21 octobre 2007

07 octobre 2007


Suite Correspondance érotique

Surtout que je n'arrive plus à dormir depuis 4h30. J'ai vainement cherché à me rendormir mais tu occupais mes pensées. Si Sophie savait que je ne rêve pas tout le temps à elle ? Elle est assez cool, mais là elle tiquerait un peu.
Ce matin, à chaque fois que je refermais les yeux, je me voyais assise au bureau, les jambes écartées.
Dans la pièce on entendait un bruit de respiration rapide et le bruit que fait une langue et une bouche en plein travail sur une petite chatte luisante. Mon corps tremblait à chacun de tes coups de langue. J'essayais de me concentrer sur mon travail, mais tu étais trop gourmande. Je gémissais lorsque le téléphone sonna. J'essayais de reprendre mes esprits, mais toi, ma petite cochonne, tu n’arrêtas pas ton travail. Je répondis tout de même, essayant de ne pas trahir mon émotion.
Je raccrochais et laissais échappé un long gémissement. Je te regardais, le nez et les joues pleines de ma liqueur. Tu es ravissante dans cette petite nuisette. Je vois aussi deux doigts long et fin, les ongles rouges, aller et venir dans ta chatte humide. J'avance le bout de mon escarpin et titille un peu les plis qui protègent ton clitounet. Tu gémis et retire tes doigts afin que je te caresse du bout de ma chaussure. Je sais que tu aimes cela. Ma chaussure se macule de ta mouille. Ton bassin tangue aussi vite que le mien. Je retire mon escarpin et te caresse plus en profondeur. Nous gémissons en cœur.
Tu finis par me faire jouir. Tu me nettoies la chatte comme une perle. Tu n’as pas eu ton plaisir. Tu sors de dessous le bureau. Tu m'offres le résultat de ton travail dans ma bouche. Je t'attire sur mes jambes. Tu enjambes mes cuisses, face à moi. Nos bouches ne se quittent pas. Ton bassin fait un long va et vient sur ma cuisse gainée de bas. Ta petite chatte dépose ta sublime liqueur sur la soie de mon bas. Tu pousses des petits cris. Je glisse ma main sur ton bas ventre et agace ton clitoris du bout de mon pouce. Tu jouis enfin.
J'ouvre les yeux. Mon corps est luisant de sueur et ma main s'agite sur ma chatte. Je jouis.

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L’approche des fêtes me rend toujours mélancolique. Je n’aime pas beaucoup cette période de l’année, mis à part la bonne chair et le fait que les jours vont se rallonger à nouveau.
De plus, je comptais organiser une petite fête pour la fin d’année. Je m’y suis prise trop tard et tout le monde était pris. Je vais donc la passer tout seule. Je vais aller faire le tour des pubs et peut-être trouver une âme solitaire comme la mienne.
Quand j’ai lu ton message Samedi dernier, j’ai pris mes affaires et suis partie faire un tour afin de me changer les idées.
Toutes les filles merveilleuses que je croisais, je les imaginais en bas bleutés et string en dentelle bleu. Ma ballade ne me changea pas les idées et de retour chez moi, je me déshabillais frénétiquement et me jetais sur le lit.
Je fermais alors les yeux et te vis faire l’amour avec ton compagnon. Je vous regardais faire l’amour tout en me masturbant de mon côté. Quand il jouit en toi, je te vis avoir ton orgasme. Tu étais encore plus belle à ce moment là.
Dans mon fantasme, tu ne t’endormis pas. Tu me regarda en souriant, moi me masturbant toujours. Tu te rapprocha de moi et écarta ma main de ma chatte. Tu me caressas en douceur avant que ta bouche vorace me dévore la vulve. Ce fut à mon tour de jouir.
Tu occupas mes pensées durant tout le week-end et je ne trouvais pas le courage d’écrire et même de t’écrire.
Dès que je me mettais à mon clavier, je sentais à nouveau le désir de me caresser sentant ta langue en moi.

