02 novembre 2014

J'aime la chatte

Chatte est juste un mot

Un mot indicible

pour désigner

le lieu le plus désiré du monde

un mot évocateur

juteux

plein de promesses

juste un mot,

qui suscite beaucoup

d'enthousiasme,

de passion

de haine

d’amour


Nos deux chattes sont à égales

Identiques dans le désir

Si différentes

Si semblables

offrant des forces opposées


Nous osons

parler de nos chattes

comparer nos chattes

raconter leurs envies

leurs manies

leurs angoisses

leurs spames


Quand j'écris le mot chatte

mes doigts errent sur tout mon corps

à la recherche de ce lieu

de plaisir

de douleur

de convoitise

d'amour

de haine

de mensonge


Et je m'arrête soudain d’écrire

mes doigts me caressent

me taquinent

me tâtent

me baisent

et je pense à toi

au jus de ta chatte

au goût poivré de ta chatte

aux lèvres gonflées de ta chatte

à ta bouche sur ma chatte,

à tes doigts qui pénètrent ma chatte

qui bougent à l'intérieur de mon corps


Comme c’est doux ici

chaud

humide

accueillant,

je sais combien tu aimes ta chatte

ma chatte

nos chattes

ce moment délicieux

où elles se regardent

se comparent

puis s’aiment

loin du stress

loin du boulot

loin de la famille

loin des enfants

des emmerdes de la vie


Nos chattes connaissent la vérité

la vérité est vraiment


J’aime la chatte

Caty

Echange

Heureuse de t'avoir fait jouir avec mes mots. J'en encore des millions à t'offrir... 
Mais je ne suis inspirée véritablement que lorsque tu es entre mes jambes
à me lécher... c'est divin
me boire... C'est bon
me butiner... J'aime cela
me mordre... à me faire mal
me baiser avec ta langue... le plus au fond possible
m'ouvrir avec tes doigts... le plus possible pour que tu m'admires
me pincer le clitoris... à hurler de plaisir et de douleur
et et et et
me toucher l'anus délicatement comme tu sais si bien faire et que j'aime tant que tu me fasses
Caty en transe..

Le rhum ! un vrai délice lorsqu'il est bien utilisé... Une petite lampée dans la bouche que les papilles soient bien en éveil.
Tu viens ensuite me gicler ce liquide dans mon sexe ! puis tu le bois et viens le partager avec moi dans un swapping fabuleux...
A moi de faire la même chose avec ta vulve... Je gicle, puis je bois... Nous avons ensuite tout le temps de nous embrasser et de partager le goût de nos sexe révélé par les effluves de l'alcool... Il faut ensuite revenir avec nos bouches avides vers nos vulves tout aussi avide... Et dans un prodigieux 69 nous jouissons à tour de rôle... Toi d'abord... puis moi... Puis toi encore... et c'est mon tour...
Caty

19 octobre 2014

Qu’est devenu Hermione?

Elle a abandonné la sorcellerie pour devenir agricultrice. Elle a troqué son balais contre une fourche.

26 août 2014

Une rencontre furtive

Je venais d’attaquer mon plat du jour, lorsque je remarquais cette jolie blonde à quelque table de moi. Il faisait beau et je déjeunais en terrasse. 

Cette jeune femme était magnifique. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder. Mon minou fut le premier à réagir. Une douce liqueur commença à couler.

Je constatais qu’elle portait des bas auto-fixant couleur chair. Comment peut-on porter des bas en cette saison ?

Je remontais mon regard vers son visage et zut… elle m’avait repéré.

Je détournais rapidement mon attention mais cela n’était jamais assez rapide. J’étais prise la main dans le sac.

Le dessert arriva et je n’avais toujours pas regardé dans sa direction mais l’envi me tiraillait les chairs.

Juste un coup d’œil, rapide. Elle me regardait tout sourire. Une gamine j’étais, une gamine. Je regardais alors mon gâteau sans trop le voir.

C’était trop fort, je regardais à nouveau.

Elle m’observait toujours souriante. Je la vis baisser les yeux comme pour m’inviter à regarder 
plus bas. Elle avait écarté sa jambe. La jupe qu’elle portait était suffisamment courte et étroite pour ne rien cacher dessous. Je vis ses lèvres, intime. La belle ne portait rien dessous. Elle referma sa jambe.

