pire était que je n’en avais aucune de rechange.

Vite une solution. Des piles, il me fallait des piles. Le réveil, il y a des piles dedans et en plus au bon format. Me voila donc entrain de dévaliser les piles du réveil.

Je vous passe la pile qui roule sous le lit, tombé dans ma précipitation, ou bien le montage à l’envers.

Je m’installais enfin, les jambes bien écartées, je tournais la molette et … victoire.

Je le glisse le long de mon ventre toujours en fusion, passe sur mon mont de vénus.

Au fait, cela fait combien de temps que les piles sont dans le réveil. Je cherchais lorsque au moment où le vibro atteignit mes lèvres, j’entendais le bruit caractéristique de la fin des piles. Je crus pleurer.

Je frappais à nouveau l’objet dans le creux de ma main. Il y eu un dernier hoquet de sa part avant de mourir.

Mer…………..credi.

Deux doigts dans mon con, je réfléchissais, je cherchais.

Dans la cuisine, il y a une semaine, Lucien m’avait installé une alarme antifumée. Voilà mes piles.

Je me levais et fonçais dans la cuisine. Je dévalisais l’alarme et revenais au pas de course dans la chambre. Je retirais mon tee-shirt, mettais les piles dans le vibro et le voilà qui repartait, vibrant comme au premier jour.

Je ne perdais pas de temps pour le plonger entre mes cuisses. Je tombais sur le lit déjà emprise pas l’orgasme qui montait. La tension que j’avais accumulé n’avait fait que empirer les chose.

Après mon orgasme, je reprenais petit à petit mes esprits. Le vibro vibrait encore dans ma main. Il ne fallait pas que je gâche trop les piles.


Dimanche 15 octobre 2006

22 juillet 2006

"A Nordic Seduction (suite)" texte de Pussylove69 traduit en français


La fille arrêta la torture sur ses seins. Pénélope respirait rapidement, bruyamment. La femme écarta un peu plus ses jambes. Pénélope trembla. Cà y’est. Ce qu’elle avait tant rêvé allait se passer. Une femme allait toucher pour la première fois son sexe gorgé de liqueur. La femme caressait doucement l’intérieur de ses cuisses s’approchant petit à petit de sa chatte humide. Enfin un doigt glissa sur la fente. Elle portait encore sa culotte, culotte qui épongeait ses liqueurs. Elle trembla à nouveau. Son corps ondula instinctivement.

- S’il te plait ? » gémit elle.
- S’il te plait, quoi ? »
- Il faut que je jouisse, s’il te plait… » gémit elle alors que la femme la caressait de façon plus appuyé à travers sa culotte.

Elle était prête à jouir quand la femme finit par la débarrasser de sa culotte poisseuse. Elle était maintenant totalement nue.

Elle était là, allongée les jambes écartées, la chatte en éruption devant une femme totalement inconnu. D’autres filles seraient parties en courant. Elle, elle ne voulait que jouir.

Elle sentit quelque chose de chaud se poser sur son minou, quelque chose qu’elle n’avait jamais senti à cet endroit. Elle sut qu’il s’agissait de la bouche d’une femme.

La femme embrassait lentement la totalité du sexe humide. Elle s’agrippa aux hanches de la méditerranéenne tellement son corps tanguait. Pénélope hurlait son bonheur surtout lorsque la langue la pénétra. Il ne fallu pas longtemps pour qu’elle jouisse sous les coups de langues de la Suédoise. Des vagues de plaisir envahirent son corps, vagues qu’elle n’avait jamais connu auparavant. Ce fut alors un orgasme prodigieux. Elle criait sous les vagues du plaisir pendant que la femme continuait à boire ses liqueurs.

Son corps fut parcouru de quelques soubresauts avant que la fille ne daigne abandonner son sexe douloureux. La femme vint l’embrasser lui permettant de goûter ses liqueurs à même sa bouche. Son baiser était toujours aussi affectueux. Une fois bien reposée, la femme lui retira le bandeau.

A genoux près d’elle, elle découvrit la plus belle des filles qu’elle n’avait jamais vues. Elle devait faire 1m80, un corps svelte laiteux et de grandes jambes musclées. Sa poitrine était ferme et bien plus grosse que la sienne avec des tétons très arrogants. C’était une vrai blonde Scandinave, comme elle appréciait depuis son arrivée. Pénélope lui donnait bien 10 ans de plus qu’elle, mais avec un corps…

- Tu es merveilleuse, si belle… » dit elle.
- Merci. C’est quoi ton nom ? » demanda la belle blonde en souriant

Il n’avait pas échangé leur prénom.

- Pénélope. » répondit elle en rendant son sourire.
- Je m’appelle Astrid. Tu te souviens de ce que je t’ai promis ? » Pénélope hocha la tête. « Tu veux goûter ma petite chatte juteuse, Pénélope ? Veux-tu me lécher ? »

La méditerranéenne acquiesça.

Elle était toujours entravée au poignet. Astrid se leva et alla s’agenouiller au dessus de son visage. Lentement, elle déposa son sexe humide sur la bouche de Pénélope.

Pénélope aimait le goût de sa chatte, dans sa bouche. Elle voulait boire tout ce qu’Astrid lui offrait. Elle aimait entendre les gémissements d’Astrid au dessus d’elle. C’est comme ci elle avait toujours su comment brouter une femme. Elle suivait son instinct et elle était sur la bonne voie. A force de coup de langue et de sucions, Astrid eut à son tour un orgasme. Jamais Pénélope n’avait bu autant de liqueurs.

Astrid finit par détacher la jeune méditerranéenne et elles restèrent allongées, l’une contre l’autre dans le lit d’une place à se caresser les pubis.

- C’était bon ! Tu a bien travaillé mon amour »
- Surtout que c’était ma première fois. »
- Quoi, je t’ai dépucelé. Je ne te crois pas ! »

Pénélope lui parla de son pays et de la difficulté de vivre une relation comme elle venait de connaître.

- Tu es merveilleuse » dit Astrid. « Je peux encore t’apprendre d’autres choses. Veux tu que je sois ton professeur de plaisir lesbien ? Veux tu que je te montre comme donner et prendre du plaisir ? Veux-tu être une étudiante vicieuse et cochonne ? »

Pénélope lui donna un baiser passionné comme réponse. Elle roula alors sur la blonde Scandinave tout en lui pétrissant la poitrine. Une jambe glissa entre les cuisses du professeur afin qu’elle se caresse sur sa cuisse.

Les deux femmes repartirent au combat, mais dans celui-là, il n’y avait pas de mort.

Faites l'amour, pas la guerre.

Fin


Faites comme moi, suivez les conseils de Camille : Il faut boire en cas de canicule

09 juillet 2006

"A Nordic Seduction (suite)" texte de Pussylove69 traduit en français



La femme héla un Taxi et l’aida à monter dedans. Elle donna une adresse dans sa langue, langue que Pénélope ne maîtrisez pas encore. Alors que le taxi démarrait, la femme s’approcha d’elle. Elle sentit ses lèvres douces se poser sur les siennes et une langue glissa sur ses lèvres closes. C’était un baiser tendre, doux, affectueux, sans pression. Pénélope se détendit et oublia le taxi ainsi que le conducteur qui devait ne perdre aucune miette de la scène. La langue explorait ses lèvres et doucement elle finit par les ouvrir livrant le passage dans sa bouche. Les deux langues se rencontrèrent et une danse diabolique les anima. Ce fut le baiser le plus chaud de sa jeune vie. Elle s’abandonna totalement.

