25 septembre 2011

Je tire ma révérence.
5 ans cela fait beaucoup.
Elle me manque énormément ma Dominique chérie

Je passerais encore de temps en temps. Enfin, je ne vous promets rien.

Je vous embrasses

11 septembre 2011




A mon amour et sa compagne


Les douceurs d’une après-midi Sarde

L’après-midi s’annonçait lourde sous le soleil de Sardaigne. Il n’y avait pas un brin de vent et même l’eau de la piscine ne suffisait pas pour se refroidir.

Bilitis prit congé de Caroline et de ses amis pour aller s’isoler dans la chambre. Elle préférait de loin la douce fraîcheur de la chambre que la chaleur étouffante du bord de la piscine.

Une fois dans la chambre, elle ferma un peu les volets, histoire de conserver le peu de fraîcheur qui restait dans la pièce et s’allongea de tout son long sur le lit, sans même quitter son bikini.

Elle s’endormit ainsi, sur le ventre, une jambe légèrement repliée.

Elle passait des vacances de rêve avec Caroline, des vacances entre la piscine, le bateau, la plongée et les douces mains de sa compagne. Cette dernière arrivait toujours à la surprendre et c’est ce qu’elle aimait en elle. Elles avaient failli provoquer un attentat à la pudeur un soir alors qu’elles s’étaient un peu abandonnées dans la piscine. Alors que Caroline commençait à faire descendre le bas de son bikini, elles se sentirent observé. Le petit garçon du propriétaire était campé là, sur l’autre bord de la piscine, les yeux écarquillés. Avait-il vu le geste de Caroline ? Il fallait le surveiller celui là.

Bilitis fut tirée de son sommeil par une douce caresse. Elle sentait des doigts monter et descendre le long de sa jambe. Ces doigts effleuraient le bas de son maillot, passaient sur l’autre jambe et redescendaient.

Elle sentait la chair de poule envahir son corps. Les doigts finirent par glisser sur le bas de son maillot, sur son entrecuisse. Elle tressaillait et gémissait de plaisir. Cette douceur, cette lenteur, ce ne pouvait qu’être que Caroline.

Elle glissa un œil derrière elle et découvrit son amante tout concentrée à sa caresse. Elle avança et commença à faire glisser sa langue sur les hanches de sa compagne. Bilitis frissonnait.

Elle se retourna pour faire face à son amante. Caroline fit glisser sa langue sur le ventre de Bilitis, montant, descendant, léchant son maillot, la peau au bord de celui-ci, l’aisne. Elle ouvrit la bouche et la posa sur son pubis et souffla. Bilitis gémit.

Elle remonta, s’attarda sur le nombril, le creux de ses seins, glissa sur son torse. Doucement elles se bécotèrent avant que leurs bouches s’unirent en un délicieux baiser. Bilitis aspira la langue de sa compagne et le suça délicatement.

Caroline abandonna la bouche de Bilitis et alla poser la sienne sur la poitrine de son amie. Elle leur fit le même traitement que sur le pubis un peu plus tôt. Elle souffla à travers le tissu.

Bilitis frissonna à nouveau. Elle attira le visage de son amie et elle l’embrassa à nouveau.

Caroline aida Bilitis à se redresser sur son séant. Elles s’embrassaient toujours pendant que Caroline entreprenait le dégrafage du haut du bikini de Bilitis.

Bilitis se rallongea. Caroline profita de la superbe vue des seins nus de Bilitis. Elle caressait les mamelons, faisait le tour, flattait les tétons. Elle se penchant vers eux et lécha les tétons avant de les gober l’un après l’autre. Elle les suça, les lécha, les aspira, les mordilla.

Bilitis adorait ce traitement et Caroline le savait très bien. Elle pouvait la faire jouir rien qu’avec le traitement qu’elle prodiguait à la poitrine. Bilitis gémissait de plus en plus. Son corps tanguait sous les assauts du plaisir. Sa poitrine luisait de salive et ses tétons bandaient comme de petit pénis. Elle avait les yeux fermés et faisait passer sa langue sur ses lèvres. Des vagues de plaisir montaient à l’assaut de son ventre.

