01 novembre 2009


Rencontre au Cinéma

C'était une journée triste d'hiver, comme il y en a souvent. Le ciel déversait son torrent de larme. Je me demandais ce que j'allais bien faire ce soir là. Rentrer à la maison, passer un jogging confortable et regarder quelques conneries à la télévision.

Depuis quelque mois, ma vie était monotone, pas d'aventure, pas d'amant à l'horizon. Le calme plat quoi.

Je décidais de changer un peu ma routine et cherchais sur Internet les films qui passaient dans les salles. On m'avait parlé d'un film à voir absolument et je finis par trouver la salle qui le projetait. : La fille seule. Sûrement l'histoire d'une fille comme moi.

Je me retrouvais dans une salle avec des gens ordinaires, des couples de jeunes qui venait voir le dernier film à la mode.

Le film débuta et comme je l'avais pressentis, il s'agissait d'un fille banale, qui vivait une vie monotone et qui avait comme seuls amis sa télévision et son magnétoscope : tiens, cela me rappelle quelqu'un. Je commençais à m'ennuyer et une douce torpeur m'envahit.

La fille était en tenue d'intérieur, regardant un film sur le magnétoscope. La caméra se fixa sur son visage. On vit une sorte d'excitation envahir ses traits. La fille jouait très bien la monté du désir. La caméra recula. Je me réveillais alors complètement. La fille se caressait la poitrine et l'entrecuisse avec vigueur sans quitter l'écran des yeux.

La caméra parcourut les parties concernées par les caresses et l'on pouvait voir le doigt de la jeune fille glisser entre les lèvres de son intimité à travers le jogging. Elle plongea ensuite vivement sa main sous le jogging et gémit.

Je rêvais, c'est pas possible. Je regardais les gens autour de moi. Personne ne réagissait aux images. Voyait-on la même chose?

Je regardais à nouveau l'écran alors que la jeune fille se déshabillait. C'était une vraie bombe. La camera détailla le corps fabuleux de la fille. Elle reprit sa place, nue, dans le canapé et repris ses caresses. On pouvait maintenant voir un doigt luisant entrer et sortir de sa chatte juteuse. La fille gémissait de plus en plus. Son clitoris apparut au premier plan.

Les gens dans la salle étaient toujours aussi impassibles. On regardait le porno le plus hard que je n'avais jamais vu, et personne ne bougeait. J'étais dans un état épouvantable. Le désir m'envahissait à la vue des images.

La fille s'empara d'un godemiché et le mit en elle. Sa poitrine semblait dure sous son autre main. Son corps était agité par les assauts de son plaisir. Elle monta doucement vers l'orgasme. Son bonheur éclata soudain et la fille hurla son plaisir alors que son corps se calmait lentement.

Alors que la fille avait atteint son plaisir, le mien commençait à prendre de l'ampleur. Mon corps brûlait. Elle avait fait exactement ce qui m'arrivait de faire de temps en temps. Il m'arrivait de regarder un porno et de jouir ainsi.

Je n'avais pas remarqué que pendant tout ce temps, j'avais glissé ma main sous ma jupe. Je ne portais rien dessous, dans l'espoir d'une rencontre fugace, et surtout que j'aime de temps en temps passer ma mains sur ma toison nue. Cela me calme généralement.

Je glissais un doigt entre les lèvres de mon sexe et, oubliant le lieu et les gens autour de moi, me masturbais doucement.

- Besoin d'aide? Me dit une voix chuchotante près de moi.

Je regardais dans la direction d'où venait la voix. Je découvris une femme que je n'avais pas entendu venir en début de séance. Malgré la pénombre, je constatais qu'elle était très belle, blonde et svelte. Elle portait un tailleur noir. Elle faisait un beau 38C de poitrine et je voyais ses mamelons se dresser sous la robe. Je descendis les yeux et remarquais qu'elle portait des bas noirs sur de belles jambes minces et longues.

Maman, pourquoi une si belle femme, me donnerait elle un coup de main? Elle me regardait avec un sourire coquin. Même dans le plus beau de mes rêves, jamais on ne m'avait fait une telle proposition.

- Oui? J’aimerais beaucoup! lui dis-je en sifflant tellement j'étais excitée.

Elle sourit de plus belle.

- Vous savez ce que je veux dire?

Que me disait-elle? Elle était assise près d'une femme qui se masturbait allègrement. Bien entendu que le secours d'une tierce personne lui pouvait être utile. Je ne pouvais réellement pas penser à autre chose en la voyant.

Je ne lui répondais pas, mais avec hardiesse, je posais ma main libre sur l'une de ses cuisses. Elle frissonna à mon contact. Je sentais que son corps était brûlant. Je suis certaine qu'elle était aussi excitée que moi, par les images du film et encore plus en me voyant me masturber dans mon coin.

Elle ne dit rien mais répondit à mon invite, en se rapprochant et en posant une main sur ma poitrine. Doucement, elle commença à caresser mes seins à travers mon chemiser. La caresse était très agréable, surtout que mon chemisier était très fin. Elle savait s'y prendre.

Mon excitation repris et mon corps devint brûlant. Je n'allais pas rester calme longtemps. Je caressais alors sa cuisse. Mais trouvant le contact des bas peu satisfaisant, je remontais ma main vers le haut, encore plus haut. Je glissais sur sa peau nue et pensant trouver une quelconque culotte, je fus surprise de ne rien trouver. La belle était aussi nue que moi. Mes doigts finirent par atteindre sa petite chatte. Elle sursauta par tant d'hardiesse. Sa chatte était brûlante, humide et très juteuse.

Je ne pouvais plus tenir. Je glissais mon doigt sur ses lèvres. Elle gémit et s'écarta encore plus afin de me faciliter la tâche. Je lissais ses lèvres de haut en bas et de bas en haut.

Je continuais à me doigter la vulve tout en caressant la femme.

Je sentis alors une main sous ma jupe. Enfin, elle venait me donner un coup de main. Je l'aidais à me pénétrer de ses doigts et retirais ma main lui laissant tout le loisir de me faire jouir. Son autre main continuait de me caresser les seins. J'étais aux anges.

- Oui, continue!!! lui dis-je.