Le chemin qu’elle avait prit ? Pénélope ne s’en préoccupait plus, goûtant au délice du baiser. Le taxi finit par s’arrêter. Le temps aussi pour Pénélope. La femme paya et elles sortirent de la voiture sous les gloussements de la femme suite à une remarque du chauffeur.

Elles prirent un ascenseur et elles entrèrent dans un appartement. Lorsqu’elle entendit le loquet de la porte se refermer, son excitation grimpa encore plus. Elle était à la merci total de cette fille, quelque part en ville. La femme la débarrassa de son manteau et la fit avancer dans la pièce. Elle sentit quelque chose de doux au niveau de ses genoux. Ce devait être le lit.

La fille la laissa un peu seule, la laissant prendre conscience de son état. Alors des mains douces et tendres partirent à la découverte de son corps. Cela commença par son visage, sa bouche, ses lèvres, son cou descendant vers ses seins. Pénélope tremblait sous la caresse. La femme déposa à nouveau ses lèvres sur les siennes pour un baiser plus poussé cette fois. La langue était devenue plus vorace dans sa bouche. Elle adorait cette domination. Une tempête de plaisir envahit son corps et à nouveau elle s’abandonna à elle.

Sans ressentir la moindre pression, elle fut déshabillée et gentiment allongée sur le lit. Elle n’avait gardé que son tanga blanc.

- Vous êtes vraiment très belle » dit la femme dans sa voix sexy. « Donnez-moi vos mains ! Je ne vais pas vous entraver, vous pourrez vous libérez sans problème. Je veux seulement que vous vous abandonniez totalement. »

Volontairement, cette fois, la jeune fille espagnole posa ses mains au deux coins du lit. Elle fut entravée par deux foulards en soie.

La femme la laissa ainsi. Elle l’entendit se déshabiller à son tour. Elle entendit ensuite de léger gémissements avant que la femme s’agenouille près d’elle. Elle l’embrassa à nouveau et glissa un doigt odorant et humide près de son nez.

- Renifle cela ! Est ce que tu aimes ? »
- Oui, j’aime cela. » répondit la jeune fille excitée.

Le doigt glissa sur ses lèvres et glissa entre elle. Pénélope le suça, le nettoyant. Le goût en était très agréable. C’était nouveau pour elle.

- Tu aimes le goût ? »
- Oui. » acquiesça t’elle.
- C’est le goût de ma chatte. Aimerais-tu me lécher le minou ? »

La jeune fille acquiesça extrêmement excitée par ce qu’elle entendait.

- Tu pourras me lécher le minou aussi longtemps que tu le voudras, petite fille. Pas maintenant. Je veux d’abord te donner du plaisir ma beauté. »

La femme alla entre ses cuisses ouvertes. Elle la sentit se rapprocher d’elle et sa bouche vorace s’attaqua à la sienne. C’était un baiser furieux. La femme était allongée sur elle, et pour la première fois leurs poitrines se touchaient. Les seins se massaient mutuellement et les tétons de la femme étaient aussi ardents que les siens.

Doucement elle commença à descendre le long de son corps, à petit coup de baiser. Elle massait délicatement ses seins. La bouche de la fille attaqua sa poitrine laissant des cercles de salive autour de ses tétons. La fille l’excitait de petit coup de langue puis finit par gober l’un de ses seins. Pénélope gémit bruyamment. Les doigts de l’autre main pinçaient ses tétons durs comme du silex. La fille suça ses seins à tour de rôle la faisant gémir un peu plus.

(a suivre)

03 juillet 2006



"A Nordic Seduction" texte de Pussylove69 traduit en français

Illustration : VivThomas Vidéo

Pénélope était une jeune Espagnole, étudiant l’économie dans une Université de Séville. Dans son cursus, elle avait la possibilité de partir un an étudier dans un pays étranger. Elle avait choisi la Suède pour son libéralisme. Elle aimait son pays mais la vie n’était pas facile pour les jeunes filles comme elle. C’était une question de mentalité.

Pénélope était ravissante. Elle avait 19 ans et c’était une vraie Méditerranéenne. Elle était mince, la peau mate et avait des cheveux noirs tombant sur ses épaules. Son visage était beau avec des yeux d’un noir profond. Elle avait une poitrine bien ferme et portait un bon 90B. Elle n’était pas bien grande, 1m65 mais cela n’empêchait pas les garçons de la draguer.

Mais pénélope n’était, par contre, pas folle des garçons. Elle avait été avec certain d’entre eux mais n’avait pas trouvé le plaisir tant raconté par ses copines. Depuis quelques années, elle s’était rendu compte qu’elle trouvait les filles plus attrayantes, mais il est très difficile de montrer son homosexualité dans un pays méditerranéen. Elle n’avait donc aucune chance d’assouvir son désir dans son pays.

Par contre en Suède, tout était différent. On pouvait montrer sa sexualité sans que cela ne choque les gens. Elle croisait des filles qui s’embrassaient sans retenu dans les couloires de son Université. Ceci était impensable dans son pays. Elle avait découvert un Club et aimait y passer de temps en temps. Ce n’était pas uniquement un club pour les homosexuelles. On y trouvait de tout. Il y avait des « Gogo-Girls » qui dansaient sur des podiums, sur le bar et Pénélope aimait les regarder tout en buvant un verre. Cela l’excitait beaucoup.


C’était la troisième fois qu’elle venait dans ce Club. Comme les deux autres fois elle regarda les danseuses se trémousser. Deux danseuses firent une exhibition torride. Elles se caressèrent et s’embrassèrent sans vergogne. Cette exhibition la rendit toute chose. Sa culotte fut trempée. Elle portait une robe noire sans soutien-gorge.

Peu après minuit, elle décida de rentrer chez elle. Elle avait suffisamment rechargé ses batteries pour la semaine. Elle avait dansé et le frôlement des filles près d’elle l’avait enivré. Elle entra dans la pièce où étaient rangés les manteaux. La pièce était vide. La porte se referma derrière elle. Elle attrapa son manteau. Alors qu’elle le mettait, elle entendit la porte s’ouvrir derrière elle sur la musique du Club et se refermer. Brusquement, la lumière s’éteignit.

Elle fut effrayée et pensant à un minuteur, elle attendit que la personne rallume. Cela n’arriva pas. Elle sentit la personne se coller dans son dos et deux mains s’emparèrent de sa poitrine. Elle eut peur et voulu crier. Mais curieusement elle ne le fit pas. Les mains étaient douces sur sa poitrine et elle sentait la respiration de la personne près de son oreille. Comme elle était calme, elle se calma à son tour.

- Chutt. Ne criez pas s’il vous plait ? Je vous ai observé ce soir, ainsi que les autres soirs. Je vous ai vu prendre plaisir à danser avec les autres filles et regarder les « Gogo-girls ». Si vous voulez ressentir plus de plaisir que ce que vous pouvez imaginer, suivez moi ! Sinon, vous pouvez partir et cela restera sans suite. Décidez. »
La voix était douce, une voix de femme lui parlant en Anglais.