Pour Caroline, il était temps de faire refroidir sa compagne.

Elle s’empara d’un glaçon dans le bol qu’elle avait apporté. Elle le fit glisser entre les seins de Bilitis qui gémit de plus belle. Elle creusa son ventre lorsque le glaçon glissa sur celui-ci.

Caroline remonta le glaçon et le glissa sur les seins, les tétons. Elle joua longuement avec son amie avant de le laisser sur son nombril. Elle se pencha et le prit dans sa bouche. Le gardant dans la bouche, elle alla le passer à nouveau sur les seins. C’était à la fois chaud et froid. Les tétons bandaient de plus en plus sous le traitement de Caroline.

Elle alla alors déposer le glaçon dans la bouche de Bilitis. Elles s’embrassèrent se passant et repassant le glaçon. C’était divin.

Caroline reprit le glaçon et alla le glisser dans le creux du ventre de Bilitis. Elle le fit passer le long du maillot de bain et glissa celui-ci-dessous. Bilitis se cambra.

Une fois le glaçon fondu, Caroline débarrassa sa compagne de son maillot.

Elle s’installa confortablement entre les cuisses de son amante. Elle glissa un oreiller sous les fesses de Bilitis. Elle caressa longuement de ses doigts, de ses ongles de sa bouche l’intérieur des cuisses. Elle pouvait voir le délicat rejet sur les lèvres de son amie. Ses narines se repaissaient des effluves poivrés de la belle.

Le bassin de Bilitis tanguait. La bouche salvatrice de Caroline se posa sur ses lèvres. Elle émit un petit cri de satisfaction. Elle jouit légèrement.

Caroline sourit. Elle regarda sa compagne et avec un sourire malicieux, elle entama son repas.

Sa langue glissa sur le pubis de sa compagne avant de s’attaquer aux lèvres juteuses. Elle fit passait délicatement sa langue, cueillant le divin nectar sur le plus beau des pistils.

Caroline s’accrocha aux hanches de la belle pour ne pas perdre le contact tant Bilitis était agitée. Bilitis caressait les cheveux de son amie. Elle n’avait pas besoin de dire grand-chose tant elles se connaissaient toutes les deux.

Caroline écarta les lèvres de son amies et lécha l’intérieur de la fleur, mélange de liquide blanc et de couleur pourpre.

Elle se régalait. Son amie gémissait e plus en plus. Son corps tanguait sous les vagues du plaisir. Bilitis sentait le bout du nez de son amie s’écraser sur son clitoris. A chaque fois, une décharge électrique envahissait son corps.

La garce finit par s’occuper de son petit bouton.

Il ne fallut pas longtemps avant que Bilitis ne jouisse à nouveau.


Elle comptait reprendre un peu de force et s’occuper de Caroline mais c’était mal la connaître.

Caroline fit redresser Bilitis contre le coussin de la tête de lit. Elle lui attacha les poignets à l’aide de deux étoffes de soie et posa un masque de sommeil sur les yeux de son amie.

Elle était à nouveau très excitée.

Caroline caressa ses bras, ses seins et embrassa tendrement son amie.

Elle reprit alors un autre glaçon et laissa l’eau se répandre sur le corps nu de son amie en le serrant dans ses mains. Torture douce et très agréable. Un peu d’eau coula sur son menton. Elle ouvrit la bouche pour en recueillirent un peu.

La garce fit à nouveau glisser le glaçon sur ses seins, son ventre, dans sa bouche. Elle sentait qu’elle mouillait à nouveau.

L’eau glissait le long de son ventre, disparaissait dans les poils pubiens, pour ressortir plus bas et se mêler à sa liqueur. Bilitis s’ouvrait encore plus tant la chaleur entre ses cuisses était violente.