Mes doigts finirent par atteindre son clitoris. C'était géant. Son corps se tendit lorsque je me mis à m'occuper de lui. Ses caresses s'accélérèrent ainsi que sa respiration. J'avais la clé sur le bout des doigts, la clé qui allait lui ouvrir les portes du paradis.

J'excitais son bouton de plus en plus fort. Sa tête se posa sur mon épaule et ses dents me mordirent le cou et l'oreille. Sa respiration était plus courte et rapide et ses doigts me pinçaient le téton à travers mon chemisier. Les doigts de son autre main, me déchiraient la chatte. Jamais je n'avais été baisé aussi brutalement par une femme.

Cela me rendit folle. Je gémissais.

- Arraches mes poils, déchires mes chairs...

J'étais sur la tangente entre l'orgasme et la mort. Cette femme devint folle. Elle me prit par le cou et sa bouche alla mordre mes seins. Elle me dévorait comme une louve. Je ne lâchais pour autant pas mon attaque de son clitoris.

Se fut de trop pour elle et elle jouit avec violence. Voyant l'expression de son visage, j'explosais à mon tour. Mon corps s'embrasa sous l'orgasme qui m'envahissait. J'avais des éclairs dans les yeux. C'était divin.

Je restais enfoncée dans mon fauteuil, la tête de la femme sur ma poitrine. Elle s'assit ensuite plus convenablement dans son fauteuil remettant de l'ordre dans sa tenue. Nous étions deux femmes satisfaites sexuellement dans notre coin de salle. Les gens ne semblaient n'avoir rien remarqué de notre manège. Malgré l'intensité de notre rapport, on était resté très silencieuse.

Ce que nous avions vécu était dans notre tête maintenant et on rayonnait de bonheur toutes les deux. On se regarda une dernière fois, on sourit et on retourna au visionnage du film. Je fus à nouveau envahit d'une douce torpeur. Je me réveillais à la fin de la séance.

La femme était déjà parti, aussi silencieuse qu'à son arrivée. J'aurais pu avoir rêvé si mon corps n'avait pas gardé une trace du rapport que nous avions eu.

Je me masturbais souvent en pensant à cette aventure.

Un an plus tard, le film allait être diffusé sur une chaîne payante bien connu. Je trouvais tout de même bizarre qu'un film d'une si haute intensité sexuelle passe à une heure de grande écoute. Je mis les vêtements que j'aimais sentir sur moi lorsque j'allais regarder un film porno ou érotique, des vêtements qui me permettaient d'accéder à mon corps sans difficulté.

Le film passa sans que je ne retrouve la scène qui m'avait tant excité lors de sa projection.

Je me mis donc à cogiter. Qu'avais je donc bien vécu ce soir là? Étais-je en grande détresse sexuelle pour avoir inventé tout cela. Je n'avais pourtant pas vécu seule cette aventure. D'ailleurs, cette femme était elle bien réel? Je ne l'avais ni entendu s'installer près de moi, ni partir. Pourtant mon corps était belle et bien meurtri suite un intense rapport sexuelle et cela avait été bien réel.

Je n'avais aucune explication. Je regardais le film lors de chacune de ses diffusions sans rien trouvé d'anormale. Je l'enregistrais même.

Un soir, que je le regardais à nouveau mais tard, je m'endormis. Je fus réveillée par le bruissement lorsque la cassette passe une partie non enregistrée. Bizarre, j'avais enregistré sur toute la casette. Je pris la télécommande, me préparant à aller me coucher lorsque l'image revint. Il y avait une fille sur un canapé, nue, les jambes écartées, qui se masturbait avec vigueur. Elle regarda l'écran et sursauta. Je reconnu la blonde du cinéma. Elle sourit et retourna à son affaire. J'arrêtais la casette et la fille disparut. Je ne la remis en route qu'après un moment de réflexion. Il y avait une énorme paire de seins sur l'écran. La fille recula.

- Ha ça remarche. Dit-elle en rejoignant son canapé dans le plus simple appareil.

Elle reprit son affaire.

- Alors ma belle, tu étais moins timorée la dernière fois. Dit-elle. Elle prit un godemiché qui se trouvait près d'elle. Voyons si cela va te réveiller!

Elle se caressa alors l'intimité avec l'engin, gémissant doucement. Lentement elle le fit pénétrer en elle. Elle regardait l'écran de temps en temps. La scène m'excita et doucement je me mis à me masturber.

- Voilà, c'est bien dit-elle. Mets-toi nue s'il te plait.

J'obéis sans réfléchir.


- Superbe. J'avais bien apprécié tes nichons la dernière fois. Caresse les pour moi!

Je lui obéis à nouveau.

J'obéissais à une femme au delà de mon poste de télévision. J'aimais voir ce que je voyais. On se masturba alors, chacune de notre côté, elle avec un godemiché et moi avec mes doigts. On jouit toutes les deux en cœur, d'une intensité équivalente à l'autre fois, bien qu'il n'y au pas de contact physique.

Lorsque j'ouvris les yeux, la femme avait disparut. Je rembobinais la casette. Il n'y avait aucune trace sur la bande de sa présence.

Je me demandais alors, si je n'avais pas vécu une aventure dans un monde parallèle. Dans l'autre monde, le film si banale, était un film d'une grande intensité érotique et que j'avais pu voir, je ne sais pas comment, ce film ainsi que cette superbe blonde sexy.

A mon grand regret, cela ne se reproduisit plus comme si le faite de donner une explication à quelque chose d'irréel mettait fin à celui-ci, comme un fantasme qui, une fois vécu, ne produit plus le même plaisir lorsque l'on y pense.

Adieu donc, belle blonde.