La jeune fille de 19 ans frissonna. C’était très bizarre comme situation et cela l’excitait beaucoup. Elle avait attendu cela depuis des années. Par contre pouvait-elle suivre une inconnue et se donner à elle ? Elle ne savait pas à quoi elle ressemblait et ce qu’elle pouvait bien avoir dans la tête. Cela ne fit qu’accroître son excitation.

- Je vous suis ! » soupira t’elle dans une voix trahissant son état.

A sa réponse, une langue humide glissa sur le lobe de son oreille. Les mains abandonnèrent sa poitrine. Elle sentit une pièce de tissus en soie se poser sur ses yeux. La femme lui banda les yeux en douceur.

- Pourquoi… » demanda t’elle en tremblant d’excitation.
- Tout va bien petite fille. Relaxez-vous. Je ne vous ferez pas de mal. Maintenant, suivez-moi. »

Elle prit Pénélope par les épaules et la dirigea à l’extérieur. Pénélope était totalement en sa possession.

(A suivre)

01 juillet 2006


Le site de ma douce et tendre amie a changé d'adresse. Vous pourrez y trouver la suite de son Roman "Chrysalide".

11 juin 2006

Dans la chambre à baiser de Bilitis (d'après une idée de Sapho)




Je me réveille doucement, la cuisse réchauffée par le soleil matinal qui traverse les persiennes.
Je regarde le réveil : 7h.
7h et je sens déjà la chaleur grimper dans la chambre.
Je regarde alors l’autre parti du grand lit et vois Domi qui me tourne le dos dormant en chien de fusil.
Elle nue comme au jour de sa naissance. Je suis nue moi aussi, ceci à cause de la chaleur. Je regarde ce corps qui aime recevoir comme aussi donner du plaisir. J’admire ses courbes, ses cheveux, ses cuisses, ses pieds…son adorable petit cul.
Insidieusement, je sens le désir poindre dans le creux de mes reins.
On a loué une villa sur la côte basque avec d’autres ami(e)s. La villa est super sympa mais ayant été aménagée dans une ancienne maison, les murs sont aussi épais que du papier à cigarette. On peut donc se causer à travers les murs quoi.
On a réussi à se tenir jusqu’à maintenant, nous limitant qu’à de délicieux petit câlin. Là, j’ai envi de faire un câlin.
Je m’approche d’elle et me colle dans son dos. Elle bouge mais ne se réveille pas.
Je dégage les cheveux de son cou et dépose doucement ma bouche sur celui-ci. Sa peau est salée. Je glisse doucement un bras sous son oreiller. Les doigts de mon autre main partent à la redécouverte de ses courbes. Ma bouche et ma langue glisse sur la peau de son cou et le lobe de son oreille.
Ses fesses se collent plus contre mon pubis. Elle gémit doucement.
Ma main caresse ses hanches, remontent et passe sur son ventre. Elle le creuse à mon passage. Je remonte pour atteindre sa somptueuse poitrine, objet de tous nos vices.
Je grimpe sur l’un des globes et découvre des tétons forts turgescents. Ma belle Domi gémit. A ça, dès qu’on touche sa poitrine…
Je pince le téton arrogant. Quelle douce mélopée que le son de ses gémissements. Cela m’enivre.
Je caresse alors ses seins provoquant le début d’une tempête dans son corps. Elle ondule, gémit.
- Chuttttt ! » lui dis-je en posant ma main sur sa bouche.
Elle tourne la tête, l’air tout à fait réveillé. Sa bouche, ma bouche, nos langues l’une contre l’autre. Baiser mouillé, passionné.
Ma main retourne sur sa poitrine, son ventre. Doucement je glisse sur sa douce toison pubienne. Je sens déjà la chaleur que dégage son intimité.
Elle s’ouvre, s’écarte. Ma main glisse sur sa fleur déjà bien gorgée de liqueur. Elle pousse un petit cri dans ma bouche lorsque mon doigt franchit la barrière de ses lèvres juteuses.
Commence alors une douce masturbation de ma belle petite salope.
Elle frotte ses fesses contre mon pubis. Ma liqueur s’y dépose. Elle gémit de plus en plus. Je garde ma bouche contre la sienne.
Je la regarde jouir, plaisir intense du à la frustration de ne pas pouvoir crier son bonheur au monde.
Sa bouche est par contre pire qu’une plante carnivore. J’ai l’impression qu’elle va me dévorer.
Je jouis à mon tour, rien que par la pression de ses douces fesses contre mon pubis.
Nos bouches se quittent. Mes doigts gluants glissent dans la sienne. Elle se déguste.
La torpeur me reprend. Je m’endort contre elle, mes doigts dans sa bouche, malgré la chaleur dans la pièce, de son corps.

10 juin 2006







SAMEDI 10 JUIN 2006







Enfin, cela n’arrive que tous les quatre ans.
Mesdames, chères adoratrices de notre belle prêtresse Sapho, la chasse est enfin ouverte. Nous allons enfin partir à la recherche de douce et agréable proie, délaissée par nos cher Zom.
Je me sens une âme de Diane en ce moment.
Nous avons un mois pour nous repaitre de nos « proies », un mois pour essayer de détourner de belles hétéros du droit chemin fixés par les mœurs, un mois pour leur faire découvrir le côté « rose » de l’amour.


Croyez moi, nos arguments ne vous laisseront pas indifférente.



21 mai 2006


Lacanau Océan III (suite et fin)

Illustration : VivThomas Vidéo


Elle s’écarta à nouveau et me débarrassa de mon shorty. Elle le huma un peu et le lâcha près de ma robe. Elle observa mon sexe aussi luisant que le sien. Elle vint m’embrasser à nouveau.
Elle enfourcha à nouveau ma cuisse et se frotta dessus à nouveau. Je mouillais comme une folle.
Après m’avoir longuement embrassé et sucé les seins, elle se redressa et son pubis alla à la rencontre du mien. Basculant en arrière, nos lèvres intimes se rencontrèrent et nos humeurs se mélangèrent. Elle frotta alors sa petite chatte sur le mienne. Je pris l’un de ses seins dans ma main et le massait au rythme de mon plaisir. Nos gémissements emplissaient la chambre.
Elle abandonna sa position pour s’installer tête bêche. Enfin sa bouche se posa sur mon sexe en fusion. Je rugis de bonheur.
Sa langue était aussi agile dans mon vagin que dans ma bouche. Je jouissais tellement que je n’arrivais pas à me concentrer sur sa fleur. Je donnais de temps à autre un coup de langue, un baiser fiévreux. Je vis, entre deux soupirs, sons petit œillet bleu, dansant devant mon nez. J’humectais abondamment mon index, le fis glisser autour de son petit anus, cueillant un peu de cyprine au passage afin de lubrifier le petit trou. J’entendais la belle ronronner, visiblement satisfaite de ce que je faisais.
Je plongeais alors mon index. Thallia mugit. J’essayais alors de me concentrer sur ma caresse bien que les rouleaux de l’orgasme pointaient à l’horizon. J’avais des étoiles devant les yeux, des picotements dans le ventre. J’accélérais le mouvement de mon doigt dans Thallia.
L’orgasme arriva et m’emporta avec délice. Mon doigt s’activa de plus belle dans les fesses de ma belle. Elle jouit à son tour, répandant un peu de sa liqueur sur mon torse et mon cou.
Sa bouche faisait ventouse sur mon sexe buvant mes rejets. Son ventre était parcouru de spasme. Je bus encore de sa liqueur à même la source.
Elle se releva et vint se blottir contre moi. Elle lécha sa liqueur dans mon cou et nos bouches s’unirent à nouveau.
Le baiser fut plus tendre, moins fougueux.
On reprit peu à peu nos esprits.
J’avais une envie pressante. Je l’abandonnais un instant.
A mon retour, je la trouvais sur le ventre, une main entre les cuisses en pleine masturbation. Je la regardais un instant, trouvant le spectacle très agréable.
Regardant par-dessus son épaule, elle me vit. Elle sourit et glissa une langue gourmande sur ses lèvres. Elle continua à se masturber.


