25 décembre 2018

Joyeux Noël


On se retrouve à la rentrée. Bonnes fêtes

19 décembre 2018

Beautés du jour

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14 décembre 2018

02 décembre 2018

Pour Noël






Et tant que vous y êtes, n'oubliez pas Ophélie. Je vous les recommande.

Pour Noël



Il vous reste quelque jours pour acheter le livre de Auxane. Je vous le recommande vivement.

28 octobre 2018

Les géraniums de ma voisine

Note de l’auteure :
Je vous ai déjà parlé de Dominique. Son nom d’écrivaine était Bilitis. L’histoire qui suis est partie d’un délire entre nous deux. Je publierais ma vision de l’histoire plus tard. Vous allez voir, on a perdu une grande écrivaine.

Bilitis 
Les Géraniums de ma voisine 

 Pour Romane, en toute complicité. 

 La petite goutte commença à me chatouiller. Je baissai les yeux et rentrai le menton pour l’apercevoir, juste à la naissance de mes seins, en plein milieu. Elle brillait sous le soleil caniculaire et tremblait un peu. Amusée, je guettai le moment où elle allait se transformer en une petite coulée. Je m’obligeai à demeurer parfaitement immobile pour ne pas hâter l’événement.

La goutte frémit légèrement puis, soudain, comme si elle venait de crever la minuscule poche qui la tenait enfermée, se répandit sur mon buste pour aller s’égarer  dans mon duvet.

Sous ce soleil étouffant, je transpirais abondamment. Nonchalamment étendue sur mon transat, je m’offrais un bain de soleil en ce début d’après-midi d’un mois de juillet caniculaire.

Quoique petit, mon jardin offrait suffisamment de place pour y étendre deux ou trois fauteuils et même y placer une petite table pour y faire des dînettes ou y prendre l’apéritif ou des rafraîchissements dont je faisais d’ailleurs une consommation effrénée.

J’avais mis mon petit bikini turquoise afin d’exposer un maximum de peau à l’astre bienfaisant.

Difficile de tenir plus d’une demi-heure avant de me précipiter dans la douche pour me débarrasser de toute cette transpiration et me rafraîchir.

Pas question de lézarder nue ou même en monokini ! La proximité de voisins à la discrétion douteuse m’en empêchait. J’avais d’ailleurs placé une sorte de palissade, un tantinet vétuste mais n’offrant aucune fissure, de telle sorte que mes voisins d’en face, ceux du rez-de-chaussée, n’aient pas vue sur nos allers et venues ni sur nos séances de bronzette.

Mais impossible de ne pas être aperçues des balcons situés sur les façades arrière de mes vis-à-vis.
Le deuxième étage était habité par un couple de personnes âgées et ne se montrait jamais par ces grandes chaleurs.

Au troisième, en revanche, deux étudiants assez gouailleurs ne manquaient aucune occasion de laisser plonger leurs regards, sans vergogne, vers notre jardinet où, avec Caroline, ma tendre amie, nous nous tenions aussi souvent que possible. Pour l’heure, les rideaux étaient tirés : ils étaient absents… Ouf !

Au premier étage s’avançait un joli balconnet richement fleuri et avec beaucoup de goût. Y apparaissait fréquemment une dame d’une quarantaine d’années, épanouie, l’air sensuel et bien dans sa peau. Une beauté !

Elle accordait à ses géraniums un soin tout particulier, les arrosant souvent, très souvent, un peu trop souvent m’avait-il semblé ! Avec Caroline, nous nous étions persuadées que la dame avait trouvé là un excellent prétexte à se trouver sur son balcon, comme par hasard, au moment précis où nous faisions sieste ou bronzette.

Plus amusées qu’irritées, nous avions fini par nous habituer à la présence et aux regards coulés de la dame qui semblait avoir de plus en plus de mal à dissimuler son émoi. À l’évidence, notre situation la troublait. Nous demeurions fort discrètes pourtant, nous interdisant tout épanchement, tout débordement intempestif. Ainsi exposées à la vue de nos voisins, et de la dame en particulier, nous évitions de jouer les provocatrices, réservant à l’intimité de notre chambre ou du salon — rideaux soigneusement clos ! — nos ébats amoureux.