04 octobre 2009



Dans la chambre de Bilitis

Note de l'auteur : Texte offert à Dominique pour son site. (il n'existe plus suite à son départ pour devenir un ange)

Je me réveille doucement, la cuisse réchauffée par le soleil matinal qui traverse les persiennes.
Je regarde le réveil : 7h.
7h et je sens déjà la chaleur grimper dans la chambre.
Je regarde alors l'autre partie du grand lit et vois Domi qui me tourne le dos, dormant en chien de fusil.
Elle est nue comme au jour de sa naissance. Je suis nue moi aussi, à cause de la chaleur. Je regarde ce corps qui aime recevoir comme donner du plaisir. J'admire ses courbes, ses cheveux, ses cuisses, ses pieds… son adorable petit cul.
Insidieusement, je sens le désir poindre dans le creux de mes reins.
On a loué une villa sur la côte basque avec d'autres ami(e)s. La villa est super sympa mais, ayant été aménagée dans une ancienne maison, les murs sont aussi épais que du papier à cigarette. On peut donc se causer à travers les murs quoi.
On a réussi à se tenir jusqu'à maintenant, nous limitant à de délicieux petits câlins. Là, j'ai envi de faire un câlin, justement.
Je m'approche d'elle et me colle dans son dos. Elle bouge mais ne se réveille pas.
Je dégage les cheveux de son cou et dépose doucement ma bouche sur celui-ci. Sa peau est salée. Je glisse doucement un bras sous son oreiller. Les doigts de mon autre main partent à la redécouverte de ses courbes. Ma bouche et ma langue glissent sur la peau de son cou et le lobe de son oreille.
Ses fesses se collent plus contre mon pubis. Elle gémit doucement.
Ma main caresse ses hanches, remonte et passe sur son ventre. Elle le creuse à mon passage. Je remonte pour atteindre sa somptueuse poitrine, objet de tous nos vices.
Je grimpe sur l'un des globes et découvre un téton fort turgescent. Ma belle Domi gémit. Ah ça ! dès qu'on touche sa poitrine…
Je pince le téton arrogant. Quelle douce mélopée que ses gémissements. Cela m'enivre.
Je caresse alors franchement ses seins, provoquant le début d'une tempête dans son corps. Elle ondule, gémit.

Chuttttt ! lui dis-je en posant ma main sur sa bouche.

Elle tourne la tête, l'air tout à fait réveillé. Sa bouche, ma bouche, nos langues l'une contre l'autre. Baiser mouillé, passionné.
Ma main retourne sur sa poitrine, son ventre. Doucement je glisse sur sa douce toison pubienne. Je sens déjà la chaleur que dégage son intimité.
Elle s'ouvre, s'écarte. Ma main glisse sur sa fleur déjà bien gorgée de liqueur. Elle pousse un petit cri dans ma bouche lorsque mon doigt franchit la barrière de ses lèvres juteuses.
Commence alors une douce masturbation de ma belle petite salope.
Elle frotte ses fesses contre mon pubis. Ma liqueur s'y dépose. Elle gémit de plus en plus. Je garde ma bouche contre la sienne.
Je la regarde jouir, plaisir intense du à la frustration de ne pas pouvoir crier son bonheur au monde.
Sa bouche est par contre pire qu'une plante carnivore. J'ai l'impression qu'elle va me dévorer.
Je jouis à mon tour, rien que par la pression de ses douces fesses contre mon pubis.
Nos bouches se quittent. Mes doigts gluants glissent dans la sienne. Elle se déguste.
La torpeur me reprend. Je m'endors contre elle, mes doigts dans sa bouche, malgré la chaleur de son corps et la moiteur qui règne dans la pièce.

Juillet 2006

06 septembre 2009



L’inconnue du forum

Cette histoire m'a été inspirée par Bilitis


En ce jour d’été, le soleil me tire lentement de ma torpeur. Je m’étire les membres pour me détendre telle une chatte. J’aime le soleil mais je dois faire attention à lui à cause de ma peau de rousse.
Je regarde l’heure : 7h. J’ai une heure devant moi avant de partir travailler.
Je n’ai pas entendu mon amie partir tôt ce matin.
Le souvenir de notre étreinte de la veille commence à m’envahir. Je commence à avoir chaud. Je retire mon tee-shirt. Mes mains glissent le long de mon corps.
Et si, et si je garde ce souvenir durant toute la journée. Ne pas me toucher. Attendre le soir pour exploser. Cette idée me plait grandement et c’est en me pinçant la lèvre que j’abandonne mon envi de caresse.
Je me lève nue. La fraicheur me fait du bien. J’expédie mon petit déjeuné. J’ai plus faim de plaisir.
La douche fut un véritable calvaire. Comment ne pas se toucher alors que l’on doit se savonner. Dur, très dur.
Je m’assis alors un moment dans le canapé et pense à autre chose pour calmer mes sens. Combien de client aujourd’hui ? Quel chiffre allons-nous faire ?
C’est bon, je me calme, mais je conserve ce désir en profondeur. Mes seins sont durs et mes tétons bandent comme des petits soldats au garde à vous.
Je ne peux me permettre de mettre des vêtements trop près du corps. Je travaille dans un magasin d’antiquité dans un « forum ». La clientèle est plutôt d’un certain âge. C’est un travail d’été et ma patronne est super sympa, mais il faut rester naturelle dans sa tenue. C’est la seule contrainte.
J’irais bien sans mettre de culotte, mais si la tension reste tel qu’elle est maintenant, je risque de couler et …
J’opte pour un soutient-gorges à balconnet histoire de faire pigeonner un peu plus ma poitrine et au moins mes tétons ne seront pas opprimés. Je passe alors un string ficelle. Ce n’est pas que j’aime beaucoup ce vêtement pour la vie de tous les jours, mais quand je le porte, je me sens sexy et de plus le fait qu’il me scie un peu la raie de mes fesses et mon minou me rend toute chose. Comme tous les jours, je porte un chemisier et une jupe s’arrêtant juste au dessus du genou.

En chemin, je constate que j’ais fait une grave erreur sur le balconnet. Le tissus de mon chemisier caresse en rythme mes tétons et me soumet à rude épreuve. Mon cœur s’accélère. Je presse mon sac pour éviter la caresse.
Je suis en avance. Je retrouve des copines pour boire un café. Cela me calme. J’ai presque oublié mon désir.
Il est l’heure. Je retire mes ballerines pour chausser des escarpins. Mon string me rappel à l’ordre. Je remarque un type libidineux qui m’observe derrière ses lunettes. Cela ne me fait ni chaud ni froid. Je préfère le regard des femmes, un point c’est tout.
Peggy, ma patronne, est derrière le comptoir, ondulant du bassin comme à son habitude.

- Bonjour Suzy. Dit-elle.

- Bonjour Peggy.

- Belle journée en perspective.

- Je le crois.

- On va profiter de la fraicheur du matin pour un peu arranger la vitrine tu veux ?

- Ok.