Son sourire était joviale, heureuse de sa surprise. Je le lui rendis. Je ne portais rien moi non plus, mais une femme si classe.

Je terminais mon dessert, la vision de son minou encore dans la tête. 

Je finissais mon café lorsque la belle se leva. Elle se dirigea vers moi, lunette de soleil sur le nez, sourire toujours éclatant. Mon cœur commençait à s’emballer. Je sentis un doigt glisser sur mon avant-bras. Dziiii.

Je me retournais et le regardais des pieds à la tête. Elle avait un jolie… postérieur.

Je payais sans attendre le retour de la monnaie et lui emboîtais le pas. C’était plus fort que moi.

Je ressentis un immense désespoir. Je l’avais perdu. Merde où était-elle passée ? Je n’ai pourtant pas perdu de temps.

J’avançais dans le square où elle s’était engouffrée. Passant près d’une cabane de jardinier, je sentis une main se poser sur mon épaule et me tirer en arrière. Je me retrouvais dans une petite cachette à l’abri des regards. Je me retrouvais face à elle. 

Son sourire si près me fit fondre encore plus. J’allais dire quelque chose mais elle se précipita sur mes lèvres. Une langue vorace s’engouffra dans ma bouche.

Ses mains glissèrent sous ma jupe et s’agrippèrent à mes fesses.

-          Tu es nue toi aussi salope dit-elle entre deux baisers

Ses mains me plaquèrent contre son bassin qu’elle commença à onduler. Ma belle était en plein délire sexuel et s’était communicatif.

Mes mains se posèrent sur sa poitrine, bien pleine. Elle rugit et retourna sur ma bouche. Elle était sensible de là. Bon à savoir. Je me mis à les malaxer à travers son chemiser et son soutien-gorge.

Je glissais une jambe entre les siennes. Elle se baissa. Je sentis sa chatte toute tremper se poser sur ma peau. Un nouveau dziiii. Elle ondula du bassin, se frottant sur ma cuisse.

Ses lèves avaient quitté les mienne. Elle me dévorait le visage maintenant. Elle haletait. Je réussis à dégrafer son chemisier, et extraire un sein de son soutien-gorge. Je le gobais aussitôt. Je le léchais, le mâchouillais, le tétais avec violence.

Mon autre main glissa dans son dos, appuyant sur le creux de ses reins pour être plus en fusion avec moi. Je remontais sa jupe étroite, et glissais mes doigts dans le sillon de ses fesses. Je découvris un objet qui occupait le cul de madame. Elle était plugée d’un rosebud.

Mon doigt glissa autour de l’objet. Elle avait sa tête en arrière. Ses yeux étaient fermés. Sa bouche cherchait de l’air. Elle allait jouir bientôt.

Je pris le rosbud et le fit tourner dans son cul.

Je sentais qu’elle allait éclater dans mes bras. Je pris rapidement sa tête et collais ma main sur sa bouche pour qu’elle ne rameute pas le quartier.

Son corps fut parcouru de soubresauts. Ma main étouffa en partie ses cris de jouissance. Ma cuisse était pleine de sa mouille, mon entre cuisse pleine de la mienne. Je jouis moi aussi. C’était aussi divin qu’elle.

On resta là, enlacée un moment à reprendre nos esprits.

-          Pardon me dit-elle
-          Pardon ! Pourquoi ?
-          J’ai été égoïste.

Je pris son visage entre mes mains et l’embrassais plus sensuellement cette fois.

-          Non, j’ai aussi pris mon plaisir.
-          Oui mais quand même.

Je l’embrassais à nouveau pour lui chasser ces idées de la tête.

Je pris sa main et la glissais sous ma jupe. Elle me caressa la chatte doucement puis me pénétra doucement. 

-          Fait moi jouir alors

Elle me masturba en douceur, rien à voir avec notre étreinte précédente. Je jouis rapidement. Ce fut-elle qui me dévora la bouche.

Je regardais l’heure. Une heure que l’on était là.