La dame du premier était, à cet égard, la mieux lotie ! Elle bénéficiait en effet d’un angle de vue tel que, de son balcon, elle pouvait plonger son regard directement dans notre salle de séjour dont lui était alors révélée une grande partie, du moins lorsque les rideaux étaient ouverts.

 o o O o o

 Le soleil semblait redoubler d’ardeur et ma peau, toute couverte de petites perles de transpiration, était à nouveau brûlante. Je n’allais plus pouvoir tenir bien longtemps !

Je me mis à regretter l’absence de Caro’, retenue bien loin en raison de ses activités professionnelles qui nous mangeaient bien trop souvent week-ends ou jours de congé. Ah, si elle avait été là !… Je me laissai aller à imaginer sa main posée sur la mienne, discrètement. Puis le doux regard que nous échangerions en cet instant même, la montée du désir que nous aurions lu dans nos prunelles déjà avides. Le léger frémissement complice qui nous aurait fait nous lever et nous diriger, sans un mot, vers le salon où, après avoir rapidement tiré les rideaux, nous nous serions abandonnées dans les bras l’une de l’autre. Je sentais presque la douceur humide et brûlante de ses lèvres écrasant les miennes, sa langue dans ma bouche, nos  mains parcourant nos corps enfiévrés… Ouh ! Je sentis s’éveiller le doux pétillement du plaisir dans mon ventre. Il allait falloir que je me calme : je commençais à m’exciter pour de bon.


J’entrouvris les yeux et jetai un bref regard vers la petite table sur laquelle étaient posés verre et bouteille. Vides ! Plus une goutte de jus de pamplemousse. Bon ! je m’accordai encore deux minutes avant de rentrer me mettre au frais. Le temps de penser encore un peu à Caro’… à ses mains sur mon corps, me parcourant toute, griffant mes cuisses de ses ongles acérés, pétrissant mes seins déjà implorants, me léchant…

Tiens ! et si… était-‘elle’ à son balcon ? J’entrouvris une paupière prudente afin de m’en assurer. Bingo !… ‘Elle ’ était bien là, trônant au milieu de ses géraniums reconnaissants de ses bons soins. Me croyant assoupie, elle n’essayait même pas de se donner une quelconque contenance, et à travers le filtre de mes cils, je voyais bien qu’elle me ‘matait’ tout bonnement.

J’en conçus une certaine fierté. Bâtie comme elle l’était, cette belle femme ne devait pas rencontrer de difficultés à se trouver un amant, voire une maîtresse. Je me posai d’ailleurs la question de savoir si nous n’avions pas affaire à une pure lesbienne. La manière dont elle me regardait laissait peu de doutes sur la question. À moins qu’il ne s’agisse d’une de ces nombreuses hétéros soudainement très envieuses de tenter l’expérience qui consiste à ‘faire l’amour, une fois en passant — une seule fois, bien entendu ! — avec une femme’.

Passablement excitée par la brève évocation que je venais de faire de mon amie Caroline, je décidai, sur un coup de tête, d’épater quelque peu notre voyeuse.

Faisant semblant que j’étais en effet assoupie, je commençai par m’étirer de tout mon long, comme au réveil, prenant bien soin de faire durer, me cambrant au maximum, bombant le torse et creusant le bassin, les coudes relevés, poings aux oreilles. Comme par inadvertance, j’écartai les cuisses.

Vu sa taille, mon bikini ne dissimulait pas grand-chose, et je m’amusai à imaginer la réaction de la dame.

Me relâchant, j’entrouvris à nouveau les paupières et je faillis éclater de rire en constatant le trouble, bien tangible, de notre voyeuse : hébétée, la bouche ouverte comme sur un ‘oh’ suspendu et figé, les yeux écarquillés, elle serrait les cuisses comme prise d’une envie irrépressible d’uriner.

Faisant mine de l’ignorer, je me redressai vivement et pénétrai dans le salon tout baigné de soleil. Je pris bien garde de laisser les rideaux ouverts, sachant que la dame pourrait ainsi poursuivre tranquillement son observation.