Je grimpais alors sur le lit et m’installais au dessus d’elle. Je descendis l’embrasser dans le cou puis lentement, je fis glisser ma bouche le long de son dos. J’arrivais à la naissance de ses fesses. Ma langue glissa entre les deux monts merveilleux. Je les cajolais, les dorlotais, les embrassais.
Sa main continuait sa caresse intime. J’écartais les deux globes et pointais ma langue sur son petit œillet bleu. Elle appréciait beaucoup.
Je la travaillais longuement.
Une idée coquine me traversa l’esprit. J’abandonnais Thallia pour aller dans la chambre de notre hôtesse.
- Je reviens de suite. Ne te refroidis pas trop ma chérie. »
- Hummmmm…. »
Je savais où notre hôtesse rangeait ses petits gadgets. Je trouvais ce que je cherchais dans un tiroir.
Je passais alors le godemiché ceinture et retournais auprès de Thallia. La belle se masturbait suavement. Elle me vit et remarqua l’objet qui ceignait ma taille.
Elle fit une moue gourmande et se lécha les lèvres.
- Comment aimes tu qu’un homme te fasse l’amour ma chérie ? » lui demandais je.
Elle se redressa et resta à quatre pattes m’offrant son sexe luisant de liqueur à mon regard.
Je m’approchais du lit et grimpais derrière elle. Je fis glisser le pénis de latex sur sa vulve afin d’y déposer un peu de lubrifiant naturel. Je caressais ses fesses et titillais à nouveau son anus.
Elle ondulait du bassin prête à accueillir le godemiché.


Je le présentais devant sa grotte et doucement, je le fis glisser en elle.
- Mmmmm. Ouiiiiiii. Baises moi, éclates moi… »
Ses mots crus me giflèrent et m’excitèrent. Je reculais pour mieux revenir. Je me mis à me déchainer comme une furie sous ses encouragements lubriques.
- Ouiiiiiiiiiii… prends moi comme une chienne, baises moi, encules moi…. Ouiiiiiii »
Je lui obéis, abandonnant sa grotte en feux pour empaler mon pénis de latex dans ses fesses.
L’engin, bien lubrifié, pénétra sans résistance aucune. La belle était une habituée de la sodomie.
Je perdis la notion du temps, la baisant de plus en plus fort. Elle jouit une, deux, trois fois. A la troisième, elle défaillit et s’écroula dans le lit.
Le godemiché sortit de son réceptacle. Je glissais ma main sur son sexe qui pulsait. Une vraie fontaine son sexe. Je jouis à mon tour.
On s’endormit ainsi, tendrement enlacée.

20 mai 2006



Retouvaille
Avant de poster la fin de "Lacanau", je vous fais part de ma dernière petit aventure coquine avec une amie chère.

Lundi 15 Mai

Je rentre de vacance. Ayant passé de vacance très sage, je suis dans un état proche de l’Ohio.
J’ai allumé mon ordinateur espérant trouver mon âme sœur. Evidement, elle était là.
On discuta un peu, parlant de chose et d’autre, mais lorsqu’elle m’annonça qu’elle devait me quitter, je fus très décontenancée.
- Peut-on se recontacter plus tard ? » lui demandais je désespéré.
- Vers 20h, si cela te dis ? »
- Ok, cela me convient.»
- On se fera un petit câlin dis ? »
Mon dieu, elle lit dans mes pensés.
- Of course ! »
- Super. »
Moi, je mouille déjà.
- Je lirais ton histoire avant (Chrysalide pour ne pas la nommer).

20h personne. Cela me va car je peux lancer la cuisson de mon repas et commencer la lecture de la suite du roman.
20h15, coucou la voilà.
Les quelques lignes lus m’ont déjà un peu chauffé, plutôt tenu en excitation. Elle est en forme la bougresse.
Je lui demande si le chapitre que je lis est intéressant. Elle me donne son avis mais annonçant la suite.
- J’n’ai pas fini. Ne me dévoile pas tout maintenant, cela va me retirer le plaisir de la découverte. »
- Ok, je me tais. Je pose mes doigts sur ma bouche. »
Est-ce une perche tendu ou a t’elle sortit cela sans réfléchir ? Tant pis je la prends au vol.
- Poses les plutôt sur mes seins ! »
- Je me colle dans ton dos, glisse mes mains dans ton corsage et … »
La voilà me racontant en menu détail la façon dont elle me caresse.
J’ai du mal à suivre le fil de l’histoire tant elle me torture de l’autre côté. Je mouille comme une folle. Je sens que c’est réciproque.
En fermant les yeux, je l’imagine dans sa nuisette en pilou alors que moi j’ai une large auréole sur mon short.
Je me caresse à travers mon short (nue dessous), je jouis une première fois en lisant son étreinte passionné avec le frère de sa meilleur amie et amante.
Je jouis une deuxième fois avec elle… Le pouvoir des mots.
Petit à petit on retrouve nos esprits et moi une grande faim.
Je vais devoir la quitter malgré le bien être et les échanges de tendresses que l’on se fait. J’ai vraiment très faim et je transpire. Il fait très chaud chez moi et en moi…
Merci pour tant de plaisir, ma chérie…
Cela faisait longtemps depuis ce fameux soir du 21 décembre.
Bisous

03 mai 2006


Lacanau Océan II

Illustration : VivThomas Vidéo

Elle prit à nouveau ma main et on se dirigea vers sa chambre, abandonnant nos escarpins en route. Encore une étreinte passionnée devant sa porte avant de la franchir.
On bascula sur son lit, les corps fiévreux. Nos bouches se rejoignaient pour se quitter afin d’aller gouter la peau du cou, du sillon entre les seins, les seins et retour à la bouche. Les auréoles de ses seins étaient aussi claires que sa peau, légèrement bombées. La pointe était dressée comme deux petits sexes d’ange.
On aurait dit deux jeunes pucelles découvrant un superbe cadeau et ne sachant pas comment en profiter tant l’excitation était grande.
Mon amie savait choisir ses amantes. Elle ressentait ce que je désirais, et moi aussi je ressentais ses désirs. Elle sut enflammer ma poitrine comme je le fis à mon tour.
Ma main retourna entre ses cuisses. Son pistil était couvert de cyprine. La belle n’avait qu’une petite touffe de poil sur son mont de vénus.
Je glissais une cuisse entre les siennes et la collais à sa vulve. Elle se frotta alors contre elle déposant ses humeurs visqueuses.
Elle me rendait folle. Que sa bouche était agréable et accueillante.
J’avais faim d’elle, j’avais envi de dévorer son abricot, sa prune.
Je me redressais, admirant ce corps en proie au plaisir. Je saisis ces genoux et les écartais. J’avais alors une superbe vue sur son intimité, luisante de liqueur.
Je plongeais alors ma tête entre ses cuisses. Mes narines s’emplirent des effluves que dégageait son sexe en émoi. J’y déposais d’abord un petit baiser léchant le mince filet de liqueur qui s’y était déposé. Elle était fraichement épilée.