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Un jour, je suis repassée dans ta boutique. Tu m’a reconnu et souris timidement. Sans rien dire, je t ‘ai donné un petit bout de papier et je suis ressorti. Je devinais que tu avais une pose entre midi et deux et j’avais réservé une chambre dans un hôtel proche de la boutique.
Je m’y rendis à l’heure dite. Ce n’était pas un superbe hôtel mais pour ce que j’y comptais y faire, cela n’avait pas d’importance.
Je pris une douche, m’enroulais dans une serviette et je t’attendis le corps en émois.
Midi passa de quinze, trente, quarante cinq. J’étais triste. Me serais je trompée sur toi ? J’avais décidé de rester le plus longtemps possible.
Il était treize heure passé de quelque minute, lorsque j’entendis frapper timidement à la porte.
Je l’ouvris le cœur battant. Tu étais là. Je pris ta main et te fis entrer dans la pièce. Je fermais le verrou et te fis face. Tu ne me quittais pas des yeux. Je défis le nœud de ma serviette et la laissais tomber offrant mon corps nu à ton regard.
Je m’approchais. Nos yeux étaient rivés les uns dans les autres. Doucement, je déposais un baiser sur tes lèvres closes.
- Je suis folle ! » dis tu dans un souffle.
Je pris ton sac et le retirais. Je pris ta veste et la retirais. Tu ne m’en empêchais pas et cela était déjà une autre victoire pour moi.
Je te pris alors dans mes bras et t’embrassais. Tu te laissa faire et ouvris la bouche. Nos langues se mêlèrent enfin. Tu frissonnais.
Je sentis enfin tes mains se poser sur mes hanches et les caresser doucement. Tu t’enhardis et les glissa sur mes fesses. Je les balançais te montrant que j’appréciais beaucoup.
Tu embrassais bien. Tout en continuant notre baisé, je te débarrassais de ton chemisier. Deux merveilleux globes apparurent. Je quittais ta bouche pour les cajoler, les lécher et les sucer. Tu gémis.
Tu retiras ta jupe de toi même. Ton string bleu me chavira les sens.

(A suivre)

01 juillet 2007


Correspondance érotique avec une douce jeune fille

En passant devant ta boutique, j’avais remarqué une splendide paire de chaussures et une ravissante vendeuse. J’entrais dans la boutique, plus pour la ravissante vendeuse que pour la paire d’escarpin.
J’entrais alors dans la boutique et je fus accueilli par toi. Tu étais ravissante, mignonne et accueillante.
Je te montrais la paire qui me faisait tant plaisir. Tu me félicita sur mon choix et partit dans les réserves chercher l’autre pied après m’avoir invité à m’asseoir dans le canapé.
Tu revins, tout souriante et t’accroupis à mes pieds.
Involontairement ta jupe remonta sur tes belles cuisses gainées de soie. J’eus le temps de voir une mignonne petite culotte en dentelle blanche.
Tu rougis en te relevant afin de remettre ta jupe en place. Tu cherchais quelqu’un du regard, avec une légère angoisse, mais tu te calmas et repris ta position en retenant ta jupe.
Dommage, j’avais trouvé cela très mignon. Je te souris, un peu complice.
Moi je ne portais rien ce jour là sous ma jupe en daim. Alors que tu te concentrais à la mise en place de mes escarpins, j’ouvris légèrement mes cuisses. En relevant la tête, tu vis ce que je voulais t’offrir. Tu rougis à nouveau. Je te souriais encore plus de ta gêne.
Tu te relevas évitant mon regard.
- Voulez-vous marcher afin de voir si cela vous convient. »
Je me levais et marchais. Je fis exprès de trébucher. Tu volas à mon secours et me pris par la taille. Je frissonnais au contact de ta main sur ma hanche. Tu m’aidas à marcher un peu et dès que je sentais que tu allais me lâcher, je trébuchais à nouveau.
- Vous n’avez jamais porté de chaussure avec de si haut talon. »
Si tu avais vu ma collection de chaussures.
- Non ! »
- Je comprends. »
Il y avait une glace par terre en biais afin de se voir chaussé. On s’en approcha. Est ce une chance, mais se jour là, la glace avait un angle plus prononcé et nous trouvant suffisamment proche, j’eus à nouveau une belle vision sur ta culotte.
- Ravissant ! » dis je.
- Oui, les chaussures sont très belle. »
- Je parlais de vous. »
Tu rougis à nouveau et finit par voir ce que je voyais dans la glace.
- Merci. »
- Je prends les chaussures. »
- Vous êtes sûre ? »
Je posais une main discrète sur tes fesses et les caressais rapidement.
- Oui ! »
Je me dirigeais alors vers mes affaires dans une démarche assurée. Ton regard me brûlait les fesses.
- A bientôt, » dis je en quittant la boutique après t’avoir adressé un clin d’œil.
Tu ne me quitta pas des yeux jusqu’à ce que je quitte la boutique.