Elle voulait voir ?… Elle allait voir !

 o o O o o

 Je commençai par me retirer quelques instants à la cuisine pour aller vider un grand verre de jus de pamplemousse, j’en avais besoin.

Lorsque je revins dans le salon, elle était toujours là, prisonnière de sa curiosité lubrique.

Je m’allongeai sur le divan et me mis presque aussitôt à me caresser. La chose me fut d’autant plus aisée que pétillait encore en mon ventre l’excitation que j’avais si bien amorcée en évoquant ma tendre Caro’.

Le divan était disposé de telle sorte que, de là où elle se trouvait, la dame ne devait rien perdre de mes mouvements : j’étais face à elle, pile dans l’axe.


Après m’être débarrassée de mon bikini, je me mis à parcourir tout mon corps avec une lenteur calculée, ondoyant, me tortillant, sans avoir à feindre, tant l’excitation me gagnait, alimentée aussi bien par les souvenirs des récentes caresses de ma Caro’ que par le regard de la dame que je devinais rivé à mes formes.

Les cuisses à présent bien écartées, je posai les mains, disposées en serres d’oiseau, sur mes genoux, et remontai vers ma vulve en me griffant la chair. Je frissonnai de plaisir. Je me mis ensuite à me pétrir les seins en grands mouvements tournants, puis à m’étirer les bouts en geignant ; mon bassin amorça sa danse lascive.

Je revins à ma vulve et, m’emparant de mes lèvres, je les étirai en les écartant pour bien exhiber mon entrée rose, déjà toute perlée, à la dame là en face qui… au fait, c’est vrai, où en-était-elle ? Je l’avais presque oubliée, tant le plaisir s’était emparé de mon esprit.

Je faillis crier de surprise au vu des deux gros cercles noirs qui masquaient les yeux de la dame. Elle m’observait à la jumelle cette salope ! Sans vergogne et… oh, non ! mais… je rêve ! elle tient sa paire de jumelles d’une seule main, l’autre étant occupée à je ne sais quoi, masquée par les géraniums.

Je suis sûre qu’elle me fixe le minou. Oh et puis zut !… qu’elle en profite, tiens ! Oh, mais c’est que ça m’excite, cette situation !

Attends, ma cocotte, je vais te faire voir quelque chose ! Je me levai d’un petit bond, disparus dans la cuisine et en revins quelques instants plus tard munie d’un gros cube de glace encore fumant et qui me collait un peu aux doigts. Je m’étendis à nouveau sur le divan et entrepris de me passer le cube sur les lèvres. Se forma aussitôt un petit filet d’eau glacée que je laissai descendre le long de mon cou, ce qui me procura une délicieuse sensation de fraîcheur. Me cambrant alors, je me mis à promener le glaçon fondant sur les pointes de mes seins qui réagirent en se dressant davantage encore, galvanisés par le froid. Je promenai ensuite le glaçon sur ma poitrine qui frissonna de plaisir et qui se mit à répandre ce délectable fourmillement que j’apprécie tant.

Observant toujours les réactions de ma voisine, je laissai ensuite descendre ce qui restait du glaçon vers mon nombril où il s’attarda un peu, puis sur ma vulve que je me mis à parcourir en un geste ample et ralenti. Je titillai l’entrée de mon vagin qui se contracta sous la délicieuse agression du froid.
Allez, viens ma cochonne, reluque-moi bien, contemple mon minou baveux, regarde-le bien ce sexe qui ruisselle, qui va bientôt… Lui offrirais-je le spectacle d’un orgasme ? Je… à vrai dire… je ne crois pas que j’aie encore le choix ! Ooooh, mmmh, que c’est bon… je suis au palier, là, je… regarde bien, remplis-toi les mirettes, tu va voir comment je…

Délaissant le glaçon qui, réduit à une larme mourante et tiède, acheva sa course sur le haut de ma cuisse, j’entrepris de me masturber résolument, écartant les cuisses à l’équerre, me pétrissant un sein et me labourant l’entrée du vagin au moyen de deux, puis de trois doigts. Le plaisir montait, en vagues successives, me faisant bourdonner les tempes. Le souffle court, les joues en feu, je me contenais à grand peine : mon bassin tressautait de plus en plus fort, ma tête roulait de droite à gauche, je ne pus réprimer de petits gémissements de plaisir, la vague montait, s’élargissant, je m’affolai.

