21 janvier 2006


Vacance Vendéenne (suite)

Je passais prendre mon sac dans l’auvent de mes voisins et suivis Thallia dans sa tente. Effectivement, elle était immense.
- Elle appartient à mon copain. »
Ho le coup de poing. C’était comme si mon sexe venait d’aspirer brutalement la liqueur qui s’en échappait.
- Tu as… Tu as un copain. »
- Oui, mais il n’arrive que dans quinze jours. Je suis partie avant lui parce que j’avais besoin d’être un peu seule. »
Elle retira son chemiser et prépara ma couche, les seins nues. Deux magnifiques globes que j’aimerais tant baiser, lécher. Mais la belle était prise. Je n’aime pas jouer la briseuse de ménage.
Voyant qu’elle n’était pas prude, je me déshabillais complètement à mon tour, gardant mon petit clip en satin noir et me glissais dans mon duvet.
- Tu as un corps magnifique Romane. » dit-elle.
- Merci. Le tien n’est pas mal non plus. »
Elle rougit et lâcha un timide « merci ». Je sentis encore cette boule dans mon ventre. Elle remarqua ma grimace.
- Quelque chose ne va pas ?
- Tout va bien, mais quand je suis contrariée, j’ai mal au ventre. »
- Ho, et c’est désagréable. »
- Par moment oui. »
Elle s’agenouilla près de moi.
- Tu permets ? » dit elle en prenant la fermeture éclaire de mon sac de couchage.
- Oui ! » dis-je un peu surprise.
Elle ouvrit le sac et poussa le rabat.
- Je peux peut-être faire quelque chose. »
Elle remonta sa jupe, m’enjamba et s’assit sur mes cuisses. J’étais en petite culotte, à sa merci. Elle posa ses belles mains sur mon ventre et le massa.
Ho mon dieu. Que faisait-elle là ? C’était délicieux et ma boule laissa place à une autre boule plus agréable celle-ci. Je fermais les yeux et m’abandonnais à sa douce caresse et à la chaleur de son entrecuisse. Elle massait mon ventre, n’allant pas plus haut que mes seins, et la lisière de ma culotte. Ma fontaine se mit à couler sous le doux massage de Thallia. Visiblement, je n’étais pas la seule dans cet état.
Ne serait-ce pas un peu d’humidité qui commencerait à se déposer sur mes cuisses.
J’ouvrais alors les yeux. Les siens brillaient. Je remarquais que la pointe de ses tétons bandait furieusement. Je lui souris et posais mes mains sur ses cuisses.


Comme si elle avait attendu mon geste, ses mains remontèrent plus haut et passèrent sur mes seins qui bandaient tout autant que les siens. Je gémis. J’eus encore un flash de lucidité.
- Mais, mais ton copain ? »
- Je t’ai dit Romane que j’avais besoin de me détendre, loin de lui. Je ne connaît rien de meilleur que la compagnie d’une belle femme pour me détendre.»
Je lui souris pour la remercier de son compliment.
- Alors viens m’embrasser ! » lui dis-je.
Elle se pencha et je goutais enfin à ces douces lèvres. Ses mains ne me caressaient plus les seins, elles les pétrissaient. Je glissais mes mains sous sa jupe. Je rencontrais les bords de sa culotte. Je glissais vers l’intérieur et la caressais touchant légèrement son pubis à travers le tissu de son sous-vêtement. Je constatais qu’il s’humidifiait tout autant que le mien.
Nos langues virevoltaient dans nos bouches. C’était délicieux.
Je remerciais, en fin de compte, la Sncf. Si je n’avais pas eu mon problème de tente, peut-être n’aurais je jamais rencontré Thallia.
Elle se redressa, les yeux brillants de désir. Ses mains quittèrent mes seins et descendirent sur mon ventre, me prodiguant de doux frissons le long de mon échine.
J’abandonnais ses cuisses pour aller pétrir ses seins à mon tour.
Elles passèrent enfin la frontière de ma culotte, glissèrent sur mon pubis. Elle me massa doucement le mont de vénus. Je laissais échapper, malgré moi, de petit gémissement.
- Il faut chaud non ? » dit elle soudainement.
Sans attendre ma réponse, elle se leva, retira sa jupe. Elle portait un mignon petit string rouge. Alors, qu’elle me regardait, elle le fit glisser long de ses belles cuisses. Son pubis était merveilleusement épilé en V, suivant la forme de son maillot.
Elle s’agenouilla près de moi.
- Tu n’as pas chaud ? » dit-elle en passant sa main sur ma culotte et allant vers la moiteur de mon entrecuisse.
Elle constata mon état.
- MMMMM oui, je vois que tu as chaud toi aussi. »
Elle porta ses doigts à la bouche, goutant un peu de ma liqueur, puis s’emparant de ma culotte afin de m’en débarrasser. Ma culotte rejoignit la sienne dans un coin de la tente.