J’y retournais, plus gourmande cette fois. La belle rugit.
Je léchais ses lèvres, écartant doucement les pétales, découvrant la chair rose de sa vulve nappé d’un liquide blanc. J’ouvris la bouche et embrassais fiévreusement ses lèvres glissant ma langue au fond de sa grotte.
La belle gémissait de plus belle sous mon assaut. J’alternais coup de langues, aspiration et baiser fiévreux. Elle me prit la tête dans ses mains.
Je faisais monter et descendre ma langue entre ses lèvres. Je m’arrêtais pour aspirer sur le haut de sa petite chatte afin de faire sortit son petit clitoris.
Thallia se liquéfiait de plus en plus sous ma bouche. Le petit bouton apparut. Je me concentrais alors sur lui. Humectant deux doigts, je les plongeais dans sa grotte en fusion.
- Hooooooo Romane, c’est trop bon. Tu me rends folle… »
Son corps ondulait au rythme de son plaisir. Elle poussait de petit cris ce qui accentuait mon plaisir également.
Je sentais son orgasme poindre aux cris qu’elle poussait. Je redoublais mon travail. Sa petite chatte allait de plus en plus à l’encontre de ma bouche. Elle poussa un cri plus long, plus guttural. Elle jouissait m’offrant une liqueur plus abondante.
Je jouis moi aussi sans que je ne me touche.
Je me fis plus chatte, léchant à grand coup de langue son intimité. Sa respiration se calma. Elle reprit conscience du monde qui l’entourait. Un grand sourire éclairait son visage.
Je montais l’embrasser à nouveau.
Après un long et très agréable baiser, elle me repoussa et retira sa robe. On avait été tellement excitée et pressée, que l’on avait oublié de retirer nos robes.
Je retirais à mon tour la mienne. Je n’eus pas le temps de retirer mon shorty. Elle revint prendre ma bouche à baiser tout en me pétrissant les seins. C’était une douce torture. Elle quitta ma bouche pour aller me sucer la poitrine.


Dans le miroir qui se trouvait au pied de son lit, je nous voyais, nos corps enlacés, le sexe de Thallia qui dansait au-dessus de mes cuisses, son sexe luisant de liqueur et de salive. De temps à autre elle venait se frotter sur ma cuisse. Son excitation revenait à grand pas. Mon dieu, que cette fille était bonne.

16 avril 2006


Lacanau Océan

Illustration : VivThomas Vidéo

A tous ceux qui ont lu ma précédente histoire, je suis désolée mais j’ai eu un manque de peps pour la finir. Peut-être que ma douce Thallia pourra le faire pour moi…

J’ai fini par écrire une autre histoire, jusqu’au bout cette fois.



Une amie m’avait laissé sa villa dans le sud-ouest de la France afin que j’y passe mes vacances. Elle m’avait prévenue que l’une de ces amies viendrait me rejoindre pour la dernière semaine.
Cela m’avait un peu chagriné au départ, mais bon la maison n’était pas à moi et je pouvais difficilement faire l’emmerdeuse.
Je passais une semaine tranquille, profitant un maximum de mon intimité ainsi que de la piscine.
La belle arriva et je reconnu en elle les goûts de mon amie. Belle brunette au corps sublime très agréable à regarder répondant au doux nom de Thallia. Je tombais sous le charme de la belle.
On devint très complice toutes les deux. On fit de longue ballade dans l’arrière pays et sa conversation était très agréable.
Au bout de deux jours, on n’avait plus de secrets, même sur nos petits secrets intimes.
J’avais été très surprise lorsqu’elle me dit qu’elle supportait difficilement de ne rien porter sous ses vêtements, même par jour de grosse chaleur.
A mon grand dam, la fin de la semaine arriva et par la même occasion, l’heure de la séparation. On décida de s’offrir un petit dîner en tête à tête pour le dernier soir.
Elle avait mis, pour l’occasion, une mignonne petite robe noire, s’arrêtant à mi-cuisses.
Moi, je portais une robe fuchsia au décolleté vertigineux, allant jusqu’au nombril, s’arrêtant également à mi-cuisse. J’avais mis dessous un petit shorty blanc.
Le dîné fut très agréable, entrecoupé de long silence, de long échange de regard. Sans m’en rendre compte, je me mis à caresser sa main, son bras. Elle souriait.
Le taxi nous déposa devant la porte d’entrée de la maison.


Une fois celui-ci partit et les grilles refermées, on se regarda à nouveau. Ses yeux brillaient et je pense que les miens également. J’avais été très excitée durant tout le repas.
L’occasion n’allait pas se représenter avant un certain temps. Nos chemins allaient se séparer.
Je levais le bras vers son visage, saisis sa tête par derrière et l’attirais à moi.
Elle ne résista pas. Je pris sa bouche avec voracité. Ses mains glissèrent dans mon dos.
Ho quel merveilleux baiser. On découvrait nos corps respectifs, sous la paume de nos mains, corps que l’on avait suffisamment admiré des yeux.
Je palpais ses seins nus sous sa robe légère. Nos langues virevoltaient l’une contre l’autre. On relâchait, dans les mouvements de nos mains et de nos langues, toute la tension accumulée durant le repas.
Elle me prit la main et m’entrainant rapidement vers la porte. Alors qu’elle cherchait la clé pour ouvrir, je me collais dans son dos, l’embrasant dans le cou, caressant son ventre et ses seins. Je frottais mon bas-ventre sur ses superbes fesses. Son sac tomba à terre. Elle gémissait sous mes assauts.
Elle réussit tant bien que mal à ouvrir la porte. Elle donna un coup de pied à son sac afin de l’envoyer dans la pièce. Je vis ce dernier répandre son contenu au pied du guéridon. Une petite boule de tissus en sortit et s’ouvrit doucement. Je reconnus le mignon petit string noir qu’elle portait en partant. Je glissais une main sous sa robe. Elle était aussi nue que le jour de sa naissance.
- Je croyais que tu n’aimais pas ne rien porter sous tes vêtements ?» lui susurrais je au creux de l’oreille découvrant la rosé qui perlait sur sa fleur.
- Que ne ferais je pas pour toi ! » dit elle dans un souffle.

On franchit la porte, la refermait. Elle se retourna et me plaqua contre la porte. Sa bouche retourna dévorer la mienne pendant que ses mains pétrissaient mes seins nus dans l’échancrure de ma robe. Je soulevais sa robe afin de caresser ses fesses nues.
Ho mon dieu, je fondais....

