21 mai 2006


Lacanau Océan III (suite et fin)

Illustration : VivThomas Vidéo


Elle s’écarta à nouveau et me débarrassa de mon shorty. Elle le huma un peu et le lâcha près de ma robe. Elle observa mon sexe aussi luisant que le sien. Elle vint m’embrasser à nouveau.
Elle enfourcha à nouveau ma cuisse et se frotta dessus à nouveau. Je mouillais comme une folle.
Après m’avoir longuement embrassé et sucé les seins, elle se redressa et son pubis alla à la rencontre du mien. Basculant en arrière, nos lèvres intimes se rencontrèrent et nos humeurs se mélangèrent. Elle frotta alors sa petite chatte sur le mienne. Je pris l’un de ses seins dans ma main et le massait au rythme de mon plaisir. Nos gémissements emplissaient la chambre.
Elle abandonna sa position pour s’installer tête bêche. Enfin sa bouche se posa sur mon sexe en fusion. Je rugis de bonheur.
Sa langue était aussi agile dans mon vagin que dans ma bouche. Je jouissais tellement que je n’arrivais pas à me concentrer sur sa fleur. Je donnais de temps à autre un coup de langue, un baiser fiévreux. Je vis, entre deux soupirs, sons petit œillet bleu, dansant devant mon nez. J’humectais abondamment mon index, le fis glisser autour de son petit anus, cueillant un peu de cyprine au passage afin de lubrifier le petit trou. J’entendais la belle ronronner, visiblement satisfaite de ce que je faisais.
Je plongeais alors mon index. Thallia mugit. J’essayais alors de me concentrer sur ma caresse bien que les rouleaux de l’orgasme pointaient à l’horizon. J’avais des étoiles devant les yeux, des picotements dans le ventre. J’accélérais le mouvement de mon doigt dans Thallia.
L’orgasme arriva et m’emporta avec délice. Mon doigt s’activa de plus belle dans les fesses de ma belle. Elle jouit à son tour, répandant un peu de sa liqueur sur mon torse et mon cou.
Sa bouche faisait ventouse sur mon sexe buvant mes rejets. Son ventre était parcouru de spasme. Je bus encore de sa liqueur à même la source.
Elle se releva et vint se blottir contre moi. Elle lécha sa liqueur dans mon cou et nos bouches s’unirent à nouveau.
Le baiser fut plus tendre, moins fougueux.
On reprit peu à peu nos esprits.
J’avais une envie pressante. Je l’abandonnais un instant.
A mon retour, je la trouvais sur le ventre, une main entre les cuisses en pleine masturbation. Je la regardais un instant, trouvant le spectacle très agréable.
Regardant par-dessus son épaule, elle me vit. Elle sourit et glissa une langue gourmande sur ses lèvres. Elle continua à se masturber.


Je grimpais alors sur le lit et m’installais au dessus d’elle. Je descendis l’embrasser dans le cou puis lentement, je fis glisser ma bouche le long de son dos. J’arrivais à la naissance de ses fesses. Ma langue glissa entre les deux monts merveilleux. Je les cajolais, les dorlotais, les embrassais.
Sa main continuait sa caresse intime. J’écartais les deux globes et pointais ma langue sur son petit œillet bleu. Elle appréciait beaucoup.
Je la travaillais longuement.
Une idée coquine me traversa l’esprit. J’abandonnais Thallia pour aller dans la chambre de notre hôtesse.
- Je reviens de suite. Ne te refroidis pas trop ma chérie. »
- Hummmmm…. »
Je savais où notre hôtesse rangeait ses petits gadgets. Je trouvais ce que je cherchais dans un tiroir.
Je passais alors le godemiché ceinture et retournais auprès de Thallia. La belle se masturbait suavement. Elle me vit et remarqua l’objet qui ceignait ma taille.
Elle fit une moue gourmande et se lécha les lèvres.
- Comment aimes tu qu’un homme te fasse l’amour ma chérie ? » lui demandais je.
Elle se redressa et resta à quatre pattes m’offrant son sexe luisant de liqueur à mon regard.
Je m’approchais du lit et grimpais derrière elle. Je fis glisser le pénis de latex sur sa vulve afin d’y déposer un peu de lubrifiant naturel. Je caressais ses fesses et titillais à nouveau son anus.
Elle ondulait du bassin prête à accueillir le godemiché.