J’écartais légèrement les cuisses afin qu’elle se repaisse de mon corps.
Elle sourit. Je lui pris la main et l’attirais vers moi. On s’embrassa à nouveau.
Ses mains glissèrent à nouveau sur mon ventre vers ma fleur humide.
Je gémis quand ses doigts touchèrent mes lèvres gorgées de liqueur.
J’abandonnais ses lèvres et la forçais à remonter afin que je puisse gober l’un de ses seins. Je le léchais, l’aspirais au fond de ma gorge, le mordillais.
Ce fut à son tour de gémir….

15 janvier 2006



Vacance Vendéenne

Illustration : VivThomas Vidéo

Quelqu’un m’a demandé d’écrire une histoire nous mettant en scène toutes les deux et de la publier sur le site. Je ne pouvais pas lui refuser. Même si un soir du 2 janvier 2006, elle m’a laissé en plan, après m’avoir excité comme une chien..

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-
Cet été là, j’avais décidé d’aller passer mes vacances sur la côte vendéenne. Jamais plus je n’y retournerais, non pas pour les rencontres que j’y ais faites, mais pour le monde qui s’y trouve. C’est de la folie. On croirait que toute la région parisienne y débarquait.
J’avais toujours été réticente pour y aller mais une excellente amie m’avait parlé des aventures qu’elle y avait vécues. Elle m’avait mis l’eau à la bouche.
Elle me donna l’adresse d’un camping un peu cosmopolite me disant que c’était le nec plus ultra pour les rencontres.
Pour ne pas me charger en bagage, j’envoyais ma tente via le fret de la Sncf.
Evidement, une fois sur place, la compagnie n’avait aucun colis à mon nom dans la gare d’arrivée. Après moult recherche, ils finirent par retrouver ma tente, au fret de Nantes. Ils me promirent que je la récupérerais le lendemain.
Me voilà dans de beau drap. Dans le taxi qui me menait vers le camping, je réfléchissais à la façon dont j’allais passer ma nuit. Bien que les nuits soient chaudes dans le coin, je me voyais mal passer la nuit sur la plage. Peut-être que le camping louait des tentes pour une nuit.
A l’accueil, je perdis vite mes illusions. Le camping ne louait pas de tente. J’avais un emplacement réservé, tout de même.
Je n’allais pas me gâcher les vacances pour cela. Il faisait beau et un tour à la plage allait me remonter le moral. Mes voisins acceptèrent de garder mes affaires le temps que je m’installe complètement. C’est la solidarité des campeurs.


Me voilà enfin allongée, le corps au soleil chaud de l’après-midi. Je somnolais et me baignais de temps en temps. Malgré tout, j’avais une boule au creux de mon ventre. Je n’aime pas les contrariétés.
Mes charmants voisins m’invitèrent à leur table pour le dîné. Je n’aimais pas la façon dont me regardait leur fiston, boutonneux de 16 ans.
Je pris congé, assez tard et partis me promener sur la plage. Il y avait un feu de camp non loin de là. Je m’y dirigeais.
Je fus agréablement accueillie. Il y avait des couples qui passait leur temps à se bécoter, et d’autre cherchant à former un couple. J’éconduis, dans la douceur deux mâles, plutôt bien avinés. L’alcool et le sexe ne font pas toujours bon ménage. Et puis bien que bi, je n’étais pas venu en ces lieus pour avoir une aventure avec des Zoms.
Je ne l’avais pas vu arriver tellement j’étais plongée dans mes pensés et cette boule au creux du ventre n’avait rien pour arranger les choses.
Je sentis un regard sur moi. Je levais les yeux et découvris une magnifique brunette, cheveux mi long, qui me regardait. Elle était tout à fait mon genre. Elle me sourit. Je lui rendis son sourire.
Elle portait une longue jupe d’été, un petit chemisier blanc, largement ouvert et un châle pour la fraîcheur. Elle me plaisait beaucoup.
A son tour, elle éconduit les deux ivrognes qui beuglaient maintenant tellement ils étaient ronds.
Son regard me quittait de temps en temps mais revenait toujours sur moi. Je sentais par là, que je ne lui étais pas indifférente non plus. Merci Camille pour tes conseils.
Je me levais pour aller la rejoindre.
- Cela vous dérange si je m’assois à côté de vous ? »
- Non pas du tout. »
- Je me présente : Romane. »
- Moi c’est Thallia. »
- Très enchantée Thallia. »
- Moi aussi Romane. »
On engagea une longue discussion. J’appris qu’elle venait de Paris, ce qu’elle faisait dans la vie. Très vite on arriva au tutoiement.
Super, elle était dans le même camping que moi. Je finis par lui dire que la Sncf avait égaré ma tente et que je me retrouvais sans domicile fixe cette nuit. Malgré moi, je lui tendais une perche.
- Tu ne vas dormir à l’extérieur ce soir. J’ai une très grande tente et je peux t’accueillir pour la nuit sans problème. »
- Merci beaucoup. »
- D’ailleurs, si cela te dit, j’aimerais aller me coucher. »
- Moi aussi. Je me suis levée tôt pour prendre mon train. »
- Suis-moi. »
- Ok. »