Oooh !… oooh !… que c’est bon ! Je me laissai revenir un peu, différant l’orgasme qui s’annonçait majeur. Je savourai la plénitude de mon plaisir qui sembla rouler au fond de moi un long moment pour repartir de plus belle. Je me mis à applaudir des cuisses, excitée comme une puce. Le divan couinait comiquement, mes petits jappements lui faisant écho, je n’allais plus tenir bien longtemps !

Retirant soudain mes doigts de mon antre ruisselant, je les portai à ma bouche et, fixant résolument ma voisine qui devait me voir en gros plan, je suçai lentement et longuement mes doigts poisseux, me délectant du goût de mon jus, achevant ainsi de m’affoler sous son regard qui contribuait largement à mon excitation.

Répondant enfin à l’appel impérieux de mon sexe enflammé, je tapotai mon mont de Vénus, titillai un moment mon clitoris qui me sembla émettre des ondes électriques qui se répandaient dans tout mon corps ; puis, n’y tenant plus, je replongeai quatre doigts dans mon vagin et me mis à me laminer sauvagement. Quelques spasmes m’ébranlèrent aussitôt ; je me laissai aller enfin et l’orgasme survint presque immédiatement, ravageur, engloutissant, délicieux.

Je mis quelques instants pour revenir à la réalité, pour calmer les battements de mon cœur, pour laisser se disperser les milliers d’étoiles filantes, pour reprendre une respiration normale…

Je jetai un rapide regard vers l’extérieur : sur le balcon d’en face, les géraniums semblaient ravis, rouges de plaisir, on en jurerait. Mais la dame avait disparu.

Tiens !… elle a tiré ses rideaux !

Lundi 11 septembre 2006. 

27 octobre 2018

Agnès mon initiatrice


Il y a longtemps que je devais faire du rangement dans le grenier. Je ne jette rien, au grand dame de ma mère. Je lui interdis de toucher à quoique ce soit dans le grenier.

Il y a quelque jour, je suis montée au grenier et j’ai ouvert une à une mes malles. J’ai replongé dans le passé.

Il y avait, mélangé, mes cahiers d’école, mes magazines préférés, mes petites culottes en coton, puis mes premières petites culottes plus affriolantes. Je retrouvais des sous-vêtements que j’avais complètement oublié, parce que plus à la mode : culotte fendue plein de froufrou, etc… Faudrait que je penses à elles lors d’une prochaine soirée déguisé.

Enfin bref, parmi tout ce fatras, je retrouvais mon journal intime. Lui aussi je l’avais oublié.

J’oubliais le rangement pour le lire. J’y avais écrit mes fantasmes, mes rencontres, mes aventures.

En lisant mes fantasmes d’adolescente, je souriais devant la légèreté des histoires et le manque de repère. Je souriais aussi me rappelant que les femmes étaient fières d’arborer un pubis luxuriant contrairement à maintenant.

Je racontais mon trouble lorsque je vis mon premier film porno à la télévision sur une chaîne payante et surtout celui d’avoir vu deux femmes faire l’amour.

La vision de ces deux femmes ne me quitta plus. On m’avait toujours dit qu’un couple était constitué d’un homme et d’une femme et de voir que deux femmes pouvaient aussi se procurer du plaisir… Je regardais mes copines sortir avec des mecs, mais moi je n’éprouvais pas grand-chose pour eux. Je n’avais pas non plus de l’attirance pour mes copines non plus. J’étais dans un no man’s land, au milieu de tout cela ne sachant pas où aller.

Je restais aussi jusque l’âge de seize, ne sachant pas où aller, mais attendant toujours les scènes d’amour entre femmes dans les films pornos.

Ma mère avait une amie, Agnès, qui vivait seule depuis toujours. On disait des choses sur ses mœurs, des choses tabous et jamais en ma présence. Elle restait pourtant une grande amie de ma mère. C’était une femme sportive, toujours en voyage à faire du trecking et une surtout une belle femme.