Je pose mes affaires et on s’attaque à la vitrine.

Cela fait bien une heure que je suis dans cette vitrine et la chaleur monte.
Alors que Peggy renseigne des clients, je vois une magnifique femme s’approcher du magasin. Elle porte une mini-jupe extra courte, un tee-shirt très moulant dévoilant une paire de seins à faire pâlir un démon, des escarpins accentuant sa cambrure. Sa taille est ceinte par une grosse ceinture en cuir avec une large boucle qui pourrait bien lui servir de cache sexe.
Je me cache dans un recoin alors qu’elle regarde les objets dans la vitrine.
Je sens, je sens qu’elle n’est pas là pour acheter. Je la sens observer les gens à travers ses larges lunettes noires.
Elle reprend son chemin pour s’enfoncer dans le « forum ».
Vite, il faut que je la suive. Une chance, les clients sont partis.
Je sors en vitesse prétextant une envi pressante.
Je la retrouve. Je reste derrière elle admirant son allure chaloupée. Je ne peux détacher mon regard de ses fesses. Je veux les pétrir, les cajoler.
Dans la foule je remarque que je ne suis pas la seule à la suivre. Le type libidineux de tout à l’heure est là aussi. Il a jeté son dévolu sur une autre proie. Elle est certe plus sexy celle-là.
Je me presse pour la dépasser, la frôle, mes sens s’éveillent, mon cœur s’emballe.
Je la précède de quelque mètre puis me retourne pour la regarder.
Elle s’arrête alors. Je sens qu’elle me regarde derrière ses lunettes. Je regarde ses seins, tout en mordant mes lèvres de désir.
Je sens son regard qui coule en moi. Mes seins se gonflent un peu plus, mon ventre se met à s’enflammer.
Je ferme les yeux.
Je la voie nue, vêtu uniquement de son ceinturon. Je sens mon string s’humidifier de la douce liqueur que je me mets à produire. Je me vois la caresser, caresser ses seins si beaux, si plantureux, les lécher, les sucer.
J’ouvre les yeux.
Elle reprend son parcours, passant près de moi, pétrifiée.
A-t-elle ressentie quelque chose ? J’ose espérer que oui. J’ai vu son corps légèrement trembler. Mais est-ce que j’en suis à l’origine ?
Je retourne au magasin, les jambes un peu flageolantes.

- Ha, te revoilà ! Tu as été bien longue dis donc ? Je pars déjeuner et te relève vers 13h.

Je marmonne une excuse quelconque
Je me retrouve seule, le désir à fleur de peau. Sa vision ne me quitte pas. Mes seins sont gonflés, mon ventre est parcouru de petits spasmes et mon sexe…
Le moindre effleurement de mon chemisier sur mes tétons me rend folle.
J’ai envi de m’écrouler sur le sol et de me masturber devant tout le monde.


Je passe une après-midi d’enfer. Mon excitation ne baisse pas d’intensité.
Je suis folle. Je regarde Peggy non plus comme ma patronne mais comme une amante. Elle est belle et je la trouve encore plus belle aujourd’hui.
Je la regarde onduler son bassin derrière le comptoir dans l’attente d’un client. Sa poitrine plantureuse danse au rythme de son ondulation.
Je ferme les yeux.
Je la vois assise sur le comptoir, le chemisier et le soutient-gorges à la taille. Elle a les jambes écartées et se caresse intimement. Ses yeux sont plongés dans les miens. Elle m’offre sa caresse.
J’ouvre les yeux.
Elle est toujours derrière son comptoir. Elle me regarde.
Je deviens folle de désir.

- Tu vas bien Suzy ?

Je marmonne quelque chose au sujet de la chaleur. Je pars dans la réserve pour m’occuper l’esprit.

- Suzy ! Il ya du monde.

Je retourne dans la boutique. Elle s’occupe d’une africaine, la renseignant sur l’origine des objets.
Je ferme les yeux.
Peggy est sur le sol, parmi les objets, jambes écartées. Son chemisier et son soutient-gorges sont remonté sur son cou. La superbe femme noir est installée entre ses cuisses et la lutinant avidement. Elle a remonté sa robe africaine et se caresse le sexe.
Peggy me regarde, lâchant de petit cri de plaisir. Mon dieu, je coule de plus en plus.
J’ouvre les yeux.
Ais-je crié ? Elles me regardent toutes les deux avec un air de surprise. Je rougis

- Vous allez vraiment bien Suzy ?

- Je vais aller me rafraichir madame !

- Ne tardez pas trop.

Il faut que je retourne au magasin. Je dois affronter les questions de Peggy. Je suis allée à la toilette. Je ne peux toucher mon sexe sinon j’explose. Je ne peux donc m’essuyer après avoir satisfait un besoin naturel. Je me fais l’effet d’une souillon.

Peggy me regarde entrer.

- Tu nous as fait sursauter tout à l’heure. Tu sais que tu as gémis ?

- Ha bon. Je… je…

- Tu es bizarre depuis ce matin.

- J’ai mes règles.

- Tu partiras plus tôt si cela te dis.

- Non, je vais rester jusqu’à la fermeture.

J’aurais du accepter sa proposition. Je sens que mon délire s’amplifie.

Je vaque à mes occupations, essayant de me concentrer.
Je n’arrête pas de voir ma patronne faire l’amour avec chaque clientes qui entre dans le magasin. Je me pince pour chasser ces images de ma tête.

La journée se termine enfin.
On a fermé les porte et tiré les rideaux. Nous sommes à la caisse pour faire le comptage de celle-ci.
Journée habituel dans notre activité.
J’ai chaud. Je sens son bras contre le mien, la chaleur qu’il dégage.
Elle range la recette dans un sac et ferme la caisse. Elle me regarde.
Elle tend sa main et me caresse le bras.

- Tu sais Suzy, je ne suis pas dupe sur ta réponse de tout à l’heure. Je sais très bien ce qui te torture aujourd’hui.

- …

- Je ne sais si tu l’as remarqué, mais je ne reste pas insensible au charme féminin.

Sur ce elle se penche et dépose un léger baiser sur mes lèvres.

- Allez, file avant que l’on fasse une bêtise.

Sur le pas de la porte, je me retourne. Elle me regarde, un sourire coquin sur les lèvres.
Je ferme les yeux.
Je suis installée entre ses cuisses. Je lèche son minou gluant de liqueur. Elle tient ma tête.