On marcha alors côte à côte sur la plage. Je sentais toujours ma boule, mais ma fleur commençait un suinter une douce liqueur.

Fin de la mise en bouche

07 janvier 2006


Boules de Geisha

Mon expérience (Illustration : Olivia de Berardinis)

Voici donc l’histoire de Romane et de ses deux boules coquines.
Je suis entrée avant-hier soir de mon travail, légèrement excitée par ce que j’allais faire dans la soirée.
Je me suis connectée sur le site afin d’envoyer un message à Soleil au sujet de son texte sur « exhib sur autoroute ».
Je me suis ensuite déshabillée. Ma petite culotte portait les traces de mon émoi. J’ai mis un déshabillée, petite chose que j’aime porter avant de me donner du plaisir, petite chose légère et facile à ouvrir et sortis mes boule de Geisha de leur boite, petites boules blanches m’ayant déjà procuré beaucoup de plaisir à maintes occasions.

Une petite parenthèse sur les boules de Geisha. Une amie m’a, un jour, montré les siennes. Elle était semble à celle que l’on utilise pour se déstresser en les manipulant. Il doit y avoir une petite bille à l’intérieur montée sur ressort. Je m’imaginais l’effet qu’elle devait procurer. Dommage, elle n’a pas voulu me les prêter prétextant qu’il s’agissait d’un objet perso et intime. La sal… Je n’ai pas réussi à en trouver de semblable.

Revenons à nous.
J’ai augmenté la température ambiante dans la salle de bain, mis quelques bougies pour que ce soit plus romantique et une musique douce.
J’ai ensuite relu l’histoire de Soleil et de Victoria afin d’être encore un peu plus en condition, une main sur la souris et l’autre allant et venant sur mes lèvres déjà bien juteuses. Je suis aussi nue qu’une jeune fille de 12 ans.
J’ai alors pris mes boules et me les suis introduites doucement. Je me suis encore un peu caressée avant de me rendre dans la salle de bain.
Malheureusement, je n’ai pas comme notre amie Victoria des buses pour bain bouillonnant. Je dois me contenter du robinet et du pommeau de douche.
Au début, ce fut un peu acrobatique. Mon idée était de mettre ma petite chatte directement sous le robinet. Un conseil, ne pas fermer la bonde sinon on boit la tasse.
Me voici donc, couchée dans le fond de la baignoire, les jambes posées sur le mur de chaque côté du robinet. C’est très inconfortable et le plaisir est néant.
Heureusement que j’ai un pommeau de douche à plusieurs jets. Je l’utilise régulièrement pour me masser toutes les parcelles de la peau.
Je fermais cette fois la bonde et commençais à me masser à l’aide du jet de douche. La situation précédente n’avait quand même pas fait fondre mon désir. Mes tétons se mirent à durcirent au fur et à mesure que mon excitation grimpait. La douche d’une main et l’autre main sur mes seins. Je fermais les yeux, me laissant emporter par un doux plaisir.
Je fis descendre le jet sur mon ventre, mon pubis et enfin sur mes lèvres intimes. Mon dieu, c’était divin.

Mes petites coquines furent prises de mouvements rapides et désordonnés en moi. Je pinçais mes lèvres, gémissais doucement. J’abandonnais alors mes seins pour aller me caresser plus intimement. Je fis monter et descendre le jet le long de ma fleur. Je sentis cette boule caractéristique grossir au creux de mon ventre, de mes reins. Elle vint rejoindre mes deux coquines qui continuaient leurs sarabandes. J’ai jouis dans mon bain.
Il était temps. L’eau menaçait de déborder.
Je suis sortie de la baignoire encore toute excitée.
Je me séchais rapidement pour me retrouver à quatre pattes sur le lit. Je frottais suavement mon pubis en fusion sur un coussin. Une vraie chienne en chaleur. Je me masturbais à nouveau avec vivacité et je jouis encore et encore.
Je m’allongeais enfin, les sens calmés. Je finis par tirer sur le cordon pour extraire mes deux vicieuses. Elles étaient luisantes de mes liqueurs. Je les gobais l’une après l’autre pour les nettoyer.
Voilà mon expérience mes loulous.
Merci Victoria de m’avoir fait découvrir cela.