05 février 2006


Vacance Vendéenne (suite III)

Je prodiguais la même caresse à son autre sein. Les pointes dardèrent de plus belle. Elle gémissait à chaque fois que je glissais ma langue dessus.
- Ouiiii. Tu les aimes mes seins ? Hein tu les aimes ? »
En guise de réponse je les suçais de plus belle.
Sa main caressait vigoureusement mon sexe en liquéfaction. Son bas ventre allait et venait sur mon ventre.
Elle descendit et repris ma bouche dans la sienne en un baiser torride. Elle abandonna ma bouche pour s’occuper de ma poitrine.
Je sentis un doigt inquisiteur glisser entre mes pétales. Un deuxième alla le rejoindre et ma douce Thallia commença à me masturber avec douceur.
Je m’abandonnais à ses douces caresses. Elle quitta mes seins glissant sa langue sur mon ventre, cueillant au passage sa liqueur qu’elle y avait déposé. Je frémis quand elle arriva sur mon pubis. Elle retira ses doigts de ma grotte et y plongea sa langue.
Instinctivement, je soulevais mon bassin, laissant échapper un râle du fond de ma gorge. Elle me dévora la chatte avec gourmandise, aspirant de temps en temps mon clitoris afin qu’il sorte de ses replis.


Elle replongea à nouveau ses doigts en moi. Mon bassin ondulait sous les vagues du plaisir. Je n’avais plus ma boule au ventre. J’avais autre chose. Je me caressais les seins, un peu oubliés par mon amante.
Sa langue cherchait mon clitoris entre les plis de mes lèvres qu’elle écartait des doigts de son autre main.
Ses doigts quittèrent à nouveau ma grotte. Sa bouche les remplaça. Je sentis un doigt encore plein de ma liqueur descendre vers mon antre secrète. Je tremblais lorsqu’il glissa dessus le muscle. Elle y déposa de ma mouille et remonta en chercher encore et encore, jusqu’à ce qu’il soit suffisamment lubrifié à son gout.
Elle glissa alors son doigt dans mon petit œillet bleu. Je jouis sous l’assaut.
La belle n’arrêta pas pour autant sa caresse buccale et sa sodomie. Cela l’encouragea encore plus dans sa quête de mon plaisir.
Je ne contrôlais plus mon corps. Je coulais dans sa bouche, je jouissais autour de son doigt. Elle plaça une main pleine de mes liqueurs sur ma bouche afin que mes cris ne réveillent pas les voisins. Je les léchais instinctivement.
Elle finit par arrêter sa douce torture.

Elle remonta prés de moi, me caressa doucement le ventre et m’embrassa avec douceur. Elle avait mon odeur dans sa bouche. Je reprenais peu à peu mes esprits.
Ma main glissa sur son ventre et alla se blottir entre ses cuisses. Elle mouillait abondement. Je la caressais à mon tour. Je glissais deux doigts en elle. Elle gémit dans ma bouche.
- Attends, attends ma chérie ! » dit elle.
- Oui, qu’y a t’il ? »
Elle se leva et alla chercher quelque chose dans son sac. Elle en sortit un superbe godemiché ceinture.
- Mets-toi ceci et fais-moi l’amour ! »
- Tout ce que tu veux. »
J’enfilais l’objet sous son regard. Je la regardais avec défis, le phallus de plastique noir pendant entre mes jambes…

21 janvier 2006


Vacance Vendéenne (suite)

Je passais prendre mon sac dans l’auvent de mes voisins et suivis Thallia dans sa tente. Effectivement, elle était immense.
- Elle appartient à mon copain. »
Ho le coup de poing. C’était comme si mon sexe venait d’aspirer brutalement la liqueur qui s’en échappait.
- Tu as… Tu as un copain. »
- Oui, mais il n’arrive que dans quinze jours. Je suis partie avant lui parce que j’avais besoin d’être un peu seule. »
Elle retira son chemiser et prépara ma couche, les seins nues. Deux magnifiques globes que j’aimerais tant baiser, lécher. Mais la belle était prise. Je n’aime pas jouer la briseuse de ménage.
Voyant qu’elle n’était pas prude, je me déshabillais complètement à mon tour, gardant mon petit clip en satin noir et me glissais dans mon duvet.
- Tu as un corps magnifique Romane. » dit-elle.
- Merci. Le tien n’est pas mal non plus. »
Elle rougit et lâcha un timide « merci ». Je sentis encore cette boule dans mon ventre. Elle remarqua ma grimace.
- Quelque chose ne va pas ?
- Tout va bien, mais quand je suis contrariée, j’ai mal au ventre. »
- Ho, et c’est désagréable. »
- Par moment oui. »
Elle s’agenouilla près de moi.
- Tu permets ? » dit elle en prenant la fermeture éclaire de mon sac de couchage.
- Oui ! » dis-je un peu surprise.
Elle ouvrit le sac et poussa le rabat.
- Je peux peut-être faire quelque chose. »
Elle remonta sa jupe, m’enjamba et s’assit sur mes cuisses. J’étais en petite culotte, à sa merci. Elle posa ses belles mains sur mon ventre et le massa.
Ho mon dieu. Que faisait-elle là ? C’était délicieux et ma boule laissa place à une autre boule plus agréable celle-ci. Je fermais les yeux et m’abandonnais à sa douce caresse et à la chaleur de son entrecuisse. Elle massait mon ventre, n’allant pas plus haut que mes seins, et la lisière de ma culotte. Ma fontaine se mit à couler sous le doux massage de Thallia. Visiblement, je n’étais pas la seule dans cet état.
Ne serait-ce pas un peu d’humidité qui commencerait à se déposer sur mes cuisses.
J’ouvrais alors les yeux. Les siens brillaient. Je remarquais que la pointe de ses tétons bandait furieusement. Je lui souris et posais mes mains sur ses cuisses.


Comme si elle avait attendu mon geste, ses mains remontèrent plus haut et passèrent sur mes seins qui bandaient tout autant que les siens. Je gémis. J’eus encore un flash de lucidité.
- Mais, mais ton copain ? »
- Je t’ai dit Romane que j’avais besoin de me détendre, loin de lui. Je ne connaît rien de meilleur que la compagnie d’une belle femme pour me détendre.»
Je lui souris pour la remercier de son compliment.
- Alors viens m’embrasser ! » lui dis-je.
Elle se pencha et je goutais enfin à ces douces lèvres. Ses mains ne me caressaient plus les seins, elles les pétrissaient. Je glissais mes mains sous sa jupe. Je rencontrais les bords de sa culotte. Je glissais vers l’intérieur et la caressais touchant légèrement son pubis à travers le tissu de son sous-vêtement. Je constatais qu’il s’humidifiait tout autant que le mien.
Nos langues virevoltaient dans nos bouches. C’était délicieux.
Je remerciais, en fin de compte, la Sncf. Si je n’avais pas eu mon problème de tente, peut-être n’aurais je jamais rencontré Thallia.
Elle se redressa, les yeux brillants de désir. Ses mains quittèrent mes seins et descendirent sur mon ventre, me prodiguant de doux frissons le long de mon échine.
J’abandonnais ses cuisses pour aller pétrir ses seins à mon tour.
Elles passèrent enfin la frontière de ma culotte, glissèrent sur mon pubis. Elle me massa doucement le mont de vénus. Je laissais échapper, malgré moi, de petit gémissement.
- Il faut chaud non ? » dit elle soudainement.
Sans attendre ma réponse, elle se leva, retira sa jupe. Elle portait un mignon petit string rouge. Alors, qu’elle me regardait, elle le fit glisser long de ses belles cuisses. Son pubis était merveilleusement épilé en V, suivant la forme de son maillot.
Elle s’agenouilla près de moi.
- Tu n’as pas chaud ? » dit-elle en passant sa main sur ma culotte et allant vers la moiteur de mon entrecuisse.
Elle constata mon état.
- MMMMM oui, je vois que tu as chaud toi aussi. »
Elle porta ses doigts à la bouche, goutant un peu de ma liqueur, puis s’emparant de ma culotte afin de m’en débarrasser. Ma culotte rejoignit la sienne dans un coin de la tente.