Cette femme, et oui, cette femme fut le déclencheur de ma sexualité. Cette femme vouait sa vie au culte de Sapho. Je ne me suis jamais posée la question si ma mère et elle …

Dans mon journal, j’avais noté le jour où il s’était passé quelque chose entre nous. Je vous rapporte mon histoire avec la maturité que j’ai aujourd’hui.

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Le dernier lundi des vacances d’été, Maman m’annonça, en partant travailler, qu’Agnès passerait la maison afin de profiter des derniers rayons chaud du soleil dans le jardin.

Sans le moindre arrière pensé, j’installais les matelas sur les bains de soleil dans le jardin.


Après un bref coup de sonnette, une belle apparition blonde s’avança dans le hall. Elle déposa sur mes joues deux bises chaleureuses.

– Bonjour, Romane. Je ne vais pas t’ennuyer le moins du monde, tu sais. Juste un bout de jardin et un rayon de soleil. »

La vue des deux bains de soleil sembla lui faire plaisir.

– Comme c’est gentil de me tenir compagnie ! Je suis sûre que nous avons des tas de choses à nous raconter. »

Elle me regarda plus intensément qu’à l’habitude.

– Je n’avais jamais remarqué que tu étais si jolie. » Je rougis. « Ne soit pas timide. » Elle me prit par l’épaule « Allons vite au soleil. »

Elle ôta délicatement ses chaussures et posa sa robe rouge sur une chaise. Son bikini me permit de contempler son opulente maturité. La tonicité évidente de son corps sportif s’enveloppait du charme moelleux de la quarantaine, qu’elle portait dans un troublant épanouissement.

Elle s’agenouilla près du matelas pour déposer ses diverses affaires. Je pus alors admirer sa cambrure, l’érection arrogante de sa poitrine généreuse mais ferme.

Je me sentis petite, mal foutu.

Elle sortit de son sac un tube d’Ambre solaire. A cette époque, on prenait de l’huile pour rôtir au soleil et non se protéger.

Elle me sourit. Je ne savais que dire. Cette femme me troublait au plus haut point. Elle dut s’en rendre compte.

– Qu’attends tu ! » me dit-elle d’une voix soudain plus rauque, « Ôtes tes vêtements que je vois comment tu es faîtes ? »

Je retirais ma robe. Ses yeux brillèrent.

– Hummmm ! Tu dois faire des envieuses sur les plages. »

Elle tâta d’un doigt mes cuisses et mon ventre. Je frémis.

– C’est vraiment beau un jeune corps. Tu es très appétissante ma petite Romane. »

Ce compliment me toucha beaucoup.

Elle s’enduisit le corps de sa crème brune. Était-ce dû au soleil ? Je sentais des montés de chaleur qui envahissait mon corps par longues vagues. C’était nouveau pour moi.

Elle se massait m’observant de ses grands yeux de miel, les paupières un peu plissées à cause du soleil. Un malin plaisir se devinait dans ce regard.

Toujours à genoux, elle se retourna et me présenta son dos.

– Peux- tu me passer un de crème, ma chérie ? »

J’approchais. Mes doigts glissèrent timidement sur ses épaules. Sa peau, bien bronzée, était douce et chaude.

– Descends un peu, s’il te plait. »

J’arrivais au sillon de sa colonne vertébrale. Sous mes caresses, car il s’agissait bien de cela, elle se cambrait avec de légers tressaillements. Je ne me reconnaissais plus. Je me laissais aller à mon instinct.

– Oh! Mais tu me donnes un tas de frissons, tu sais ! »

J’enduisais maintenant ses reins et les massais. Elle ondulait à chacun de mes gestes.

– Un peu plus bas… »

J’arrivais à la lisière du maillot. J’avais de plus en plus chaud. Elle se retourna.

– Cela te dérange si je retire mon maillot. »

Je regardais autour de moi comme si je découvrais que l’on était à l’abri du moindre regard. De plus, j’avais déjà bronzé nue.

– Heu, non… »

– Vois- tu, j’ai horreur des marques blanches sur le corps. »

Elle se leva et fit glisser le slip le long de ses cuisses, dévoilant un somptueux postérieur d’une rondeur irréprochable.