Comme si Caroline avait compris, elle fit glisser le glaçon sur les lèvres de son amie. Bilitis cria, mélange de plaisir et de douleur du au glaçon.

La garce faisait aller et venir le glaçon sur ses lèvres. Bilitis se pinçait les lèvres, elle jouissait intérieurement. De temps en temps, Caroline abandonnait les lèvres afin de faire passer le glaçon sur l’intérieur des cuisses de son amie, mais elle y retournait sans vergogne.

Elle alla alors embrasser son amie. Bilitis dévora la bouche de Caroline, suçant sa langue comme une folle. Caroline alla ensuite lécher les seins de Bilitis.

Le glaçon finit par disparaître. C’est alors que Caroline caressa les lèvres de son amante.

Elle écarta les lèvres juteuses et glissa un doigt puis deux doigt dans l’antre brûlant. Le corps de Bilitis se tendit.

La garce doigta son amie. Elle monta lécher les seins, le ventre, la bouche. Elle s’attaqua au clitoris, qui pointait hors de son capuchon.

Elle s’acharna dessus. Bilitis jouissait à gorge déployée.

On orgasme d’une rare puissance l’emporta.

Caroline calma le feu du plaisir avec sa bouche sur la fleur écarlate de son amie. Elle déposa ses doigts gluants dans la bouche de sa victime. Celle-ci les suça avec gourmandise.







Bouche, langue sur le ventre, les seins, le cou. Bouche, sur la bouche. Baiser, long, furieux, langoureux. Orgasme, étoile, mars, vénus, ho oui vénus, notre mère… Je jouisssssssssssssss


Je vous embrasse tendrement mes amours



ROMANE

Qu'est-ce que tu nous manque ma Bilitis, ma Dominique.

07 mai 2011



j'attends quelqu'un !

14 avril 2011


Adieu mon amour
Pas de bonne nouvelle ce soir.
Je viens de prendre une très grande amie. Mon coeur saigne. Je suis implorable.
Ma Bilitis, ma Dominique chérie, tu vas énormément me manquer.
Mon chagrin rejoint celui de sa compagne pour qui ce doit être encore plus terrible.

Je t'embrasse très fort mon amour.

Romane

13 mars 2011




Amours bucoliques







À ma Dominique chérie.