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Je me suis rasée la chatte ce matin. Je suis aussi nue qu’un caillou. C’est lisse et très doux. Tu veux toucher ?
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Je suis entrée dans ce pub, histoire de boire un bon whisky et de profiter de l’ambiance.
J’ai senti un moment un regard sur moi. C’est alors que je la vis, quelques tabourets plus loin.
Elle était blonde, cheveux mi-long. Elle portait un pull et une jupe ouverte très haut sur sa cuisse. Elle avait une superbe jambe gainée de résille et une petite bottine comme tu dois les aimer. D’où je me trouvais, je voyais la lisière de son bas.
Elle me jetait de temps en temps un regard.
Je ne pouvais laisser passer cette occasion, surtout que je sentais un léger émoi dans ma culotte.
Je me suis approchée d’elle et me suis présentée. Elle ne me repoussa pas. On discuta longuement du comment et du pourquoi de notre présence dans ce pub et dans cette région. Je buvais ses paroles et mouillais de plus en plus.
Après s’être payé un verre mutuellement, je me lançais.
Je me suis penchée vers elle et lui ai dit doucement.
- Tu me plais, j’ai envi de toi. »
Elle me sourit le visage un peu rouge et but une gorgé. Elle se pencha alors à son tour.
- Moi aussi, j’ai envi de toi. »
Alors qu’elle me regardait, à nouveau droite sur son tabouret, elle passa sa langue sur ses lèvres. Ce fut trop pour moi. J’avais une envi furieuse de l’embrasser, mais il y avait trop de monde.
Je payais et sortis du Pub avec elle.
Je lui proposais de venir chez moi. Elle me suivit dans sa voiture.
J’ouvris ma porte avec fébrilité et une fois chez moi, je la pris dans mes bras et on s’embrassa fougueusement sur la bouche.
Humm.
Je glissais une main sous sa jupe et constatais qu’elle était tout aussi excitée que moi. Je ne sais plus comment, mais on se retrouva dans mon lit, nue, nous caressant langoureusement et nous embrassant délicieusement.
Elle est blonde et sa petite chatte me l’a prouvé. Elle a des seins bien fermes qui appel les caresses et la bouche. Elle a un petit tatouage entre le nombril et sa toison que je vais raser ce soir. C’est un papillon. Des fesses… Sa liqueur est légèrement salée.
On s’est broutée et cela faisait longtemps qu’une fille ne m’avait brouté le minou.
J’ai passé un excellent Week-end et un Dimanche de rêve. On n’a presque pas quitté le lit, sauf moi pour t’écrire entre deux ébats.

(A suivre)

03 janvier 2007

1 An et deux mois après : le bilan


Tout d’abord, je vous souhaite une bonne et heureuse année 2007, pleine de bonne chose…

Voici le point depuis le début du blog.

Je sais que je ne fais pas de mise à jour régulière ce qui a du provoquer le départ de certaine personne vers d’autre destination. Seul(e) les fidèles sont resté(e)s et je les remercie. Je remercie aussi les autres d’y être passés tout de même.

Je tiens à remercier dans l’ordre :

- Sappho : celle par qui tout a commencé un dimanche après-midi d’octobre 2005. Je surfais l’âme en peine et j’ai fini par tomber sur son site. Je lui ais envoyé un message et la réponse fut immédiate. Elle m’avait ferré et j’en étais forte aise. Au fil de nos échanges d’e-mail, elle m’a parlé d’une bonne amie, très bonne amie belge avec qui, elle était sûre, j’allais m’entendre. Elle n’avait pas tort.







- Cindy : petite Québécoise très délurée. J’aime ces interventions et son site. J’avais été très malheureuse le jour où elle avait décidé de l’arrêter. Je suis heureuse qu’elle ait repris son activité.



- Thallia : Jeune fille aussi très délurée, complice de mes petites histoires. Dommage qu’on ne puisse la joindre que durant les heures de travail.






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Vicky
: Rencontré sur un forum et bien que hétéro, elle n’a pas rechigné à se dévergonder avec moi. J’en ai pour souvenir un échange torride entre nous deux sur un forum.
Lieu : une crêperie (ch’uis bretonne tout de même). La cliente : moi. La serveuse : Vicky. Situation : besoin de miel sur ma crêpe. Où a-t-on trouvé le miel à votre avis ???






- Estelle : J’ai aimé nos échanges sur messenger mais j’ai finis par te trouver trop dépravé à mon gout. Je ne pouvais te suivre sur cette voie. J’espère que tu t’éclates toujours autant et que tu te masturbes toujours autant…

Et la meilleure pour la fin.




- Bilitis : la bonne amie Belge qui m’a fait découvrir une autre facette d’internet. Travaillant dans le monde informatique, Internet était pour moi, que la meilleure manière de rechercher des « pilotes » pour les différents produits informatiques. En privé, la recherche de sites coquins qui ne m’ont jamais satisfait comme celui de l’amie ci-dessus.
Le tchat était pour moi une intrusion dans ma vie privée et cela me faisait peur.
Bilitis a fait voler cette peur en éclat, un dimanche après-midi. Suite à un long échange de mails de plus en plus torrides, elle m’a mise au pied du mur en me disant que ci je voulais aller plus loin, je devais installer un messenger.
Je n’ai hésité que 10 mn et j’ai finis pas connaître ma première jouissance via messenger.
Depuis, nous sommes très complices, et malgré l’évolution de ma vie sentimentale, je ne rechigne pas à la rejoindre pour de « tendres moments » via messenger.

Je vous aime toutes et j’espère encore pour longtemps.

Romane