Ma main était encore tendue, enduite d’Ambre solaire. Elle resta debout, me présentant ses globes affolants, qui luisaient sous le soleil.

Choisissant le silence, elle tendit à mes doigts fébriles ses courbures fabuleuses.

Attirée, irrésistiblement, ma main déposa sur ses fesses quelque gouttes de crème et ma paume glissa bientôt, câline, sur la douce peau caramel.

Agnès se déhanchait d’une fesse sur l’autre, visiblement satisfaite. Sa voix se fit plus impérieuse :

– J’aime… Continue ! »

Je passais fiévreusement d’une fesse à l’autre. Mes tempes bouillaient, frappaient fort sous le soleil triomphant. Je me sentais prise d’un désir tumultueux. La belle croupe ondulait sous ma main, se tortillait à proximité de mon visage en sueur. Ce n’était pas un film. C’était moi avec une superbe blonde. J’étais maintenant dans le film.

Les cuisses de la belle s’écartèrent.

Je faufilais mes doigts en dessous pour caresser leur face interne.

– Remonte ! » dit elle

J’hésitai. Au-dessus de ma menotte, son ardente féminité prenait somptueusement naissance.

– Remonte, t’ai-je dit ! »

Je ne pouvais reculer. Mon pouce et mon index se risquèrent vers la luxuriante toison d’or qui s’offrait, impudique, à leur exploration. L’entrecuisse moussu s’écarta davantage.

La tiède liqueur odorante dont il regorgeait, se répandit sur le bout de mes doigts. Que de découverte. Le passage était large, lubrifié à merveille.

Ma main investit bientôt le chaud et accueillant repli. J’y allais à l’instinct priant que cela dure longtemps.

Agnès haletait, remuait doucement, telle une vague, râlait quelques encouragements, dont je n’avais nul besoin.

Je pétrissais à pleins doigts le bourrelets charnus et juteux de ses grandes lèvres ouvertes.
Mes doigts émerveillés s’infiltraient aisément dans le canal bouillant.

– Ouiii! Ooooh continue, petite diablesse ! Masse-moi bien ! »

Et ma main entière s’enfonça sur cette vulve effervescente. Bientôt je la malaxais de tout mon ardeur qui était grande. Son odeur suave m’emplissait les narines et m’invitait à y porter la bouche. J’étais ivre de son odeur.

Agnès était cambrée, les paumes lascivement posées sur ses cuisses écartées, le menton tourné et les yeux sur mes doigts.

– Ta bouche ! Je veux ta bouche ! »

Je n’hésitais pas cette fois. Je plongeais mon visage dans cette chair onctueuse.

Je léchais, suçais, buvais, avalais,… Elle rugissait comme une lionne. Ma frénésie m’emportait. Ma pudeur s’envolait. Après avoir bien pourléché sa fentine, mes désirs grimpèrent vers son anneau sombre et étroit. Une pression furtive du doigt m’apprit que cette fleur secrète était élastique au-delà de tout souhait.

J’y enfilais un majeur.

La réaction fut immédiate. Ma langue titilla quelque secondes le pertuis plissé.

Agnès se redressa alors, se resserra. Elle descendit à mon niveau et m’allongea tendrement sur le matelas.

– Ma coquine, ma cérébrale, ma vicieuse. Comme je t’aime déjà ! »

Elle semblait au comble de l’excitation. Ses lèvres se pressaient sur mon nombril. Je sentais ma culotte totalement imbibée d’un liquide révélateur. Sa bouche cheminait vers ma vulve inondée.

Dans la lumière aveuglante, accablée par la chaleur, j’entrevoyais son visage se penchant entre mes cuisses.

Elle extirpa mon slip avec ses dents et m’emboucha sans ménagement. J’avais droit à ma première bouche.

Je gémis sous le violent et profond baiser. Ma dégustatrice m’agrippa le bassin , renversa mes jambes contre mon buste, où mon pauvre cœur battait la chamade, coinça ma tête entre ses cuisses serrées, m’interdisant ainsi tout mouvement, étouffant mes cris sous sa chair bronzée, et me rendit, mais avec ô combien plus de fougue et d’expérience, tous les plaisirs que je lui avais prodigués.