J’ouvre un œil, l’esprit encore cotonneux. J’ai bien dormi et pourtant mon sommeil a dû être agité vu que mon long tee-shirt est remonté sur mon ventre. Je tire dessus pour le remettre en place.
Je regarde l’heure : 10h. Il est temps de se lever.
Je me dirige d’un pas maladroit vers la porte-fenêtre et ouvre le volet. Le soleil inonde alors la pièce. Sa chaleur achève de me réveiller. Je sens mon corps sortir complètement de sa torpeur hivernale.
Durant tout l’hiver, l’astre passe derrière les bâtiments en face de chez moi. Quand les beaux jours reviennent, il monte de plus en plus haut dans le ciel.
J’écarte mon rideau et constate qu’il n’y a pas un nuage dans le ciel. Une journée chaude s’annonce enfin. Il faut en profiter, mais je ne veux pas en profiter seule.
Je décroche mon téléphone et compose le numéro de Dominique.
Ça sonne longuement. Je prie pour qu’elle soit là. Enfin, on décroche
— Allô ! dit une petite voix encore ensommeillée.
— Domi ! C’est moi !
— Romy !... Il est quelle heure ?
— L’heure de te lever feignasse. Il fait un temps de rêve et il faut en profiter.
— …
— Cela te dit une petite balade à vélo et un pique-nique ?
— Pourquoi pas ?
— Ouvre tes volets et regarde le temps, c’est génial !
— …
— Combien d’œufs ?
— Euh, deux.
— Ok, j’ai aussi des tomates, un reste de salade…
— Moi j’ai des chicons, du jambon et de l’emmental…
— J’achète un peu de salade et on se fait un grand saladier. Yaourt, un petit rosé et c’est parti... Je passe te prendre à 11 h 30. Magne !
— Oki !
— à toute ma chérie !
Je lance le café, la cuisson des œufs, et fonce sous la douche.
Quelques minutes plus tard, je fixe l’accroche-vélo, y place mon vélo que je viens de réviser et me dirige chez Domi.
Je l’appelle juste avant mon arrivée.
Elle est là qui m’attend. Elle est bien réveillée maintenant. Je descends de la voiture et m’approche d’elle.
— Bonjour ma chérie ! et je l’embrasse sur la bouche. Doux baiser.
Un mec rentre dans un poteau en nous voyant. Superbe journée qui commence.
— J’attache ton vélo pendant que tu mets tes affaires sur les sièges arrière.
Aussitôt dit, aussitôt fait et nous voilà sur la route pour sortir de la ville.
— J’ai découvert un petit endroit sympa au bord d’une rivière. Tu vas voir, on sera tranquilles.
— Je te fais confiance.
Elle porte un short à fleurs, assez moulant et un tee-shirt. Moi je porte aussi un short, mais plus ample et un chemisier blanc.
— Tu as passé une bonne soirée ?
— Oui, j’ai longuement bouquiné, dit-elle. Et toi ?
— J’ai lu aussi.
Je pose ma main sur le haut de sa cuisse et la caresse tout en conduisant.
— Je me suis aussi un peu masturbée après m’être couchée, lui dis-je.
Elle pouffe, prends mon menton pour me faire tourner la tête et poses ses lèvres sur les miennes.
— Coquine !... Moi aussi ! me dit-elle en m’adressant un clin d’œil.
On pouffe alors toutes les deux.
Après 45 minutes de route, nous arrivons à destination. Personne en vue. Je prends mon sac à dos, elle le sien, et nous enfourchons nos vélos.
Encore une quinzaine de minutes avant de rejoindre notre petit nid douillet.
— Tu vois, je te l’avais dit. Personne, rien que nous deux.
— Génial !
Pendant qu’elle étend la nappe, je mets la bouteille de rosé dans l’eau fraîche. Je reste près de l’eau, le regard dans le vide, lorsqu’elle s’approche.
—Tu rêves, Domi ?
— Oui, excuse-moi.
— C’est pas grave.
Elle prend ma main dans la sienne.
— Laisse-moi découvrir à quoi tu rêves.
Ce disant, elle se colle contre moi et nous pouvons enfin nous embrasser plus longuement. Sa bouche est fraîche, sa langue agile. Je manque de perdre l’équilibre tant le baiser est agréable. Elle me retient dans ses bras.
Le baiser prend fin. Je suis toute chamboulée.
— à table ! me dit-elle, avec son plus beau sourire.
Je la regarde s’éloigner, les yeux fixés sur ses fesses.
— Et n’en profite pas pour reluquer mes fesses !
J’éclate de rire et mon rire est communicatif.
Je prends la bouteille de rosé et la rejoins sur la nappe.


o o O o o

Le repas fut très agréable, entrecoupé de longs baisers.
Nous nous installons près de la rivière pour laver nos couverts. Serait-ce la griserie que nous procure le rosé ?... nous voilà debout dans l’eau à nous arroser copieusement comme deux gamines. On rigole comme deux folles, quand soudain Domi arrête de m’arroser. Son regard a changé.




Je sais pourquoi son regard a changé. Mon chemisier est trempé et le tissu s’est collé contre ma peau. Elle peut alors voir ma poitrine nue et l’aréole de mes seins au travers.
— Je ne m’en lasse pas ! dit-elle en faisant la moue.
Son regard provoque une petite excitation en moi et je sens la pointe de mes seins grossir. C’en est presque obscène.
— Mais je vois que tes petites antennes se dressent !
Je rougis. Elle s’approche de moi et… ce baiser ! mon Dieu, je commence à couler.
Nous sortons de la rivière, oubliant nos assiettes et nos couverts. Elle s’allonge sur la nappe m’entraînant avec elle. Je m’assieds sur son ventre.
Elle retire son tee-shirt dévoilant sa superbe poitrine. Je retire mon chemisier avec son aide.
Je me penche et l’embrasse à nouveau. Nos seins se touchent. Je reçois une petite décharge dans mon ventre.