Je le présentais devant sa grotte et doucement, je le fis glisser en elle.
- Mmmmm. Ouiiiiiii. Baises moi, éclates moi… »
Ses mots crus me giflèrent et m’excitèrent. Je reculais pour mieux revenir. Je me mis à me déchainer comme une furie sous ses encouragements lubriques.
- Ouiiiiiiiiiii… prends moi comme une chienne, baises moi, encules moi…. Ouiiiiiii »
Je lui obéis, abandonnant sa grotte en feux pour empaler mon pénis de latex dans ses fesses.
L’engin, bien lubrifié, pénétra sans résistance aucune. La belle était une habituée de la sodomie.
Je perdis la notion du temps, la baisant de plus en plus fort. Elle jouit une, deux, trois fois. A la troisième, elle défaillit et s’écroula dans le lit.
Le godemiché sortit de son réceptacle. Je glissais ma main sur son sexe qui pulsait. Une vraie fontaine son sexe. Je jouis à mon tour.
On s’endormit ainsi, tendrement enlacée.

20 mai 2006



Retouvaille
Avant de poster la fin de "Lacanau", je vous fais part de ma dernière petit aventure coquine avec une amie chère.

Lundi 15 Mai

Je rentre de vacance. Ayant passé de vacance très sage, je suis dans un état proche de l’Ohio.
J’ai allumé mon ordinateur espérant trouver mon âme sœur. Evidement, elle était là.
On discuta un peu, parlant de chose et d’autre, mais lorsqu’elle m’annonça qu’elle devait me quitter, je fus très décontenancée.
- Peut-on se recontacter plus tard ? » lui demandais je désespéré.
- Vers 20h, si cela te dis ? »
- Ok, cela me convient.»
- On se fera un petit câlin dis ? »
Mon dieu, elle lit dans mes pensés.
- Of course ! »
- Super. »
Moi, je mouille déjà.
- Je lirais ton histoire avant (Chrysalide pour ne pas la nommer).

20h personne. Cela me va car je peux lancer la cuisson de mon repas et commencer la lecture de la suite du roman.
20h15, coucou la voilà.
Les quelques lignes lus m’ont déjà un peu chauffé, plutôt tenu en excitation. Elle est en forme la bougresse.
Je lui demande si le chapitre que je lis est intéressant. Elle me donne son avis mais annonçant la suite.
- J’n’ai pas fini. Ne me dévoile pas tout maintenant, cela va me retirer le plaisir de la découverte. »
- Ok, je me tais. Je pose mes doigts sur ma bouche. »
Est-ce une perche tendu ou a t’elle sortit cela sans réfléchir ? Tant pis je la prends au vol.
- Poses les plutôt sur mes seins ! »
- Je me colle dans ton dos, glisse mes mains dans ton corsage et … »
La voilà me racontant en menu détail la façon dont elle me caresse.
J’ai du mal à suivre le fil de l’histoire tant elle me torture de l’autre côté. Je mouille comme une folle. Je sens que c’est réciproque.
En fermant les yeux, je l’imagine dans sa nuisette en pilou alors que moi j’ai une large auréole sur mon short.
Je me caresse à travers mon short (nue dessous), je jouis une première fois en lisant son étreinte passionné avec le frère de sa meilleur amie et amante.
Je jouis une deuxième fois avec elle… Le pouvoir des mots.
Petit à petit on retrouve nos esprits et moi une grande faim.
Je vais devoir la quitter malgré le bien être et les échanges de tendresses que l’on se fait. J’ai vraiment très faim et je transpire. Il fait très chaud chez moi et en moi…
Merci pour tant de plaisir, ma chérie…
Cela faisait longtemps depuis ce fameux soir du 21 décembre.
Bisous