Elle me dévora avec un appétit sans pareil, allant furieusement de l’un à l’autre de mes deux virginaux orifices.

Ses doigts effilés et sa langue dardée savaient provoquer des fulgurances de plaisir que je n’avais jamais soupçonnées. J’offrais ainsi de bonne grâce, mon petit cul aux profondes percées de sa langue experte.

Pendant plus de 20 minutes, elle se délecta goulûment de mes parties les plus charnues et les plus secrètes, au mépris de mes plus violent orgasmes, qu’elle me faisait accumuler de force. Je hurlais dans ses chairs.

Se relevant enfin, les cheveux sur le visage, les lèvres béantes, elle se retourna à quatre pattes, cambrée, les seins lourds, me rappelant à nouveau l’image altière d’un beau fauve.

Je m’aplatis sur le matelas.

Quelle nouvelle perversion allait-elle faire subir à la proie de ses désirs ? Elle dandina sur mon corps, devant mes yeux, me montrant avec obscénité chaque morceau de sa peau et de ses deux seins. Ceux-ci passèrent plusieurs fois devant mes lèvres.

Elle alla ensuite chercher quelque chose, fébrilement, dans son sac de plage. Elle en sortit un objet long et blanc. Une cousine très délurée, m’avait déjà fait voir cette objet sur des photos cochonnes échangées avec sa correspondante Allemande.

Je découvrais l’existence bien réel d’un godemiché.

– Chérie ! Fixe-toi vite ça ! »

Je saisis l’engin qu’elle m’aida à mettre en place vu mon manque d’expérience. Je me sentais bizarre affublée d’un sexe mâle.

Elle se retourna et agita sa croupe somptueuse, comme dans un geste de franche invite. Elle s’écarta elle-même les fesses.

Ses doigts indiquèrent nettement la direction à emprunter.

M’enhardissant, j’osais auparavant assouvir mon premier désir : déposer un fervent baiser dans la profonde séparation de ses fesses superbes. Ma langue se fourra facilement dans son petit orifice que je lubrifiais de mon mieux avant l’intromission.

Elle me laissa faire, appréciant mes vicieux progrès.

Je m’approchais alors avec précaution. Elle guida elle-même mon diabolique engin entre ses fesses écarquillées. J’attrapais ses hanches et la pénétrais attentivement.

Dès qu’elle se sentit saillie, elle fit un bond, râla, rugit.

Je me délectais de ce jeu pervers. Sentir cette bête d’amour sodomisée par mes soins et par un godemiché interposé, me comblais d’aise.

J’apprenais vite. D’un geste lent, régulier et profond, je l’introduisais chaque fois un peu plus.

Au bout d’une minute, l’engin démentiel pénétrait entièrement et glissait de mieux en mieux entre les parois lubrifiées au maximum et goulues. Elle poussait des cris hystériques.

J’accélérais, appuyais. Elle délirait.

Je l’emmanchais jusqu’à la garde.

Elle hurlait de plaisir, la garce.

Comme je continuais à un rythme frénétique, elle déversa des mots crus, d’une voix rauque, animale. Durant de longs instants, je la sodomisais à fond.

Elle finit par rouler sur le côté m’entraînant sur la pelouse avec elle.

Mon « épée » jaillit de sa fleur défoncée. Elle me sauta dessus, suça longuement mon pénis artificiel, puis vint empaler son vagin en furie sur sa virile grosseur.


Je n’avais pas fini mon histoire dans le journal, peut- être trop occupé à me caresser. Je me souviens portant encore de la suite.


Cela a encore duré une bonne vingtaine de minute avant qu’elle ne rende grâce. J’avais aussi joui en la regardant prendre son pied.

Elle me dévora le visage et la bouche de baisers en guise de remerciement. On avait oublié le soleil, préférant jouir de nos corps.

Agnès fut mon initiatrice. Elle m’apprit beaucoup de choses et me fit vaincre ma timidité. Je n’ai plus peur de montrer mes charmes.

04 septembre 2018

Retour de vacances



































Je suis partie en vacances il y a un mois. Je n'ai rien vu passer.

Dur dur

08 juillet 2018

01 juillet 2018