- Ho oui, continue, c’est trop bon dit-elle.

Je n’ai pas l’intention de m’arrêter. Je bois, je bois de tout mon saoul.
J’ouvre les yeux.
Elle a remonté sa jupe et m’offre son bas-ventre. La coquine ne porte rien dessous.
Elle a toujours son sourire.
Je ferme la porte.


Que le retour est long.
Arrivée chez moi, je trouve ma compagne dans le canapé plongé dans un livre.
Elle n’a pas le temps de me dire bonsoir que je suis sur elle, habitée d’une frénésie sexuelle intense.

J’arrache mes vêtements qui me brûlent la peau.
Je ne fais pas l’amour avec elle. Je fais l’amour avec toutes femmes que j’ai vu aujourd’hui. Plus particulièrement l’apparition de ce matin et Peggy.
Ma compagne ne m’a jamais vu aussi folle, mon corps parcouru de multiple orgasme.
Je n’étais plus avec elle. J’étais ailleurs, sur une planète humide et brûlante.
Je perdis connaissance.
Je me réveil dans le canapé, nue comme un ver le corps poisseux de transpiration et cyprine.
L’eau de la douche finit de calmer mes sens.

06 juin 2009




Mystèrieux rendez-vous






Je me rendis à l'adresse que tu m'avais envoyée. Je me traitais de folle.

Mise à part nos échanges de E-Mail, je ne connaissais rien de toi. Enfin si, je savais que tu aimais les godemichés, les femmes, que tu étais aussi nue qu'une jeune fille de 10 ans, que tu étais très chaude. Et pourtant, j'avais accepté de te rencontrer pour une après-midi.

C'est le cœur battant que je sonnais à la porte. La porte s'ouvrit dévoilant une ravissante soubrette en guêpière, bas et tablier.

- Veuillez entrer mademoiselle! » dit la ravissante jeune fille.

- Merci. »

Elle referma la porte et me débarrassa de mon manteau. Elle sortit un bandeau noir de la poche de son tablier.

- Vous permettez? Madame m'a demandé de vous mettre cela. »

- Si Madame vous l'a demandé, je n'irais pas contre ses ordres. »

- Merci Mademoiselle! »

Elle passa derrière moi et me plaça le bandeau sur les yeux. Elle me prit alors la main et m'emmena je ne sais où dans cette grande maison. Elle sentit la tension qui m'habitait.

- Détendez vous Mademoiselle! Tout se passera bien. »

Je sentis que l'on entrait dans une pièce où crépitait un feu de cheminé. La chaleur de l'âtre me réconfortait légèrement.

- Vous permettez que je vous déshabille Mademoiselle. Madame m'a dit qu'elle vous désirez prête. »

- Soit, faites votre travail. »

La jeune fille me déshabilla. Elle ne me laissa que mon soutien-gorge, c'est d'ailleurs le seul sous-vêtement que j'avais mis se jour là. Elle me fit asseoir sur un canapé.

- Veuillez patienter, Madame ne tardera pas. »Je l'entendis partir et refermer une porte. Enfin, c'est ce que je crus. Qui m'aurait dit, il y a quelque jour, que j'attendrais, nue, une personne que je ne connaissais pas, dans une maison inconnue. Mes seins durcirent pourtant et ma fleur commença à s'humidifier. J'étais excitée par la situation. Je m'offrais sans contrainte. J'avais une furieuse envi de me caresser pour calmer la tension qui grimpait en moi.

- Il y a quelqu'un? » demandais je.

Pas de réponse et pourtant tu ne me quittais pas des yeux, observant mes réactions. Je croisais, décroisais mes jambes, me frottais légèrement sur le tissus du canapé. Mes lèvres devenaient de plus en plus humides.

- Ho ho, il y a quelqu'un? »

Toujours pas de réponse. Tant pis, je ne tenais plus. Tant pis si elle me trouve en train de me caresser.

Je m'allongeais sur le canapé, écartais les cuisses et me caressais. Ma main fut d'un grand soulagement. Je me caressais aussi la poitrine de l'autre main. Mes tétons étaient durs comme de la pierre. Je cueillais un peu de ma liqueur et me la portais dans la bouche.

Tu aimais ce que tu voyais. Tu retirais tes vêtements et te caressais à ton tour. On était à même pas un mètre l'une de l'autre, et on se caressait. Je gémissais me croyant seule. Je glissais deux doigts dans mes chairs et me masturbais. Tu ne tardas à m'imiter.

Tu finis par laisser échapper un gémissement. Je m'arrêtais.

- Il y a quelqu'un? »

- Oui, je suis là ma douce. Continue, tu es merveilleuse. J'aime te regarder te masturber. »

- Vous êtes là depuis longtemps? » fis je.

- Suffisamment, mais continue je t'en prie. »

Je me tus et repris ma caresse.

- Voilà, c'est bien ma douce. »

Tu te caressais encore un peu avant de te lever. Tu pris le godemiché ceinture qui traînait sur la table. Tu le portais à la bouche et l'humidifiais de ta salive. Le sentant suffisamment lubrifié, tu te le passais sans me quitter des yeux. L'engin était puissant, superbe, brillant.

Tu t'approchais alors de moi, pris la main qui s'enfonçait dans mes chairs liquéfiées et portais mes doigts poisseux à ta bouche.

- Hummm, quel divin nectar! » dis tu en suçant mes doigt avec gourmandise. « Tu as le goût que je pensais. »

Tu te délectais un peu puis tu me demandais de me m'agenouiller sur le canapé. Je m'exécutais, un genou sur le canapé t'offrant mes fesses.

Je tremblais lorsque tu passas ta langue gourmande sur mes chairs. Tes lèvres me gobèrent et tu me bouffas la chatte divinement. Je gémis. Ta bouche me quitta. Je gémis de désapprobation.

C'est alors que je sentis le puissant godemiché à l'entrée de ma grotte.

- Oh, oui. Baises moi! »

J'avançais mes fesses vers ton godemiché. Tu reculais.