Je monte au-dessus de son visage offrant mes seins à sa bouche vorace. Je rugis sous sa caresse buccale.
Je descends pour aller lécher son nombril, son ventre et ses seins. Je les lèche, les mordille délicatement, les pétris sous mes mains. Elle rugit à son tour.
Je remonte l’embrasser. Baiser chaud, ardent.
— Romy !
— Oui ?
— On n’est pas seules !
— Comment cela ?
— J’ai vu quelque chose briller de l’autre côté de la rivière. Un vélo je crois.
Je sentis mon désir me quitter.
— Mer…credi !
— Continue, ne t’arrête pas !
C’est elle qui raviva ce désir qui me quittait. Sa main glissa sous mon short et ses doigts titillèrent ma vulve. Je gémis.
Je la laisse me masturber doucement alors que nos bouches s’unissent à nouveau.
— C’est un petit branleur, quinze ou seize ans je dirais.
— Mmm !... continue.
— Ça t’excite de te faire mater ma chérie ?
— Ch’ais pas !
— Tu sens mon doigt sur ta chatte baveuse ?
— Mmmm…
— Imagine-toi sans ton short, à la vue du petit branleur, la chatte à l’air, toute trempée… Cela ne t’excite pas ?
— Mmmmm…
— Cela te dit de lui offrir ce spectacle ?
Je n’ais pas le temps de répondre qu’elle retire mon short, ne laissant que mon petit string ficelle.
— On va lui offrir le plus beau spectacle de sa vie : ton cul de déesse.
Je jouis instantanément.
— Mais tu viens de jouir ma cochonne ! Mes doigts sont trempés de ton jus.
Sa bouche se colla à la mienne. Je ne me lasserai jamais de sa bouche.
— Je crois qu’il apprécie notre jeune voyeur !
Sûr qu’apercevoir deux jeunes femmes en chaleur, s’embrassant, se caressant, se masturbant, l’une quasi nue et l’autre en string ficelle, il a de quoi apprécier notre jeune voyeur !
Je dois me calmer, sinon je risque de repartir de plus belle. Je bouge forçant Domi à sortir sa main de mon entrejambe. Je me sens obscène, sentant la ficelle de mon string entre mes lèvres humides. Je tends pourtant mon postérieur sans vergogne, n’oubliant pas de garder mes jambes bien écartées.
— Ben ma cochonne, tu lui offres un magnifique spectacle !
Je lui souris et je m’attaque à sa poitrine. Je sais qu’elle adore que l’on s’occupe de ses chéris. Je prends sa poitrine entre mes mains, rapproche les deux globes et les lèches avidement.
— Oh ! tu me prends par les sentiments là…
En deux temps trois mouvements, sa poitrine est recouverte de ma salive. Son bassin commence à onduler. Je glisse entre ses jambes une cuisse que je colle tout contre sa vulve. Elle se frotte dessus déposant ses humeurs. Elle soupire.
J’abandonne sa poitrine pour descendre sur son ventre, son nombril. Malheureusement, ma cuisse n’est plus en contact. Elle continue à onduler sous les vagues de son plaisir. Elle masse sa poitrine que je viens d’abandonner.
Je glisse ma langue le long de l’élastique de son short. C’est chaud dans les parages ! J’ai complètement oublié le gamin. Je m’empare de son short et tire vers le bas. Au passage j’emporte sa petite culotte.
Sa douce toison blonde apparaît, toison légèrement maculée de sa liqueur. Je passe ma langue dessus, jouant avec les boucles.
— Hmmm, je t’en prie Romy, bouffe-moi !
Elle est complètement écartée maintenant. Son odeur flatte mes narines. J’écarte ses lèvres poisseuses. C’est encore pire à l’intérieur. Je sors une langue mutine et me mets à lécher ses lèvres et sa vulve. Je pose ma bouche grande ouverte et aspire.
Domi gémit de plus en plus. Je glisse une main sur ma vulve qui dégouline de liqueur. Je lui offre ensuite mes doigts à lécher, à sucer.
Je dois me cramponner à ses hanches tellement son bassin ondule. La douceur de l’intérieur de ses cuisses devient une torture pour ma tête. J’ai l’impression qu’elle veut m’écraser comme une noix dans un étau.