04 janvier 2006


Boules de Geisha

L'expérience de Soleil (Illustration : Didier CARRE )

Journal des boules de geisha.

Lundi 24 octobre, il est 10h30, je suis au boulot, et voici comme prévu la suite de mes aventures avec les boules de geisha.

Après les avoir abandonnées tout le dimanche pour une petite journée en famille, dès ce matin je me suis attachée à respecter mon engagement auprès des forumistes fidèles.

Lever 6h45, petit déjeuner et quelques minutes de stepper, puis douche. Sortie de la douche en tenue d'Eve, je m'essuie comme il faut. J'ouvre les volets de ma chambre et du séjour, je n'ai pas vraiment de vis-à-vis mais le matin j'aime bien penser que certains pourraient m'apercevoir. Je prends les boules magiques et me les introduit dans la chatte, pas trop loin. En effet, j'ai remarqué que si elles sont placées trop profond je les sens moins bien. L'une contre l'autre et pas loin de l'ouverture voici la recette de la sensation. Délicieux aussi de pouvoir être vue en faisant cela. J'y retrouve un peu de l'adrénaline de la première fois dans la voiture.

Je m'habille tranquillement et pars au travail à pied comme de coutume. Le trajet est sympathique, je passe par des rues évocatrices comme la rue de la gaîté, mais le matin, c'est odeur de café et croissant. Les sex shop sont encore endormis. Les petites boules commencent à faire leur effet, je sens que je m'humidifie peu à peu, ce n'est pas encore la mousson des tropiques mais je me sens très bien.

En milieu de matinée, je fais une petite escale technique aux toilettes, j'en profite pour me caresser un peu, je suis bien humide, et les boules toujours en place. Je crois que j'ai vraiment trouvé comment les mettre pour un meilleur effet, la dernière juste à l'entrée de la grotte magique. Je me répète mais vraiment dans cette position, elle se rappelle à moi tout le temps, dès que je bouge un peu je sens sa présence, elle essaie de sortir, je m'assoie et l'oblige à se remettre au chaud !! Un vrai jeu de cache-cache. J'adore ! Et j'ai très envie de me toucher. Toujours lundi mais il est 12h00 : je confirme, effet garanti. Par contre je ne le conseille pas à celles qui doivent être productives. J'ai du vague à l'âme, ai envoyé un message à un amoureux, lu mes mails perso sur mon téléphone alors que d'habitude je m'interdis de le faire pour ne pas parasiter ma vie professionnelle. Voila que je me mets à débloquer dans le travail, mais c'est tellement bon. Ma petite chatte ronronne et palpite en silence, elle a déjà l'eau à la bouche. J'ai de plus en plus envie de me toucher. Je ne sais pas si je vais résister toute la journée sans me faire jouir. Et en plus ce soir pas de perspectives de rencontres !!! Je commence à avoir très envie de me blottir dans les bras d'un homme.

Il est maintenant 14h30 : je suis de nouveau installée pour travailler, mais je n'ai aucune envie de m'y mettre. En rentrant de déjeuner une collègue m'a demandé ce que j'avais mangé et si j'avais bu ??? Que de l'eau j'ai bu, c'est que j'étais parait-il très en forme avec un beau rouge aux joues !! Ca se voit donc ! En même temps ça me plait bien, cet état. Mais si j'étais mon patron, je ferai une note interne pour interdire les boules de geishas sur le lieu de travail comme c'est le cas pour l'alcool ! Bon, il faut que je bosse un peu quand même.

Me voila arrivée à 18 heures tant bien que mal, difficile de se concentrer avec ces petites intruses qui s'agitent en moi. Je n'ai pas pu résister à aller aux toilettes au cours de la journée pour me caresser un peu. Quel plaisir, même si le lieu ne s'y prête guère. Ma chatte est toute humide de plaisir mais je ne veux pas qu'elle explose maintenant et ici.

Allez, je prends le chemin du retour, à pied, comme il se doit pour vous poster mon fidèle compte rendu.

Me voici devant mon ordi, je ne regrette qu'une chose c'est qu'il n'y ait pas un gentil garçon pour m'aider à les retirer.

Bises à tous

02 janvier 2006

Je vous souhaite à toutes une bonne et heureuse année 2006, pleine de baisers et de plaisir. Je commence l’année en vous offrant ces doux baisers.