J’écartais légèrement les cuisses afin qu’elle se repaisse de mon corps.
Elle sourit. Je lui pris la main et l’attirais vers moi. On s’embrassa à nouveau.
Ses mains glissèrent à nouveau sur mon ventre vers ma fleur humide.
Je gémis quand ses doigts touchèrent mes lèvres gorgées de liqueur.
J’abandonnais ses lèvres et la forçais à remonter afin que je puisse gober l’un de ses seins. Je le léchais, l’aspirais au fond de ma gorge, le mordillais.
Ce fut à son tour de gémir….

15 janvier 2006



Vacance Vendéenne

Illustration : VivThomas Vidéo

Quelqu’un m’a demandé d’écrire une histoire nous mettant en scène toutes les deux et de la publier sur le site. Je ne pouvais pas lui refuser. Même si un soir du 2 janvier 2006, elle m’a laissé en plan, après m’avoir excité comme une chien..

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Cet été là, j’avais décidé d’aller passer mes vacances sur la côte vendéenne. Jamais plus je n’y retournerais, non pas pour les rencontres que j’y ais faites, mais pour le monde qui s’y trouve. C’est de la folie. On croirait que toute la région parisienne y débarquait.
J’avais toujours été réticente pour y aller mais une excellente amie m’avait parlé des aventures qu’elle y avait vécues. Elle m’avait mis l’eau à la bouche.
Elle me donna l’adresse d’un camping un peu cosmopolite me disant que c’était le nec plus ultra pour les rencontres.
Pour ne pas me charger en bagage, j’envoyais ma tente via le fret de la Sncf.
Evidement, une fois sur place, la compagnie n’avait aucun colis à mon nom dans la gare d’arrivée. Après moult recherche, ils finirent par retrouver ma tente, au fret de Nantes. Ils me promirent que je la récupérerais le lendemain.
Me voilà dans de beau drap. Dans le taxi qui me menait vers le camping, je réfléchissais à la façon dont j’allais passer ma nuit. Bien que les nuits soient chaudes dans le coin, je me voyais mal passer la nuit sur la plage. Peut-être que le camping louait des tentes pour une nuit.
A l’accueil, je perdis vite mes illusions. Le camping ne louait pas de tente. J’avais un emplacement réservé, tout de même.
Je n’allais pas me gâcher les vacances pour cela. Il faisait beau et un tour à la plage allait me remonter le moral. Mes voisins acceptèrent de garder mes affaires le temps que je m’installe complètement. C’est la solidarité des campeurs.


Me voilà enfin allongée, le corps au soleil chaud de l’après-midi. Je somnolais et me baignais de temps en temps. Malgré tout, j’avais une boule au creux de mon ventre. Je n’aime pas les contrariétés.
Mes charmants voisins m’invitèrent à leur table pour le dîné. Je n’aimais pas la façon dont me regardait leur fiston, boutonneux de 16 ans.
Je pris congé, assez tard et partis me promener sur la plage. Il y avait un feu de camp non loin de là. Je m’y dirigeais.
Je fus agréablement accueillie. Il y avait des couples qui passait leur temps à se bécoter, et d’autre cherchant à former un couple. J’éconduis, dans la douceur deux mâles, plutôt bien avinés. L’alcool et le sexe ne font pas toujours bon ménage. Et puis bien que bi, je n’étais pas venu en ces lieus pour avoir une aventure avec des Zoms.
Je ne l’avais pas vu arriver tellement j’étais plongée dans mes pensés et cette boule au creux du ventre n’avait rien pour arranger les choses.
Je sentis un regard sur moi. Je levais les yeux et découvris une magnifique brunette, cheveux mi long, qui me regardait. Elle était tout à fait mon genre. Elle me sourit. Je lui rendis son sourire.
Elle portait une longue jupe d’été, un petit chemisier blanc, largement ouvert et un châle pour la fraîcheur. Elle me plaisait beaucoup.
A son tour, elle éconduit les deux ivrognes qui beuglaient maintenant tellement ils étaient ronds.
Son regard me quittait de temps en temps mais revenait toujours sur moi. Je sentais par là, que je ne lui étais pas indifférente non plus. Merci Camille pour tes conseils.
Je me levais pour aller la rejoindre.
- Cela vous dérange si je m’assois à côté de vous ? »
- Non pas du tout. »
- Je me présente : Romane. »
- Moi c’est Thallia. »
- Très enchantée Thallia. »
- Moi aussi Romane. »
On engagea une longue discussion. J’appris qu’elle venait de Paris, ce qu’elle faisait dans la vie. Très vite on arriva au tutoiement.
Super, elle était dans le même camping que moi. Je finis par lui dire que la Sncf avait égaré ma tente et que je me retrouvais sans domicile fixe cette nuit. Malgré moi, je lui tendais une perche.
- Tu ne vas dormir à l’extérieur ce soir. J’ai une très grande tente et je peux t’accueillir pour la nuit sans problème. »
- Merci beaucoup. »
- D’ailleurs, si cela te dit, j’aimerais aller me coucher. »
- Moi aussi. Je me suis levée tôt pour prendre mon train. »
- Suis-moi. »
- Ok. »



On marcha alors côte à côte sur la plage. Je sentais toujours ma boule, mais ma fleur commençait un suinter une douce liqueur.

Fin de la mise en bouche

07 janvier 2006


Boules de Geisha

Mon expérience (Illustration : Olivia de Berardinis)

Voici donc l’histoire de Romane et de ses deux boules coquines.
Je suis entrée avant-hier soir de mon travail, légèrement excitée par ce que j’allais faire dans la soirée.
Je me suis connectée sur le site afin d’envoyer un message à Soleil au sujet de son texte sur « exhib sur autoroute ».
Je me suis ensuite déshabillée. Ma petite culotte portait les traces de mon émoi. J’ai mis un déshabillée, petite chose que j’aime porter avant de me donner du plaisir, petite chose légère et facile à ouvrir et sortis mes boule de Geisha de leur boite, petites boules blanches m’ayant déjà procuré beaucoup de plaisir à maintes occasions.

Une petite parenthèse sur les boules de Geisha. Une amie m’a, un jour, montré les siennes. Elle était semble à celle que l’on utilise pour se déstresser en les manipulant. Il doit y avoir une petite bille à l’intérieur montée sur ressort. Je m’imaginais l’effet qu’elle devait procurer. Dommage, elle n’a pas voulu me les prêter prétextant qu’il s’agissait d’un objet perso et intime. La sal… Je n’ai pas réussi à en trouver de semblable.