Je lèche, je suce, je bois comme une affamée. Son petit bouton apparaît. Je l’agace du bout de la langue. Elle rugit comme une lionne et jouit. Sa source est intarissable. Je bois tout mon saoul.
Je remonte lentement, baisant chaque morceau de sa peau. Je retrouve sa bouche.
— Merci ! me dit»-elle .
Merci de quoi ? Je ne la remercierai jamais assez.
— Notre jeune voyeur se secoue la nouille comme un damné. Je crois l’avoir vu plusieurs fois lâcher sa semence et pourtant, il continue. Ha que c’est beau la jeunesse.
Je risquai un œil pour la première fois et découvris notre voyeur.
— Il est mignon, dis-donc !
— Voui.
— ça t’a aussi excitée de jouir devant lui ?
— Mmmm, voui.
Baiser toujours aussi délicieux. Nos deux bassins se frottent l’un contre l’autre. J’ondule entre ses cuisses, nos pubis collés l’un à l’autre. Ses mains glissent sur mon dos, descendent sur mes fesses. Elles jouent avec la ficelle de mon string, tirant dessus, de telle sorte que la ficelle glisse plus profondément dans mes chairs.
Je quitte sa bouche et remonte doucement. Elle happe mes seins au passage. Elle les met à rude épreuve. Elle les lèche, les mordille, les aspire. Je soupire, gémis.
Mes gémissements partent à la rencontre du bruit des feuilles des arbres au bord de la rivière, ainsi le claquement sec d’un pic-vert contre du bois.
Je suis prête. Je me lève, fais glisser mon string.
Faisant face au gamin, je m’agenouille au-dessus de la tête de Domi.
— Oh ! ma chérie, tu es humide à souhait ! dit-elle en posant un petit baiser sur mes lèvres.
Elle m’écarte à l’aide de ses doigts et glisse une langue le long de celles-ci.
C’est alors que commence le ballet de sa langue dans mon intimité. C’est divin. Tout mon être se concentre en un seul point : ma vulve. Je sens les assauts du plaisir dans le creux de mon ventre. Ses vagues descendent vers ma vulve.
Mes antennes sont à leurs apogées. Je les triture pour accentuer les ondes.
Quelle merveilleuse amante j’ai là !
Sa langue quitte ma vulve. Elle la remplace par un, puis deux doigts. Elle me masturbe. Sa langue se concentre en un point bien précis. Un point qui se situe là où les lèvres se rejoignent, un point où vit un petit organe fort délicat.
Elle écarte les plis du bout de la langue, dégage le petit bouton déjà gorgé de sang. Je tremble. Je gémis de plus belle.
Elle retire ses deux doigts et me lèche à grands coups de langue avant de recommencer son manège.
Savamment, elle s’occupe de mon clitoris, le touchant d’abord légèrement, puis plus intensément.
Je deviens folle. Ma tête roule de gauche à droite. Je me sens couler comme une fontaine sur ses doigts, dans sa bouche. Les bruits de sa langue se font intenses dans ma tête.
Le plaisir arrive au galop. L’orgasme le suit de peu.
Je me mets à hurler comme une louve. Je jouis, je coule, elle me lape, me boit.
Je bascule en avant. Elle reste accrochée à mes hanches, ne perdant pas une goutte du nectar.
Je pose ma tête sur son bas ventre, ferme les yeux. Mon nez se remplit de ses odeurs délicates. Les frisottis de son pubis caressent mon nez. Je dépose au creux de sa hanche un baiser fiévreux. Je regarde, attendrie, la protubérance de son pubis.
Ayant repris un peu mes esprits, je vais me blottir contre elle, tout en glissant ma main entre ses cuisses.
Nos bouches se touchent, nos langues se mêlent. Elle est tout humide, et moi aussi.
Elle pouffe. Le branleur semble évanoui. Je rigole avec elle.
Je ferme les yeux et soupire de bien-être. Autour de nous, c’est un vrai chantier !On verra plus tard.
Je me retourne. Domi se colle dans mon dos. Je sens sa somptueuse poitrine et son pubis sur mes fesses. Je m’endors doucement bercée par le ressac d'étreintes finissantes.