- Oh, nonnnnn. Baises moi je t'en pris? »

- Demandes le moi encore plus gentiment. »

- Baises moi, déchires moi, ... »

- Je n'ai pas compris

- S'il te plaiiiiiiiit........ »


Tu fis alors glisser ton engin entre mes chairs bien humides. Tu te comportas comme l'aurait fait un homme. Tu me pris divinement en levrette, frappant régulièrement mes fesses. Je jouissais sous tes coups de boutoir. Ton sexe me remplissait merveilleusement le con.

Tu aimais cette domination que tu exerçais sur moi. Rien ne te remplissait plus de bonheur que de voir une femme jouir grâce à toi.

Je perdis la notion du temp. L'avantage, avec un godemiché, c'est qu'il ne se ramollit jamais. Il reste toujours dans le même état. Les deux partenaires peuvent jouir jusqu'à plus soif.

C'est au bout du troisième orgasme que je demandais grâce.

- Arrêtes, je t'en supplie. J'ai mal maintenant. »

Tu m'écoutais.

Je sentis, à mon grand soulagement, le pénis de latex quitter mes chairs. Tu me pris la main et me fit asseoir dans un fauteuil. Tu posais l'un de mes pieds sur l'accoudoir, m'ouvrant complètement à toi.

J'accueillis avec bonheur ta langue et ta bouche. Ton travail sur ma chatte, calma ma douleur et je jouis à nouveau. Tu étais une merveilleuse brouteuse de chatte. J'écartais moi même mes lèvre pour te faciliter le travail. Tu glissas deux doigts en moi, me masturba tout en titillant mon clitoris.

Je sentais le plaisir rouler dans mon ventre. Je criais mon bonheur. Je pris ta tête et la plaqua contre ma chatte.

- Je jouiiiiiiiis. Bouffes moi salope, manges moi, bois moi!!!!! »

Mon bas ventre était secoué de soubresauts pendant mon long et merveilleux orgasme. Tu me buvais de tout ton saoul.

Alors que je reprenais mes esprits, tu vins te blottir entre mes bras. Ta bouche se posa pour la première fois sur la mienne. On s'embrassa tendrement. Ta bouche était pleine de mon odeur. J'avais l'impression de me boire. Je ne sais pourquoi mais une fois notre tendre baiser terminé, je t'embrassais dans le cou et te fis un suçon. C'est bête, mais il y a longtemps que je n'avais fait cela. J'avais à nouveau 16 ans dans tes bras.

Je voulais te rendre le plaisir que tu m'avais donné. Je glissais alors à terre, retirais le godemiché qui ceignait toujours à ta taille. Je plongeais alors mes doigts dans la chair onctueuse de ton sexe. Ta chatte regorgeait de liqueur. Je posais ma bouche sur tes lèvres juteuses. Tu rugis. Je me mis à te brouter comme une folle, ivre de ton odeur, de ta merveilleuse chatte. Du bout du doigt, je caressais ton pubis aussi nu que celui d'une jeune fille de 10 ans. Je sentais ton clitoris sortir du repli de ses chairs et toucher le bout de mon nez. D'un tour de langue et sous un violent rugissement de ta part, je le dégageais complètement. A chaque fois que je le touchais de ma langue, j'avais droit à un rugissement de ta part. Je me mis à me masturber également.


Tu finis par avoir ton orgasme. Je te bus à mon tour. Je jouis également sous mes doigts. Je sombrais alors dans une douce torpeur.

Je sentis tes lèvres sur les miennes, venant cueillir dans ma bouche le divin nectar que tu avais produit.

Je ne sais combien de temps j'ais dormis. A mon réveil, j'étais habillée mais les yeux toujours bandé.

- Vous êtes réveillées Mademoiselle? »

- Je crois que oui. »

- Madame m'a demandé de vous raccompagner. »

- Elle est partie? »

- Je crois qu'elle s'est couchée. Elle était aussi fatiguée. »

Elle me prit la main et me ramena à la porte d'entrée. Elle me retira le bandeau.

- Merci! »

Elle prit mon manteau et m'aida à l'enfiler. Elle était ravissante, la petite soubrette. J'avais repris des forces et un petit tour avec elle ne m'aurait pas déplut.

- Vous salurez votre patronne de ma part? »

- Je n'y manquerai pas. »

Elle ouvrit la porte. La nuit était déjà tombée. Je regardais l'heure. 21 heures. Que le temps passe vite quand on est en de si bonne main.

Je me retournais pour saluer la ravissante soubrette. Cela se passa en un éclair alors qu'elle refermait la porte. Je remarquais, au creux de son cou, une marque, une marque que j'avais fait dans le feu de l'action. C'était un beau suçon.

La soubrette, toi, ne faisiez vous donc qu'une? Je restais là, me posant des questions. La lumière de la porte finit par s'éteindre. Je quittais alors le devant de la maison sentant un regard sur moi.

Tu retournas au salon, un sourire sur les lèvres. Tu te versas un bon verre de scotch, t'installas dans le fauteuil où nous étions toutes les deux auparavant. Tu bus deux gorgés avant de poser le verre sur la table basse. Tu relevas ensuite le bas de ta robe de soubrette, dégageant ton pubis nu. Tu fermas les yeux et te masturbas longuement.

A Gwen

01 juin 2009


DOCTORESSE

Cela fait deux ans que je me suis installée à mon compte dans une petite ville du sud de la France. J’eus 2 à 3 mois de difficile le temps de me faire une clientèle et le bouche à oreille aidant…

Je suis célibataire et je sais que les gens se demandent ce que peu bien faire une femme, la trentaine, seule dans une si petit village. Afin de ne pas faire jaser, je me rends quelques samedis en boite dans la ville la plus proche et là je trouve de quoi me satisfaire. Je ramène de temps en temps mes amants, le temps d’un week-end afin que mes patients et concitoyens ne se pose pas trop de question sur mes mœurs. Mais j’aime mon célibat. J’ai d’autre aventures et c’est ce que je vais vous raconter.

Pour les vacances estivales, je prends de jeunes infirmières, encore étudiantes, comme assistantes et secrétaires. Cette année là, j’avais pris une jeune fille ravissante, brune, le corps bien fait. Elle travaillait bien.