Revenons à nous.
J’ai augmenté la température ambiante dans la salle de bain, mis quelques bougies pour que ce soit plus romantique et une musique douce.
J’ai ensuite relu l’histoire de Soleil et de Victoria afin d’être encore un peu plus en condition, une main sur la souris et l’autre allant et venant sur mes lèvres déjà bien juteuses. Je suis aussi nue qu’une jeune fille de 12 ans.
J’ai alors pris mes boules et me les suis introduites doucement. Je me suis encore un peu caressée avant de me rendre dans la salle de bain.
Malheureusement, je n’ai pas comme notre amie Victoria des buses pour bain bouillonnant. Je dois me contenter du robinet et du pommeau de douche.
Au début, ce fut un peu acrobatique. Mon idée était de mettre ma petite chatte directement sous le robinet. Un conseil, ne pas fermer la bonde sinon on boit la tasse.
Me voici donc, couchée dans le fond de la baignoire, les jambes posées sur le mur de chaque côté du robinet. C’est très inconfortable et le plaisir est néant.
Heureusement que j’ai un pommeau de douche à plusieurs jets. Je l’utilise régulièrement pour me masser toutes les parcelles de la peau.
Je fermais cette fois la bonde et commençais à me masser à l’aide du jet de douche. La situation précédente n’avait quand même pas fait fondre mon désir. Mes tétons se mirent à durcirent au fur et à mesure que mon excitation grimpait. La douche d’une main et l’autre main sur mes seins. Je fermais les yeux, me laissant emporter par un doux plaisir.
Je fis descendre le jet sur mon ventre, mon pubis et enfin sur mes lèvres intimes. Mon dieu, c’était divin.

Mes petites coquines furent prises de mouvements rapides et désordonnés en moi. Je pinçais mes lèvres, gémissais doucement. J’abandonnais alors mes seins pour aller me caresser plus intimement. Je fis monter et descendre le jet le long de ma fleur. Je sentis cette boule caractéristique grossir au creux de mon ventre, de mes reins. Elle vint rejoindre mes deux coquines qui continuaient leurs sarabandes. J’ai jouis dans mon bain.
Il était temps. L’eau menaçait de déborder.
Je suis sortie de la baignoire encore toute excitée.
Je me séchais rapidement pour me retrouver à quatre pattes sur le lit. Je frottais suavement mon pubis en fusion sur un coussin. Une vraie chienne en chaleur. Je me masturbais à nouveau avec vivacité et je jouis encore et encore.
Je m’allongeais enfin, les sens calmés. Je finis par tirer sur le cordon pour extraire mes deux vicieuses. Elles étaient luisantes de mes liqueurs. Je les gobais l’une après l’autre pour les nettoyer.
Voilà mon expérience mes loulous.
Merci Victoria de m’avoir fait découvrir cela.

04 janvier 2006


Boules de Geisha

L'expérience de Soleil (Illustration : Didier CARRE )

Journal des boules de geisha.

Lundi 24 octobre, il est 10h30, je suis au boulot, et voici comme prévu la suite de mes aventures avec les boules de geisha.

Après les avoir abandonnées tout le dimanche pour une petite journée en famille, dès ce matin je me suis attachée à respecter mon engagement auprès des forumistes fidèles.

Lever 6h45, petit déjeuner et quelques minutes de stepper, puis douche. Sortie de la douche en tenue d'Eve, je m'essuie comme il faut. J'ouvre les volets de ma chambre et du séjour, je n'ai pas vraiment de vis-à-vis mais le matin j'aime bien penser que certains pourraient m'apercevoir. Je prends les boules magiques et me les introduit dans la chatte, pas trop loin. En effet, j'ai remarqué que si elles sont placées trop profond je les sens moins bien. L'une contre l'autre et pas loin de l'ouverture voici la recette de la sensation. Délicieux aussi de pouvoir être vue en faisant cela. J'y retrouve un peu de l'adrénaline de la première fois dans la voiture.

Je m'habille tranquillement et pars au travail à pied comme de coutume. Le trajet est sympathique, je passe par des rues évocatrices comme la rue de la gaîté, mais le matin, c'est odeur de café et croissant. Les sex shop sont encore endormis. Les petites boules commencent à faire leur effet, je sens que je m'humidifie peu à peu, ce n'est pas encore la mousson des tropiques mais je me sens très bien.

En milieu de matinée, je fais une petite escale technique aux toilettes, j'en profite pour me caresser un peu, je suis bien humide, et les boules toujours en place. Je crois que j'ai vraiment trouvé comment les mettre pour un meilleur effet, la dernière juste à l'entrée de la grotte magique. Je me répète mais vraiment dans cette position, elle se rappelle à moi tout le temps, dès que je bouge un peu je sens sa présence, elle essaie de sortir, je m'assoie et l'oblige à se remettre au chaud !! Un vrai jeu de cache-cache. J'adore ! Et j'ai très envie de me toucher. Toujours lundi mais il est 12h00 : je confirme, effet garanti. Par contre je ne le conseille pas à celles qui doivent être productives. J'ai du vague à l'âme, ai envoyé un message à un amoureux, lu mes mails perso sur mon téléphone alors que d'habitude je m'interdis de le faire pour ne pas parasiter ma vie professionnelle. Voila que je me mets à débloquer dans le travail, mais c'est tellement bon. Ma petite chatte ronronne et palpite en silence, elle a déjà l'eau à la bouche. J'ai de plus en plus envie de me toucher. Je ne sais pas si je vais résister toute la journée sans me faire jouir. Et en plus ce soir pas de perspectives de rencontres !!! Je commence à avoir très envie de me blottir dans les bras d'un homme.

Il est maintenant 14h30 : je suis de nouveau installée pour travailler, mais je n'ai aucune envie de m'y mettre. En rentrant de déjeuner une collègue m'a demandé ce que j'avais mangé et si j'avais bu ??? Que de l'eau j'ai bu, c'est que j'étais parait-il très en forme avec un beau rouge aux joues !! Ca se voit donc ! En même temps ça me plait bien, cet état. Mais si j'étais mon patron, je ferai une note interne pour interdire les boules de geishas sur le lieu de travail comme c'est le cas pour l'alcool ! Bon, il faut que je bosse un peu quand même.

Me voila arrivée à 18 heures tant bien que mal, difficile de se concentrer avec ces petites intruses qui s'agitent en moi. Je n'ai pas pu résister à aller aux toilettes au cours de la journée pour me caresser un peu. Quel plaisir, même si le lieu ne s'y prête guère. Ma chatte est toute humide de plaisir mais je ne veux pas qu'elle explose maintenant et ici.

Allez, je prends le chemin du retour, à pied, comme il se doit pour vous poster mon fidèle compte rendu.

Me voici devant mon ordi, je ne regrette qu'une chose c'est qu'il n'y ait pas un gentil garçon pour m'aider à les retirer.

Bises à tous

02 janvier 2006

Je vous souhaite à toutes une bonne et heureuse année 2006, pleine de baisers et de plaisir. Je commence l’année en vous offrant ces doux baisers.