-          Mercredi, je suis en retard dit-elle

Je l’aidais à se rhabiller. Elle reprit l’apparence d’une business woman, nue sous sa jupe et pluggé.
On devait se quitter.

-          C’est quoi ton prénom au fait ?
-          Nat et toi
-          Romane
-          A bientôt au bistrot

    Je lui fis un clin d’œil. Je la regardais s'éloigner. Elle se retourna une dernière fois et m'envoya un baiser.

    Elle avait vraiment un beau ... postérieur.

16 juillet 2014

The Riders

The Rider from Chris Fitzgerald on Vimeo.

Où est le cheval en bois de mes parents? Il m'en faut un, vite

01 février 2014

Mon précieux



Par Gourmandise


-         -  Coucou Romy !

Comme la plupart des matins vers 8h00, Romy et moi nous nous connectons pour bavarder une quinzaine de minutes. Et ce matin, je ne sais pourquoi, j'étais super excitée, envie d’être sexy et coquine avec moi même.

Romy adore quand je suis dans cet état et en profite toujours pour me donner des petits conseils que j'applique à la lettre.

Toujours volontaire pour exécuter ses petits deals.
 Je profite de son expérience dans le domaine de l'érotisme.

- Romy ce matin j'aimerai me mettre en jupe avec une paire de Dim-up et sans culotte pour partir en cours.

 - Oui tu as raison me répondit t'elle

- Mais j'aimerai aussi porter mon petit plug en cristal celui qui m'est si chère

- N'as tu pas peur de le perdre avec le poids

- Non je ne pense pas vu sa forme

- Ummmh me répondit telle, vas y mets le !


Sans perdre de temps, je passai le bout du bouchon de carafe sur ma chatte, entre mes petites lèvres déjà  bien humides et le fis pénétrer doucement dans ma petite grotte dans le seul but de le lubrifier.

Surtout ne pas succomber à la tentation d'aller plus loin car il n'ait nullement question de jouir maintenant.

Je voulais faire monter mon excitation tout au long de la matinée.  

Accroupis, les jambes écartées je le présentais à  l'entrée de mon petit trou exerçant une pression circulaire pour le faire rentrer.

Je le sentais progresser doucement forçant mon passage si étroit et délicat, accentuant mon plaisir par une légère douleur.

Et puis subitement, le plus gros diamètre passé, je l'englouti jusqu’à sa garde ce qui me fit serrer les fesses de surprise !

Maintenant je me sentais bien prise, prêtes a affronter l’extérieur avec mon secret.

- Ca y est Romy il est en place

Je suis sur qu'elle était entrain de mouiller en pensant à se que j’étais en train de faire.

- Ma sucrerie tu me rends folle.

- Je fille Romy à plus


Marcher dans la rue avec la fraicheur du vent sur mon minou humide et cette impression d’être pénétrée un peu plus à chaque pas était trop divin. Je ne savais pas si j’allais résister longtemps.

En cour, assise sur ma chaise, je serrais et desserrais les fesses pour mieux ressentir ce viol en faisant attention de bien rester concentré pour ne pas pousser un petit gémissement révélateur pour mes voisins.

Je sentais la mouille envahir ma chatte et couler un peu sur mon anus.

Tenir, il fallait tenir sans exploser.

Je me mis à penser à Romy et aussi à Bilitis avec qui j’aurais volontiers partagé ce moment.

Midi ! Après plusieurs passages aux toilettes pour m'essuyer, je pris le chemin du retour en me pressant un peu.

Sitôt rentré je me dirigeais vers ma chambre et sans attendre je me mis a quatre pattes sur le lit, remontant ma jupe exposant ma croupe bien pleine à la glace de la vielle armoire.

Deux doigts glissèrent directement dans mon fourreau bien gluant.

Je n'en pouvais plus, déjà au bord du feu d'artifice, il me suffit que de quelques vas et viens bien profond pour que je m’écroule dans de formidables contractions orgasmiques.

Apres dix minutes de coma je retirais le Plug et deux heures après j'avais toujours l'impression qu'il était en moi.

Toujours sans culotte je changeai de jupe pour en porter une très courte et poser mon entrecuisse mouillé partout ou je pouvais m'assoir.

Je me sentais salope !

A Romane et Bilitis mon ange.