o o O o o

Un léger chatouillis sur mon visage me tire de ma torpeur. C’est Domi qui me chatouille à l’aide d’une brindille. Elle est habillée.
— Il serait temps d’y aller avant que le soleil ne se couche.
Je frissonne car je suis toujours nue. Je me lève, enfile mes vêtements. Domi a déjà tout préparé. On s’embrasse et nous retournons à la voiture.
On est silencieuses. Je pense encore à ce qui s’est passé cette après-midi. Quelle cochonne je suis ! Je sens mon sexe s’humidifier à nouveau.
En bas de chez elle, je l’aide à récupérer ses affaires.
— On ne va se quitter comme ça ! Tu montes manger un petit quelque chose ? me dit-elle.
J’en suis ravie.
Le désir reste tapi au creux de mon ventre durant tout le temps où je la regarde préparer le petit en-cas. Je ne sais si elle m’a vue la regarder avec envie.
Elle disparaît dans sa chambre. Je prends un magazine et le feuillette machinalement.




— Je ne sais pas pour toi, mais ce qui c’est passé cette après-midi me trotte encore dans la tête, dit-elle, dans mon dos.
— Moi aussi !
Elle réapparait dans mon champ de vision vêtue uniquement d’une culotte. Elle s’agenouille sur le canapé au dessus de mes jambes.

Elle m’embrasse avec voracité. Instinctivement, je glisse ma main sur sa culotte entre ses cuisses. C’est chaud et humide.
— J’ai encore envie de toi, dit-elle.
Elle me prend la main et m’entraîne dans sa chambre. Face au lit, elle me déshabille puis me fais basculer sur celui-ci. Elle s’assoit sur mon dos, me masse de ses mains et de son bassin. Je ferme les yeux. C’est divin.
Elle me retourne. Je suis mouillée à souhait. Elle me fait face et avance doucement son bassin vers le mien. Nos jambes se croisent.
Je saisis la main qu’elle me tend. Nos regards sont plongés l’un dans l’autre. Nos sexes se touchent. Je sens comme de l’électricité dans mon bas ventre. Doucement, nos bassins se mettent à onduler frottant nos vulves humides l’une contre l’autre. Je mords mes lèvres, elle passe sa langue sur les siennes. La pièce est remplie de nos soupirs et du clapotis que font nos sexes.
Je lâche sa main pour aller écarter mes lèvres pleines de jus. Mes doigts recueillent un peu de liqueur. J’en étale sur mes tétons et me masse les seins.
Nos bassins accélèrent leur sarabande. Nos pubis s’entrechoquent.
Je jouis la première. Elle me suit aussitôt. Nos corps se relâchent, enfin repus.
Un divin baiser met un terme à notre petite aventure. Je sais qu’il y en aura d’autres, toutes aussi fabuleuses.
Une nuit printanière enveloppe la ville ainsi que deux amantes accomplies.


Février 2008.

09 janvier 2011


La bise sous le gui, ce n'est pas trop mon truc.
Bonne année à vous tous.