On sortait ensemble en boite de nuit le samedi soir et pour mon plus grand plaisir, on nous prenait pour deux sœurs jumelles bien que je sois blonde et que ma poitrine soit plus menu que la sienne. Elle claquait du doigt et elle avait plusieurs chevaliers servant à ses pieds. Elle semblait aimer le sexe et les cernes qu’elle arborait certain matin, me faisait deviner une nuit assez mouvementée. Je rentrais souvent sans elle. Je la taquinais toujours sur ses nuits agitées, mais dès que l’on se retrouvait dans mon cabinet, je redevenais la patronne.

Je m’adonnais de temps en temps au saphisme, si je trouvais la fille attirante. Cette fille me plaisait beaucoup, mais je ne savais comment faire pour goûter moi aussi à ces charmes.

Le contrat arrivait de plus en plus à son terme. Il y avait de moins en moins de patients parce que les vacances se terminaient. Elle allait bientôt partir et cela me chagrinait beaucoup.

Un jour, alors qu’il y avait un trou de deux heures, je l’appelais dans mon bureau.

- Marie ?

- Oui docteur !

- On a un trou de deux heures. Pouvez-vous venir me donner un coup de main afin de faire l’inventaire ?

- Pas de problème docteur !

Elle arriva dans le cabinet et on se mit on travail. La belle portait une paire de bas ce jour trouvant que le temps était frais. Moi j’étais en ébullition avec elle dans mon cabinet. Je regardais à la sauvette ses fesses et sa poitrine nue à travers l’échancrure de la blouse. De temps en temps, je profitais qu’elle regarde dans un placard en hauteur afin de me coller à son corps dans son dos. Elle fut surprise la première fois, mais après elle poussait le vice à dodeliner des fesses et à accentuer la pression sur mon bas ventre quand j’étais dans son dos.

On attaqua l’inventaire des tiroirs sous la table de consultation. Elle comptait les compresses, les flacons de désinfectant. Elle ouvrit alors le dernier tiroir et ce fut le silence. Je souris en sachant ce qu’elle avait découvert.

- Dans quelle catégorie dois-je rentrer ceci, docteur ? dit elle en montrant le godemiché ceinture qu’elle tenait en main.

- Ben dans les instruments thérapeutiques comme le bistouri.

- Ha bon. Instrument thérapeutique. Je le note.

Elle regardait un peu surprise l’objet.

- On vit dans une petit ville Marie, et certaine personnes éprouvent le besoin de discuter à parfois d’assouvir certain fantasme. Il y a des hétérosexuelles, comme des homosexuelles. En temps que docteur, je dois être à l’écoute, comme conseiller conjugal et parfois sexologue.

- Il vous arrive d’utiliser cet engin, docteur ?

- Comme la plupart des homosexuelles dans un si petite ville, préfère vivre caché, je leur fournis gadgets et autre pour épanouir leur existence. Celui-ci me permet de leur en faire la démonstration. Je leur indique comment le fixer à la taille et leur montre les différentes utilisations. Donc instrument thérapeutique ma chère Marie.

Je devinais sous son crâne le cinéma qu’elle pouvait se faire. Elle me regardait d’une autre façon. J’ouvris une autre armoire. Il y avait toute sorte de godemichés, de vibromasseurs et de boules chinoises. Je crus que ses yeux allaient lui quitter les orbites.

- Je suis un peu le sexe shop du village, Marie !

- Vous faîtes des démos de cela aussi !

- Bien entendu !

On continua l’inventaire, mais elle n’était plus à son travail.

- Merci Marie pour votre coup de main ! Madame Y ne devrait plus tarder !

- De rien docteur !

En quittant la pièce, je vis que les questions devaient se bousculer dans sa tête.

J’arrivais à la fin de mes consultations.

- Marie ?

- Oui docteur !

- Il doit rester madame F. Vous pouvez partir.

- Non docteur. Il y a une patiente de dernière minute. Vous la prenez ?

- Bien entendu ! Vous partirez après elle.

- Merci docteur.


A la fin de la séance de madame F, j’appelais mon assistante.

- Marie ?

- Oui docteur !

- Faites entrez la dernière patiente !

- Bien docteur.

- A demain Marie ?

- A demain docteur !

La porte s’ouvrit et Marie entra dans mon cabinet.

- Ben, Marie ! Ou est la patiente ?

- C’est moi docteur.

- Ha bon, et qu’elle est votre problème ?

Elle s’approcha du bureau et je me demandais où ce trouvait la jupe que j’avais remarqué durant l’inventaire. Elle s’assit dans le fauteuil me dévoilant sa jambe gainé de bas.

- Je ne sais pas ce que j’ai. Depuis que j’ai quitté votre bureau, dès que je pense à vous et que je vois l’engin dans votre tiroir de consultation, j’ai la gorge qui s’assèche, ma poitrine qui gonfle et mon sexe qui mouille.

Elle dit cela très sérieusement. Je ne vis aucune lueur de blague dans ses yeux. Je pris alors mon air de docteur.

- Ha bon ! C’est étonnant votre affaire. Avez-vous déjà eu ce symptôme auparavant ?

- Oui, mais je ne m’en étais pas inquiétée outre mesure.

- On va voir cela. Déshabillez-vous et assoyez-vous sur la table de consultation.

- Bien docteur.


Elle s’approcha de la table de consultation, retira sa blouse. Elle avait déjà retiré sa jupe. Elle apparut uniquement en bas et en tanga en dentelle orange. Elle était vraiment belle. Elle posa sa blouse sur une chaise et s’assit sur le bord de la table en me regardant. Sa poitrine était tendue à tout rompre.

Je m’approchais d’elle. Il émanait de son corps une chaleur animale.

- Ouvrez donc votre bouche et faîtes « A »

Elle s’exécutait et évidemment je ne voyais rien.

- Les muqueuses sont évidemment sèches. Vous avez quoi encore ?

- Mes seins ! Regardez-les, ils sont tout durs !

Je pris les tétons entre mes doigts. Elle gémit. Ils étaient durs comme du silex. Je les pinçais avant de calmer mon geste par une douce caresse de la paume de la main.

- Moui ! Et votre sexe devient humide ?

- Oui docteur !

Je descendis ma main vers son tanga.

- C’est le cas en ce moment ?

- Oui docteur !

- Voyons voir !

Lorsque j’atteins l’élastique de sa culotte, elle écarta légèrement les jambes afin de laisser ma main passer. Effectivement, je recueillis un peu de liqueur sur les tissus de sa culotte. Je mis ensuite mon doigt dans la bouche sans la quitter du regard.