03 mai 2006


Lacanau Océan II

Illustration : VivThomas Vidéo

Elle prit à nouveau ma main et on se dirigea vers sa chambre, abandonnant nos escarpins en route. Encore une étreinte passionnée devant sa porte avant de la franchir.
On bascula sur son lit, les corps fiévreux. Nos bouches se rejoignaient pour se quitter afin d’aller gouter la peau du cou, du sillon entre les seins, les seins et retour à la bouche. Les auréoles de ses seins étaient aussi claires que sa peau, légèrement bombées. La pointe était dressée comme deux petits sexes d’ange.
On aurait dit deux jeunes pucelles découvrant un superbe cadeau et ne sachant pas comment en profiter tant l’excitation était grande.
Mon amie savait choisir ses amantes. Elle ressentait ce que je désirais, et moi aussi je ressentais ses désirs. Elle sut enflammer ma poitrine comme je le fis à mon tour.
Ma main retourna entre ses cuisses. Son pistil était couvert de cyprine. La belle n’avait qu’une petite touffe de poil sur son mont de vénus.
Je glissais une cuisse entre les siennes et la collais à sa vulve. Elle se frotta alors contre elle déposant ses humeurs visqueuses.
Elle me rendait folle. Que sa bouche était agréable et accueillante.
J’avais faim d’elle, j’avais envi de dévorer son abricot, sa prune.
Je me redressais, admirant ce corps en proie au plaisir. Je saisis ces genoux et les écartais. J’avais alors une superbe vue sur son intimité, luisante de liqueur.
Je plongeais alors ma tête entre ses cuisses. Mes narines s’emplirent des effluves que dégageait son sexe en émoi. J’y déposais d’abord un petit baiser léchant le mince filet de liqueur qui s’y était déposé. Elle était fraichement épilée.


J’y retournais, plus gourmande cette fois. La belle rugit.
Je léchais ses lèvres, écartant doucement les pétales, découvrant la chair rose de sa vulve nappé d’un liquide blanc. J’ouvris la bouche et embrassais fiévreusement ses lèvres glissant ma langue au fond de sa grotte.
La belle gémissait de plus belle sous mon assaut. J’alternais coup de langues, aspiration et baiser fiévreux. Elle me prit la tête dans ses mains.
Je faisais monter et descendre ma langue entre ses lèvres. Je m’arrêtais pour aspirer sur le haut de sa petite chatte afin de faire sortit son petit clitoris.
Thallia se liquéfiait de plus en plus sous ma bouche. Le petit bouton apparut. Je me concentrais alors sur lui. Humectant deux doigts, je les plongeais dans sa grotte en fusion.
- Hooooooo Romane, c’est trop bon. Tu me rends folle… »
Son corps ondulait au rythme de son plaisir. Elle poussait de petit cris ce qui accentuait mon plaisir également.
Je sentais son orgasme poindre aux cris qu’elle poussait. Je redoublais mon travail. Sa petite chatte allait de plus en plus à l’encontre de ma bouche. Elle poussa un cri plus long, plus guttural. Elle jouissait m’offrant une liqueur plus abondante.
Je jouis moi aussi sans que je ne me touche.
Je me fis plus chatte, léchant à grand coup de langue son intimité. Sa respiration se calma. Elle reprit conscience du monde qui l’entourait. Un grand sourire éclairait son visage.
Je montais l’embrasser à nouveau.
Après un long et très agréable baiser, elle me repoussa et retira sa robe. On avait été tellement excitée et pressée, que l’on avait oublié de retirer nos robes.
Je retirais à mon tour la mienne. Je n’eus pas le temps de retirer mon shorty. Elle revint prendre ma bouche à baiser tout en me pétrissant les seins. C’était une douce torture. Elle quitta ma bouche pour aller me sucer la poitrine.


Dans le miroir qui se trouvait au pied de son lit, je nous voyais, nos corps enlacés, le sexe de Thallia qui dansait au-dessus de mes cuisses, son sexe luisant de liqueur et de salive. De temps à autre elle venait se frotter sur ma cuisse. Son excitation revenait à grand pas. Mon dieu, que cette fille était bonne.