- Hummm. Fis je. C’était divin. Je pense avoir un remède à votre problème.

- C’est vrai docteur !

Très bonne comédienne si elle rate ses études de médecine. Je posais mon stéthoscope.

- Détendez vous ! On va voir vos problème, un à un.

Je passais une main derrière sa tête et l’attirais doucement sur mes lèvres. Elles s’unirent et je glissais ma langue dans sa bouche. Elle ne fit aucune résistance, répondant plutôt énergiquement à mon baiser. Je quittais sa bouche et descendis vers sa poitrine turgescente.

Un à un, je léchais ses tétons et gobais ses mamelons. La belle gémissait sous ma caresse buccale. Elle posa sa main dans mon cou afin d’accentuer la pression de ma bouche sur ses seins.

- Arrêtez docteur ! Vous ne faites qu’empirez les choses.

Je quittais sa poitrine et descendis vers le nombril. Je pris son tanga et le fis glisser le long de ses jambes gainées de bas. Elle n’opposa aucune résistance. Sa toison était merveilleusement épilée à la forme de la marque du string qu’elle portait à la plage. Une fois débarrassée de sa culotte, elle écarta ses jambes afin de me laisser passer. Une odeur de cyprine envahit mes narines. J’écartais ses lèvres poisseuses et commençais à lécher l’intimité humide de la belle. Elle me tenait la tête et poussait des cris à chacun de mes coups de langue. Je glissais ma langue agile dans ses chairs, buvant ses liqueurs avec délice. Je me caressais la chatte à travers mon fuseau et mon string. Je mouillais abondamment.

Je quittais sa douce chatte et remontais l’embrasser, lui offrant le goût de ses liqueurs dans ma bouche. Ses beaux yeux me remerciaient de tant de plaisir.

- Alors docteur ! C’est grave ! dit-elle en respirant profondément.

- Non, ce n’est pas si grave. Mais …
J’enjambais sa cuisse et frottais langoureusement mon entrecuisse sur son bas.

- Mais ?

- Mais votre maladie est contagieuse.

- Ha bon !

- J’ai les mêmes symptômes que vous. J’ai moi aussi la poitrine qui est dure et mon sexe qui mouille. Regardez par vous même.

Elle dégrafa ma blouse qui rejoignit la sienne et mon soutif prit le même chemin. Je la bécotais pendant qu’elle me déshabillait. Sa bouche se mit à dévorer ma poitrine et je gémis à mon tour.

- As-tu pensé à fermer la porte du cabinet ?

- N’est crainte, j’ai tout bouclé. Notre maladie est confinée à présent.

- Alors soignons-la.

Je m’écartais d’elle, retirais mon fuseau et mon string. Je la laissais regarder mon pubis aussi nu qu’une jeune fille de douze ans. Je retournais entre ses bras. Nos bouches s’unirent en un baiser fougueux. Nos corps ondulaient l’un contre l’autre, mélangeant nos liqueurs intimes. Je retournais boire ses liqueurs avec avidité pendant que mes mains jouaient avec sa poitrine.

- Oh ce que c’est bon. Jamais je n’aurais cru cela si bon. gémissait-elle. Oh bouffe moi, mange moi, mord moi. Oh, ce que tu me fais bien brûler la chatte. Continue…

Elle jouit plusieurs fois dans ma bouche. Elle me repoussa doucement.

Je remontais tout en continuant à la peloter.

Sa main descendit et glissa sur mes lèvres intimes.

- Je vais voir si j’arrive à appliquer le bon traitement à mon tour. dit-elle en glissant entre moi et la table.

Sa bouche goba mon bouton et se mit à le reluire Je criais sous son ardente caresse.

- Ne me dit pas que tu fais cela pour la première fois ?

Sa bouche me quitta me donnant un petit répit.

- Si !

- Il faudra que tu penses à persévérer sur ce type de traitement. Tu es très douée.

- Merci ! dit-elle en souriant, le nez les lèvres blanches de mes liqueurs. Il faudra que j’y réfléchisse.

- D’accord, mais pour l’instant, continue à me soigner. Je suis très malade

- Bien docteur.

Elle me fit jouir plusieurs fois grâce à l’agilité de sa langue dans mon fourreau. Je la repoussais doucement.

- Attends ma belle ! On n’a pas encore fini.

Je pris le godemiché qui l’avait surpris lors de l’inventaire.

- J’ai une autre thérapie pour toi. Veux-tu l’essayer ?

- Oh oui ! ho oui !

Je le fixais à ma taille et allais m’asseoir dans le canapé.

- Allez ! Il faut me lubrifier cela. Viens mon amour !

Elle ne se fit pas prier deux fois. Elle s’agenouilla sur le canapé et entama une superbe fellation sur l’engin en plastique. Je glissais ma main sous son ventre et allais la masturber doucement. Son sexe était humide à souhait.

- C’est bon. Je crois que tu peux t’empaler dessus.

Elle se redressa, me tourna le dos et descendit doucement sur le pénis en plastique alors que je posais mes mains sur sa taille. Son corps trembla sous l’effet de la pénétration. Je l’aidais alors à chevaucher et se fut la charge de la cavalerie. Son corps devint désarticulé sous les assauts du plaisir. Elle se raidit brusquement et un long cri, gutturale, sortit de sa bouche. Elle s’abandonna au creux de me bras, sans que le godemiché ne quitte sa grotte. Je lui caressais les seins et le clitoris, pendant que je lui léchais le cou.

Elle désira par la suite connaître toutes les pratiques que permettait le bel engin.

Mes nuits furent moins tristes à partir de ce jour là.

Son départ fut une véritable torture. J’eus du mal à l’oublier.

15 mars 2009


Alain BASHUNG nous a quitté hier Samedi 14 Mars 2009.
Adieu l'artiste. Tu va nous manquer. A moi, beaucoup...

08 mars 2009


Qui a dit que les Bisounours n'aimaient que les bisous...

21 février 2009

26 janvier 2009

18 heures. Fin de la journée.

06 janvier 2009

Un petit combat dans l'huile, cela vous dit...

05 janvier 2009



Je vous souhaite à tous une bonne et heureuse année 2009 pleine de plaisirs